Acheter des propriétés n’est pas la seule manière d’investir dans le marché immobilier. Si la gestion d’édifices et tout ce qui y est relié est loin de vous passionner, une option intéressante est de regarder ce que la Bourse peut veut offrir.
Une manière d’investir dans l’immobilier sans avoir de propriétés est de le faire par l’entremise d’un fonds de placement immobilier (FPI ou, en anglais, Real Estate Investment Trust — REIT).
« Lorsqu’on investit dans des propriétés, il y a l’aspect gestion qui entre en jeu, souligne Marc L’Écuyer, gestionnaire de portefeuille principal et associé à Cote 100. Et même en embauchant des gens pour gérer les immeubles, beaucoup d’autres aspects sont à considérer. Les FPI sont une solution clé en main pour un investisseur. »
Le vice-président et stratège d’investissement chez Desjardins Gestion de patrimoine, Jean-René Ouellet, indique que de choisir la voie des FPI permet d’éviter certains risques et certaines contraintes, particulièrement en 2022. Toute personne qui achètera une propriété cette année doit garder en tête le coût du financement et, dans le cas d’une propriété déjà acquise, celui du refinancement.
Une hausse des taux d’intérêt doit être prise en considération pour un investissement direct dans le marché immobilier, car les prix des loyers ne grimperont peut-être pas aussi rapidement.
« Les charges financières seront en augmentation, remarque-t-il. L’abordabilité des propriétés est bonne lorsque les taux d’intérêt sont bas, mais la détérioration est rapide lorsqu’ils augmentent. Si le levier financier est utilisé à plein rendement, il y aura un risque lors du refinancement. »
Les FPI sont aussi une façon beaucoup plus simple d’investir à l’étranger, ajoute Marc L’Écuyer. Acheter des propriétés aux États-Unis ou en Europe comporte son lot de défis et de formalités.
Critères de sélection
Lorsqu’on décide de se tourner vers les FPI, il y a plusieurs critères à considérer, explique Jean-Philippe Legault, CFA et analyste financier à Cote 100.
Le premier est celui de la capitalisation boursière. Plus la capitalisation est élevée, plus elle offre à l’investisseur une diversité d’édifices sous gestion. Elle offre de plus une certaine protection à l’investisseur, car les FPI résidentiels nécessitent de bons investissements pour maintenir les actifs, notamment dans les aires communes des édifices.
Jean-Phillipe Legault recense six FPI canadiens résidentiels qui possèdent une capitalisation boursière de plus de 1 milliard de dollars. À son avis, ce sont ceux qui offrent la meilleure diversité des actifs et la meilleure capacité de générer des bénéfices.
Le deuxième critère est la localisation des propriétés sous gestion. « C’est la principale différenciation entre les FPI, avance-t-il. La localisation va déterminer quel est le potentiel de croissance pour le fonds. Il faut regarder si le marché aura une croissance de population et s’il permet d’augmenter les prix des loyers et les revenus. »
Les propriétés de Killam Apartment REIT (KMP-UN, 22,07 $), par exemple, sont concentrées dans l’est du pays, surtout en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick. Celles de Canadian Apartment Properties REIT (CAR-UN, 57,04 $) se trouvent dans de plus grands marchés, comme Toronto, Ottawa, Québec et Montréal.
Il faut également jeter un œil sur les taux d’occupation. Chaque point de pourcentage absent implique une incidence importante sur les bénéfices.
Jean-René Ouellet soutient que les investisseurs doivent aussi se renseigner sur l’état des actifs, les niches dans lesquelles les FPI sont actifs et la feuille de route des dirigeants avant de faire leurs choix de titres.
Quelques fonds
Jean-René Ouellet suggère aux investisseurs qui ne veulent pas se poser de questions et qui veulent démarrer avec de l’immobilier générique de regarder du côté d’un fonds négocié en Bourse (FNB) qui est investi dans le secteur des FPI. « C’est une solution à faible coût qui va se rééquilibrer par elle-même, mais qui se trouve exposée à l’ensemble des niches immobilières, pas seulement au résidentiel », précise-t-il.
Sinon, il suggère Canadian Apartment Properties chez les joueurs à plus grande capitalisation, mais aussi InterRent (IIP-UN, 16,12 $), « un groupe immobilier qui achète des propriétés qui ont un peu besoin d’amour dans des endroits stratégiques, qui va les rénover, ce qui leur permet une accélération de leur croissance ». L’investissement dans InterRent pourrait apporter plus de rendement à moyen terme que Canadian Apartement, mais cela vient également avec son lot de volatilité, prévient-il.
Le vice-président et stratège d’investissement chez Desjardins Gestion de patrimoine avoue ne jamais avoir investi dans des FPI en Europe et ne sait pas s’il recommanderait aux gens de le faire. Par contre, aux États-Unis, il affirme qu’il est beaucoup plus simple d’investir, avec des valeurs plus riches qu’au Canada.
Jean-René Ouellet met un bémol aux investissements dans les FPI dans un contexte de hausse des taux d’intérêt comme celui qui est prévu pour 2022.
