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Utiliser son REER pour l’immobilier

26 février 2021/dans Nouvelles /par Vendirect News

Source: https://www.journaldemontreal.com

 

Une lectrice souhaite savoir si elle devrait se servir dès maintenant de son REER pour acheter une première maison, ou si elle devrait attendre d’y avoir cotisé un peu plus.

Elle envisage d’utiliser le régime d’acces-sion à la propriété, qui permet, pour une seule personne, de décaisser jusqu’à 35 000 $ d’un régime enregistré d’épargne retraite (REER) pour l’achat d’une première maison.

Elle et son conjoint souhaitent faire l’acquisition d’une propriété dont la valeur se situe autour de 350 000 $. Jusqu’à maintenant, notre lectrice a accumulé la somme de 20 000 $ dans ses REER. Son conjoint n’a quant à lui pas encore accumulé d’épargne.

Option 1 : Acheter maintenant avec 5 %

Si les deux acheteurs choisissent d’utiliser le RAP (Régime d’accession à la propriété) dès maintenant, ils pourront retirer l’intégralité de leur REER, à condition de le rembourser dans les 15 années qui vont suivre. Cela leur permettrait de verser la mise de fonds minimale requise de 5 % du prix d’achat, soit 17 500 $, puis d’utiliser le reste pour payer certains frais d’achat tels