« L’immobilier tend à pouvoir s’ajuster à l’inflation et à préserver une certaine valeur si les taux n’augmentent pas trop rapidement, explique-t-il. Mais si nous avons un choc rapide, il se pourrait qu’il y ait une compression des valorisations publiques. »
Investir dans les matériaux
Une autre option à l’achat direct de propriétés serait de se procurer des actions d’entreprises qui produisent des matériaux de construction ou encore des entrepreneurs généraux cotés en Bourse. Il faut toutefois comprendre que les risques liés à ce type d’investissement sont beaucoup plus élevés que ceux des FPI.
« Ils sont liés à la demande de la construction neuve, mentionne Jean-Philippe Legault. Ce secteur est plus affecté par les ralentissements économiques. On peut voir la hausse de l’inflation comme très intéressante pour ces secteurs, mais ce sont des facteurs temporaires et cycliques. La valeur du titre est liée à celle de la commodité, et c’est difficile de prévoir les variations à long terme. »
En plus d’être plus volatiles que les FPI, les actions d’entreprises de matériaux de construction n’offrent pas de facteurs différenciateurs. Un deux par quatre demeure un deux par quatre, rappelle Jean-Philippe Legault. Il devient difficile d’obtenir de la plus-value créée par les produits.
Le taux directeur bondit à 2,5 % au Canada
/in Nouvelles /by id3techDevant l’inflation galopante, la Banque du Canada a relevé mercredi son taux directeur de 100 points de base pour le faire passer à 2,5 % tout en préparant les Canadiens à d’autres tours de vis.
La hausse de 1 % annoncée mercredi est supérieure à celle anticipée par les économistes qui s’attendaient à une hausse de 75 points de base du taux directeur.
L’inflation au Canada est plus élevée et persistante que la Banque le prévoyait et restera probablement autour de 8 % au cours des prochains mois, indique la Banque du Canada pour expliquer sa décision.
Il s’agit de la quatrième hausse consécutive du taux directeur depuis le mois de mars et la hausse la plus agressive depuis 1998.
« Même si des facteurs mondiaux comme la guerre en Ukraine et les perturbations continues de l’approvisionnement ont été les principaux moteurs de l’inflation, les pressions intérieures sur les prix attribuables à la demande excédentaire gagnent en importance. »
L’inflation a atteint 7,7 % en mai au pays, un niveau nettement supérieur à la cible de 2 % visée habituellement par les banques centrales.
« Davantage de consommateurs et d’entreprises s’attendent à ce que l’inflation soit plus élevée pendant plus longtemps, ce qui accentue le risque d’un enracinement de la forte inflation pour l’établissement des prix et des salaires. Si cela se produit, le coût économique pour restaurer la stabilité des prix sera plus grand », précise la Banque du Canada.
Puisqu’il y a une demande excédentaire évidente au sein de l’économie, que l’inflation est élevée et se propage, et que davantage d’entreprises et de consommateurs s’attendent à ce que la forte inflation dure plus longtemps, la Banque du Canada dit avoir décidé « d’accélérer sans tarder » le relèvement des taux d’intérêt.
« La Banque du Canada ajuste encore une fois l’air climatisé dans un effort visant à refroidir l’économie », image l’économiste de la TD, James Orlando.
« Une telle hausse de taux est rare », dit-il. Mais le contexte économique actuel (taux de chômage, inflation et salaires) l’est tout autant et la pression continue de se faire sentir sur la Banque du Canada, commente cet expert.
« Bien que cette hausse de taux augmente le risque de voir l’économie plonger en récession, la Banque du Canada doit accepter ce risque et les conséquences potentielles afin de prévenir que les anticipations d’inflation élevées deviennent encore plus ancrées », ajoute James Orlando.
« Le chemin vers au taux directeur plus élevé encore n’est pas terminé », souligne de son côté l’économiste Sébastien Lavoie, de Valeurs mobilières Banque Laurentienne.
La Banque du Canada prévient effectivement qu’elle juge encore que les taux d’intérêt devront augmenter davantage et que le rythme des hausses sera guidé par l’évaluation continue de l’économie et de l’inflation.
La Banque du Canada s’attend à ce que l’économie canadienne progresse de 3 ½ % en 2022, de 1,75 % en 2023 et de 2,5 % en 2024.
« L’activité ralentira à mesure que la croissance mondiale s’essoufflera et que le resserrement de la politique monétaire fera sentir ses effets dans l’économie », indique-t-on.
« Ces facteurs, conjugués à la résolution des perturbations de l’approvisionnement, rétabliront l’équilibre entre l’offre et la demande et atténueront les pressions inflationnistes. Les prix mondiaux de l’énergie devraient aussi reculer. »
La Banque du Canada s’attend à ce que l’inflation commence à redescendre plus tard cette année pour se situer autour de 3 % à la fin de l’année prochaine et qu’elle retourne à la cible de 2 % à la fin de 2024.
La Banque du Canada n’anticipe pas une récession au pays au cours des deux prochaines années dans son scénario de référence. Toutefois, dans son rapport sur la politique monétaire publiée mercredi, elle prévient que le risque de récession augmente si l’inflation devait s’enraciner et déclencher une spirale des salaires et des prix qui s’autoalimente.
Plus l’inflation se maintient largement au-dessus de la cible, est-il souligné, plus la probabilité d’une spirale des salaires et des prix augmente. La Banque du Canada ajoute que cette probabilité s’accentue également si les entreprises ont en place des conventions collectives pluriannuelles qui prévoient de fortes hausses salariales chaque année.
Le taux directeur avait été relevé d’un demi-point de pourcentage le 1er juin, ce qui l’avait porté à 1,5 %.
La prochaine date d’établissement du taux directeur est le 7 septembre.
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La baisse des transactions se poursuit en juin à travers la province
/in Nouvelles /by Vendirect NewsSource: www.centris.ca
Selon les données compilées par l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), 8 127 transactions ont été enregistrées dans la province de Québec en juin 2022, soit une diminution de 10 %. Les inscriptions en vigueur ont augmenté de 3 % et les nouvelles inscriptions ont augmenté de 23 % comparativement à juin 2021.
Du côté du prix médian, la plus forte hausse revient aux plex avec une augmentation de 19 %. Celui des unifamiliales a augmenté de 16% et des copropriétés de 13 %.
Voici le prix médian d’une propriété unifamiliale dans les 6 RMR en juin 2022, accompagné de la variation par rapport au mois de juin l’année dernière.
Pour consulter les statistiques détaillées, cliquez ici
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Ce qu’il faut savoir sur l’isolation extérieure d’une maison
/in Nouvelles /by Vendirect NewsSource: www.centris.ca
Votre maison est froide en hiver et chaude en été? Le coupable est probablement l’isolation de votre maison. Une isolation performante conservera la chaleur à l’extérieur de la maison en été, et la retiendra à l’intérieur en hiver.
Ne pensez pas au désordre que ça fera dans votre maison, il est possible de refaire l’isolation par l’extérieur plutôt que l’intérieur. Mais avant de vous lancer dans un projet de cette envergure, apprenez-en plus sur l’isolation extérieure d’une maison.
Pourquoi y a-t-il une perte d’énergie?
Dans une maison, les fuites d’énergie et de chaleur peuvent être partout : du sous-sol au grenier.
Consultez notre article pour en apprendre plus sur l’Isolation thermique : halte aux fuites !
Quelle est la cause de toutes ces fuites d’énergie? Les matériaux isolants d’une maison ne sont pas éternels! Avec le temps, l’isolant perd de son efficacité et il faut le remplacer. Des infiltrations d’eau peuvent avoir endommagé l’isolant par le passé. Refaire l’isolation extérieure de votre maison a du positif : les matériaux utilisés seront plus performants et votre confort sera accru.
Ce que vous devez connaitre sur l’isolation
Isoler sa maison, c’est tout un projet!
Commencez par un bilan énergétique de votre maison fait par un professionnel. De cette manière, vous saurez exactement où l’énergie se perd et comment remédier à la situation.
Analysez la constitution des murs existants : un spécialiste en isolation pourra vous dire quel matériau d’isolation a été utilisé dans votre maison. Trop souvent, des matériaux inadéquats entrainent une mauvaise isolation.
Choisissez le bon isolant : selon le climat où se trouve votre maison, le spécialiste vous conseillera différents matériaux. Plusieurs points sont à considérer : coût, durabilité, résistance au feu et aux insectes, faible potentiel de réchauffement climatique, faits à partir de matériaux recyclés ou de matériaux naturels, lieu de fabrication, facteur insonorisant, impact sur la qualité de l’air intérieur.
En attendant de vous lancer dans les travaux d’isolation, il est toujours possible de poser certaines actions afin d’Améliorer l’isolation de votre maison avant l’hiver.
Combien coûte un projet d’isolation?
Vous êtes arrivé à l’évidence : refaire l’isolation de votre maison. Soyez assuré que vous ne le regretterez pas, une maison bien isolée est gage de confort, été comme hiver. Mais combien peut coûter un projet d’isolation complète de votre maison?
De nombreux facteurs doivent être pris en compte pour ce projet. Le mieux est de consulter un professionnel qui pourra vous donner toutes les informations pertinentes pour faire un choix éclairé.
En attendant, pour connaitre les différents isolants, leurs prix et leur performance, consultez cet article : Prix de l’isolation au Québec : matériaux et techniques.
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Accès à la propriété: Québec harmonise ses incitatifs fiscaux à ceux d’Ottawa
/in Nouvelles /by Vendirect NewsLe ministre Girard a jugé que le moment était approprié, alors que la hausse marquée des prix de l’immobilier semble vouloir s’essouffler. (Photo: La Presse Canadienne)
Québec compte faciliter l’accès à la propriété et l’acquisition d’une première maison, grâce à de nouveaux incitatifs fiscaux annoncés jeudi par le ministre des Finances, Eric Girard, en point de presse.
Au moment où le marché immobilier est en pleine ébullition à travers le pays, décourageant ceux qui aimeraient devenir propriétaires, le gouvernement Legault modifiera sa réglementation de manière à harmoniser ses programmes à ceux mis en place par le gouvernement fédéral et destinés aux acquéreurs d’une première propriété dans son dernier budget, présenté en avril dernier.
L’outil privilégié sera le compte d’épargne libre d’impôt (CELI).
Ottawa a créé un compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP), dont les cotisations seront déductibles. Les revenus accumulés dans ce compte ne seront pas assujettis à l’impôt et les retraits effectués dans le but d’acquérir une première résidence ne seront pas imposables. Cette mesure entrera en vigueur au cours de l’année 2023. Pour le trésor québécois, le manque à gagner sera de 75 millions de dollars annuellement.
En point de presse, le ministre Girard a jugé que le moment était approprié pour aller en ce sens, alors que la hausse marquée des prix de l’immobilier semble vouloir s’essouffler.
«On avait un marché qui était en totale ébullition et on a un marché qui ralentit, alors c’est un moment qui est plus approprié pour introduire une telle mesure», a-t-il fait valoir.
Québec bonifie de plus le crédit d’impôt prévu pour acheter une première habitation, qui passera de 750 $ à un montant pouvant aller jusqu’à 1500 $. Environ 70 000 acquéreurs d’une première maison pourraient en profiter chaque année et pourront en bénéficier dès cette année.
D’autres mesures fiscales annoncées jeudi visent à contrer la rareté de la main-d’œuvre.
Pour retenir au travail les employés prêts à prendre leur retraite, Québec renonce au critère des 5000 heures requises afin que les entreprises puissent bénéficier d’un crédit d’impôt remboursable. On vise environ 28 000 travailleurs et 13 000 entreprises avec cette mesure. Québec retire aussi le critère des 5000 heures pour le crédit d’impôt disponible à l’égard des personnes ayant des contraintes sévères à l’emploi.
La nouvelle a été très bien accueillie par le monde patronal. Le vice-président Québec de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI), François Vincent, a rappelé qu’il avait été très déçu lors du dernier budget du Québec de constater que ce type de mesures n’y apparaissait pas. «On est vraiment contents» du changement de cap annoncé jeudi, qui «lève des barrières» pour les petites et moyennes entreprises (PME), a-t-il dit, lors d’une brève mêlée de presse au parlement.
Les changements annoncés sont consignés dans le bulletin d’information publié jeudi par le ministère des Finances.
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Accès à la propriété: Québec harmonise ses incitatifs fiscaux à ceux d’Ottawa
/in Nouvelles /by Vendirect NewsSource : www.lesaffaires.com
Le ministre Girard a jugé que le moment était approprié, alors que la hausse marquée des prix de l’immobilier semble vouloir s’essouffler. (Photo: La Presse Canadienne)
Québec compte faciliter l’accès à la propriété et l’acquisition d’une première maison, grâce à de nouveaux incitatifs fiscaux annoncés jeudi par le ministre des Finances, Eric Girard, en point de presse.
Au moment où le marché immobilier est en pleine ébullition à travers le pays, décourageant ceux qui aimeraient devenir propriétaires, le gouvernement Legault modifiera sa réglementation de manière à harmoniser ses programmes à ceux mis en place par le gouvernement fédéral et destinés aux acquéreurs d’une première propriété dans son dernier budget, présenté en avril dernier.
L’outil privilégié sera le compte d’épargne libre d’impôt (CELI).
Ottawa a créé un compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP), dont les cotisations seront déductibles. Les revenus accumulés dans ce compte ne seront pas assujettis à l’impôt et les retraits effectués dans le but d’acquérir une première résidence ne seront pas imposables. Cette mesure entrera en vigueur au cours de l’année 2023. Pour le trésor québécois, le manque à gagner sera de 75 millions de dollars annuellement.
En point de presse, le ministre Girard a jugé que le moment était approprié pour aller en ce sens, alors que la hausse marquée des prix de l’immobilier semble vouloir s’essouffler.
«On avait un marché qui était en totale ébullition et on a un marché qui ralentit, alors c’est un moment qui est plus approprié pour introduire une telle mesure», a-t-il fait valoir.
Québec bonifie de plus le crédit d’impôt prévu pour acheter une première habitation, qui passera de 750 $ à un montant pouvant aller jusqu’à 1500 $. Environ 70 000 acquéreurs d’une première maison pourraient en profiter chaque année et pourront en bénéficier dès cette année.
D’autres mesures fiscales annoncées jeudi visent à contrer la rareté de la main-d’œuvre.
Pour retenir au travail les employés prêts à prendre leur retraite, Québec renonce au critère des 5000 heures requises afin que les entreprises puissent bénéficier d’un crédit d’impôt remboursable. On vise environ 28 000 travailleurs et 13 000 entreprises avec cette mesure. Québec retire aussi le critère des 5000 heures pour le crédit d’impôt disponible à l’égard des personnes ayant des contraintes sévères à l’emploi.
La nouvelle a été très bien accueillie par le monde patronal. Le vice-président Québec de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI), François Vincent, a rappelé qu’il avait été très déçu lors du dernier budget du Québec de constater que ce type de mesures n’y apparaissait pas. «On est vraiment contents» du changement de cap annoncé jeudi, qui «lève des barrières» pour les petites et moyennes entreprises (PME), a-t-il dit, lors d’une brève mêlée de presse au parlement.
Les changements annoncés sont consignés dans le bulletin d’information publié jeudi par le ministère des Finances.
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Acheter une maison unifamiliale : les avantages et les inconvénients
/in Nouvelles /by id3techSource: www.centris.ca
Vous rêvez à la fois de grandeur et d’intimité? Une maison unifamiliale pourrait bien être un choix tout indiqué pour satisfaire vos envies et répondre aux exigences de votre mode de vie. Découvrez les avantages et les inconvénients de ce type de propriété en parcourant cet article.
1. Qu’est-ce qu’une maison unifamiliale?
Ce terme comprend tous les types de propriétés qui n’abritent qu’un seul logement et qui possèdent un terrain à usage exclusif[1]. Maison plain-pied ou à deux étages, avec ou sans garage : peu importe, tant et aussi longtemps qu’elle est habitée par un seul ménage.
D’ailleurs, ce type de propriété est le plus populaire au Québec[2]. Selon les données compilées par l’Association des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ)[3], 67 914 ventes de maisons unifamiliales ont été conclues en 2021, ce qui représente 10 % de moins que l’année précédente. En outre, le prix médian de celles-ci était de 365 000 $, soit une augmentation de 24 % par rapport à l’année 2020 et de 56 % par rapport aux 5 années précédentes. Le délai de vente moyen, quant à lui, est désormais estimé à 51 jours, soit une diminution de 40 %, comparativement à l’année précédente.
2. Les avantages d’un bungalow ou d’un cottage
L’espace, le calme et l’intimité sont sans doute les principaux avantages au fait de posséder une maison unifamiliale. En plus d’avoir une plus grande superficie habitable, vous aurez la possibilité d’y aménager le sous-sol, ainsi qu’un jardin ou une terrasse : de quoi y voir grandir votre famille et profiter des petits plaisirs de la vie en toute saison!
Vous souhaitez effectuer un agrandissement ou quelques rénovations? En étant propriétaire d’une maison unifamiliale, vous serez la seule personne à prendre l’ensemble des décisions concernant votre bien, outre celles qui requièrent l’obtention d’un permis municipal.
3. Les inconvénients d’une maison unifamiliale
Le prix d’achat est sans doute le principal inconvénient lorsque vient le temps de chercher une maison unifamiliale[4]. Pour certains acheteurs, cela pourrait être un frein assez important pour les empêcher de concrétiser d’autres rêves. Si cela est votre cas, un courtier immobilier pourrait très certainement vous aider à trouver la maison idéale au meilleur prix qui soit.
En outre, une maison unifamiliale vous demandera plus d’entretien, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ainsi, vous aurez fort possiblement plus de temps et d’énergie à consacrer à ces responsabilités que si vous habitiez dans une copropriété, par exemple.
Vous êtes célibataire ou vivez en couple? Une propriété de moins grande superficie vous permettrait sans doute de payer moins cher pour répondre à vos besoins. C’est donc un pensez-y-bien!
4. Les coûts à prévoir
Comme le coût d’une maison unifamiliale est généralement plus élevé que celui d’un condo, d’une maison jumelée ou d’une maison de ville, il y a fort à parier que votre mise de fonds et votre prêt hypothécaire seront plus importants. Néanmoins, cela vous permettra d’acquérir un bien immobilier de plus grande valeur. Et en choisissant un quartier favorablement situé, vous maximiserez vos chances d’en augmenter la valeur de revente.
De plus, comme la taxe de bienvenue, ainsi que les taxes foncières et scolaires sont calculées en fonction de la valeur d’une propriété, celles-ci seront généralement plus élevées que pour un autre type de propriété[5].
Bref, que votre choix se porte ou non sur l’achat d’une maison unifamiliale, l’important est de considérer vos besoins à long terme. Avant d’entreprendre vos démarches, déterminez une liste de critères; cela vous permettra de profiter d’un investissement rentable, tout en vous évitant d’avoir à payer des frais de déménagement inutiles.
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Achat d’un condo : quels sont les avantages?
/in Nouvelles /by id3techSource: www.centris.ca
Ça y est, vous êtes prêt à devenir propriétaire pour la toute première fois! Mais peut-être êtes-vous confronté à un choix important : acheter un condo ou une maison? Explorez cet article pour connaître les avantages liés à l’achat d’un condo et ainsi orienter vos recherches en fonction de votre mode de vie.
1. Évaluez vos besoins
Règle générale, habiter un condo implique moins de responsabilités qu’une maison de ville, jumelée ou unifamiliale. Parfait pour ceux et celles qui aiment voyager ou avoir du temps libre pour vaquer à d’autres occupations!
Outre votre espace de stationnement et votre balcon, les lieux extérieurs sont habituellement considérés comme des aires communes. Ainsi, leur entretien est généralement pris en charge par l’ensemble des propriétaires, incluant[1] :
À titre indicatif, les frais moyens de copropriété au Québec s’élèvent à près de 195 $ par mois, ce qui représente 2 340 $ annuellement[3]. Lorsque viendra le moment de présenter une offre d’achat, rappelez-vous aussi que l’hypothèque combinée aux frais de copropriété, aux impôts fonciers et à l’assurance ne devrait pas dépasser 30 % de votre revenu.
2. Déterminez votre style de vie
Si le fait de vivre en ville peut être un rêve pour plusieurs futurs propriétaires, en revanche, cela peut être un frein pour ceux qui souhaiteraient fonder une famille. Prenez donc le temps d’évaluer vos besoins à court et à long terme.
Voici quelques questions qui pourront vous guider dans votre réflexion[4] :
Malgré ce que l’on pourrait penser, de plus en plus de jeunes familles achètent un condo en raison du mode de vie urbain qui y est associé. Écoles, garderies, cliniques médicales, pharmacies, épiceries et restaurants à proximité : voilà de quoi vous faciliter la vie avec de jeunes enfants.
Pour d’autres acheteurs, un condo c’est un peu comme un tout inclus! Salle d’entraînement, piscine, sauna, terrasse sur le toit : les équipements qui agrémentent la qualité de vie sont nombreux[5]. Toutefois, ces avantages ont un coût qui devra être considéré avant de faire votre choix.
3. Dressez un budget
Même si acheter un condo peut sembler plus accessible à première vue, ce n’est pas toujours le cas[6]. En fait, le coût d’acquisition dépendra grandement de la manière dont celui-ci est construit. Structure de béton insonorisée, climatisation, garage avec ascenseur : tous ces éléments influenceront le prix d’un condo.
Ainsi, l’une des premières choses à faire avant d’entreprendre vos démarches est d’évaluer votre budget, et la mise de fonds. Vous voulez être prêt à agir rapidement? Pensez également à obtenir une préapprobation hypothécaire.
Et n’oubliez pas qu’en achetant un condo, vous devrez prévoir[7] :
En somme, différents éléments vous permettront de faire un choix adapté à votre mode de vie. D’ailleurs, certains d’entre eux augmenteront la valeur de revente, tels que l’emplacement, la qualité des matériaux et de la finition, l’insonorisation, la présence d’ascenseurs, les équipements des aires communes, la présence d’un stationnement intérieur et les équipements de sécurité.
Que vous souhaitiez acheter un condo ou une maison, un courtier immobilier sera toujours un allié de choix pour vous donner de bons conseils. En outre, il pourra vous éclairer sur les règlements des copropriétés divises et vous aider à faire le meilleur choix selon votre situation personnelle.
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Investir en immobilier sans acheter de propriété
/in Nouvelles /by Vendirect NewsAcheter des propriétés n’est pas la seule manière d’investir dans le marché immobilier. Si la gestion d’édifices et tout ce qui y est relié est loin de vous passionner, une option intéressante est de regarder ce que la Bourse peut veut offrir.
Une manière d’investir dans l’immobilier sans avoir de propriétés est de le faire par l’entremise d’un fonds de placement immobilier (FPI ou, en anglais, Real Estate Investment Trust — REIT).
« Lorsqu’on investit dans des propriétés, il y a l’aspect gestion qui entre en jeu, souligne Marc L’Écuyer, gestionnaire de portefeuille principal et associé à Cote 100. Et même en embauchant des gens pour gérer les immeubles, beaucoup d’autres aspects sont à considérer. Les FPI sont une solution clé en main pour un investisseur. »
Le vice-président et stratège d’investissement chez Desjardins Gestion de patrimoine, Jean-René Ouellet, indique que de choisir la voie des FPI permet d’éviter certains risques et certaines contraintes, particulièrement en 2022. Toute personne qui achètera une propriété cette année doit garder en tête le coût du financement et, dans le cas d’une propriété déjà acquise, celui du refinancement.
Une hausse des taux d’intérêt doit être prise en considération pour un investissement direct dans le marché immobilier, car les prix des loyers ne grimperont peut-être pas aussi rapidement.
« Les charges financières seront en augmentation, remarque-t-il. L’abordabilité des propriétés est bonne lorsque les taux d’intérêt sont bas, mais la détérioration est rapide lorsqu’ils augmentent. Si le levier financier est utilisé à plein rendement, il y aura un risque lors du refinancement. »
Les FPI sont aussi une façon beaucoup plus simple d’investir à l’étranger, ajoute Marc L’Écuyer. Acheter des propriétés aux États-Unis ou en Europe comporte son lot de défis et de formalités.
Critères de sélection
Lorsqu’on décide de se tourner vers les FPI, il y a plusieurs critères à considérer, explique Jean-Philippe Legault, CFA et analyste financier à Cote 100.
Le premier est celui de la capitalisation boursière. Plus la capitalisation est élevée, plus elle offre à l’investisseur une diversité d’édifices sous gestion. Elle offre de plus une certaine protection à l’investisseur, car les FPI résidentiels nécessitent de bons investissements pour maintenir les actifs, notamment dans les aires communes des édifices.
Jean-Phillipe Legault recense six FPI canadiens résidentiels qui possèdent une capitalisation boursière de plus de 1 milliard de dollars. À son avis, ce sont ceux qui offrent la meilleure diversité des actifs et la meilleure capacité de générer des bénéfices.
Le deuxième critère est la localisation des propriétés sous gestion. « C’est la principale différenciation entre les FPI, avance-t-il. La localisation va déterminer quel est le potentiel de croissance pour le fonds. Il faut regarder si le marché aura une croissance de population et s’il permet d’augmenter les prix des loyers et les revenus. »
Les propriétés de Killam Apartment REIT (KMP-UN, 22,07 $), par exemple, sont concentrées dans l’est du pays, surtout en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick. Celles de Canadian Apartment Properties REIT (CAR-UN, 57,04 $) se trouvent dans de plus grands marchés, comme Toronto, Ottawa, Québec et Montréal.
Il faut également jeter un œil sur les taux d’occupation. Chaque point de pourcentage absent implique une incidence importante sur les bénéfices.
Jean-René Ouellet soutient que les investisseurs doivent aussi se renseigner sur l’état des actifs, les niches dans lesquelles les FPI sont actifs et la feuille de route des dirigeants avant de faire leurs choix de titres.
Quelques fonds
Jean-René Ouellet suggère aux investisseurs qui ne veulent pas se poser de questions et qui veulent démarrer avec de l’immobilier générique de regarder du côté d’un fonds négocié en Bourse (FNB) qui est investi dans le secteur des FPI. « C’est une solution à faible coût qui va se rééquilibrer par elle-même, mais qui se trouve exposée à l’ensemble des niches immobilières, pas seulement au résidentiel », précise-t-il.
Sinon, il suggère Canadian Apartment Properties chez les joueurs à plus grande capitalisation, mais aussi InterRent (IIP-UN, 16,12 $), « un groupe immobilier qui achète des propriétés qui ont un peu besoin d’amour dans des endroits stratégiques, qui va les rénover, ce qui leur permet une accélération de leur croissance ». L’investissement dans InterRent pourrait apporter plus de rendement à moyen terme que Canadian Apartement, mais cela vient également avec son lot de volatilité, prévient-il.
Le vice-président et stratège d’investissement chez Desjardins Gestion de patrimoine avoue ne jamais avoir investi dans des FPI en Europe et ne sait pas s’il recommanderait aux gens de le faire. Par contre, aux États-Unis, il affirme qu’il est beaucoup plus simple d’investir, avec des valeurs plus riches qu’au Canada.
Jean-René Ouellet met un bémol aux investissements dans les FPI dans un contexte de hausse des taux d’intérêt comme celui qui est prévu pour 2022.
« L’immobilier tend à pouvoir s’ajuster à l’inflation et à préserver une certaine valeur si les taux n’augmentent pas trop rapidement, explique-t-il. Mais si nous avons un choc rapide, il se pourrait qu’il y ait une compression des valorisations publiques. »
Investir dans les matériaux
Une autre option à l’achat direct de propriétés serait de se procurer des actions d’entreprises qui produisent des matériaux de construction ou encore des entrepreneurs généraux cotés en Bourse. Il faut toutefois comprendre que les risques liés à ce type d’investissement sont beaucoup plus élevés que ceux des FPI.
« Ils sont liés à la demande de la construction neuve, mentionne Jean-Philippe Legault. Ce secteur est plus affecté par les ralentissements économiques. On peut voir la hausse de l’inflation comme très intéressante pour ces secteurs, mais ce sont des facteurs temporaires et cycliques. La valeur du titre est liée à celle de la commodité, et c’est difficile de prévoir les variations à long terme. »
En plus d’être plus volatiles que les FPI, les actions d’entreprises de matériaux de construction n’offrent pas de facteurs différenciateurs. Un deux par quatre demeure un deux par quatre, rappelle Jean-Philippe Legault. Il devient difficile d’obtenir de la plus-value créée par les produits.
Copropriété divise ou indivise : connaissez-vous la différence?
/in Nouvelles /by Vendirect NewsSource: www.oaciq.com
Martyne souhaite acheter sa première copropriété. Son amie Katia lui demande s’il s’agit d’une copropriété divise ou indivise. Martyne ne sait quoi répondre et se demande bien quelle est la différence.
Règle générale, lorsqu’on souhaite acheter une copropriété, un des premiers éléments à vérifier est le type de copropriété : s’agit-il d’une copropriété divise ou indivise? Ces deux types de copropriétés possèdent des caractéristiques bien à elles. Il est important de vous assurer qu’elles correspondent à vos besoins et à vos attentes.
Voici un bref aperçu des principales distinctions entre ces types de copropriétés.
La copropriété divise
Si vous faites l’achat d’une copropriété divise, vous ferez l’achat d’une partie privative (ex. : votre appartement, votre stationnement privé) et aussi d’un pourcentage des parties communes de l’immeuble (ex. : les corridors, les cages d’ascenseurs, la piscine, etc.).
Vous serez le seul propriétaire de votre partie privative et partagerez, avec les autres copropriétaires, la propriété des parties communes.
Dans ce type de copropriété, il est possible qu’un des copropriétaires ait l’usage exclusif de certaines parties communes à usage restreint (ex. : une terrasse ou un balcon). Cette information doit être inscrite dans la section « Description sommaire de l’immeuble » de votre contrat de courtage.
En achetant une copropriété divise, votre appartement aura son propre numéro de lot (cadastre). Vous aurez aussi vos propres comptes de taxes scolaires et municipales.
Puisqu’il s’agit d’une copropriété divise, il vous sera possible de vendre votre fraction sans l’avis des autres copropriétaires. D’ailleurs, advenant un problème de solvabilité d’un voisin, vous ne serez pas affecté par la situation hypothécaire de ce dernier.
Une autre caractéristique de la copropriété divise est la présence d’un syndicat de copropriété qui a pour mission de veiller à l’administration de l’immeuble.
La copropriété indivise
Si vous faites l’achat d’une copropriété indivise, vous ferez l’achat d’un pourcentage d’un immeuble entier. L’immeuble appartient donc à plusieurs propriétaires.
Dans la copropriété indivise, il n’y a pas de syndicat de copropriété comme dans la copropriété divise. C’est une convention d’indivision qui permet d’administrer les droits de tous les propriétaires et d’établir les droits d’usage exclusif attribués à chacun d’entre eux (ex. : votre appartement, votre stationnement privé).
La convention d’indivision est facultative, mais généralement recommandée. On y indique le fonctionnement et la gestion de la copropriété. C’est également dans la convention d’indivision qu’on détermine si, au moment de la revente de votre part, vous êtes libre de la vendre ou de la céder à n’importe qui ou encore si vous êtes obligé de l’offrir aux autres propriétaires déjà en place. Cette convention doit être publiée au Registre foncier du Québec pour que tout futur acheteur soit tenu de la respecter.
Dans le cas d’une copropriété indivise, un seul numéro de lot (cadastre) décrit l’ensemble de la propriété. Les taxes scolaires et municipales sont communes entre les propriétaires. Aussi, les charges de l’immeuble sont assumées par tous les propriétaires, et ce, en proportion de leur part respective.
Suivant les conseils de son amie Katia, Martyne a communiqué avec un professionnel de l’immobilier autorisé par l’OACIQ. C’est ainsi qu’elle a appris qu’il s’agissait d’une copropriété divise. Emballée par cette première conversation, Martyne a pris rendez-vous avec lui pour faire une visite en bonne et due forme de la copropriété… À suivre!
Devenir copropriétaire vous donne certains droits, mais aussi des obligations. Assurez-vous de bien vous renseigner et de bien comprendre toutes les implications liées à l’acquisition d’une copropriété. L’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ) recommande de consulter un professionnel dûment formé qui possède les compétences spécifiques pour vous assister dans l’achat d’une copropriété.
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Mauvaises herbes : que faire?
/in Nouvelles /by Vendirect NewsSource: www.centris.ca
C’est enfin le printemps ! Le gazon refait surface, et les mauvaises herbes envahiront votre pelouse, le gravier de l’entrée et vos plates-bandes plus vite que vous ne le croyez. Ces pissenlits, chiendents et autres herbes sont tenaces et réapparaissent chaque année. Voici plusieurs trucs pour vous aider à les éliminer, le plus longtemps possible.
Un gazon en santé = moins de mauvaises herbes
Pour commencer, moins de mauvaises herbes pousseront dans votre gazon si celui-ci est en bonne santé. Voici trois mots à retenir : aération, engrais, ensemencement.
Aération : pour certaines mauvaises herbes, un sol compact est l’idéal. Aérez vos sols!
Engrais : utilisez le gazon fraîchement coupé comme engrais naturel. Coupez-le et laissez-le, un moyen simple de le rendre plus fort.
Ensemencement : une pelouse bien fournie aura moins tendance à laisser la place aux indésirables mauvaises herbes. Procurez-vous des semences à gazon pour regarnir votre pelouse. Un petit truc : faites un mélange de semences à gazon et semences de trèfles.
Ah! Ces mauvaises herbes!
Votre pelouse est envahie par les mauvaises herbes. Est-ce que vos voisins croient qu’il y en a plus que le gazon lui-même? Si oui, ne vous découragez pas. Il existe plusieurs solutions pour vous en débarrasser.
Attaquons-nous à ces mauvaises herbes :
Soyez bien préparé avec tout ce qu’il y a à faire au printemps, consultez l’article Préparez votre cour pour l’été.
Liste des mauvaises herbes
Nous reconnaissons facilement les mauvaises herbes qui envahissent nos terrains, mais leur nom est souvent un mystère. Pour les identifier, voici une liste non exhaustive des mauvaises herbes qu’on retrouve le plus souvent sur le gazon, entre les pavés et dans le gravier.
Pour découvrir comment entretenir votre terrain pendant la belle saison, consultez l’article Astuces pour pelouse et plates-bandes.
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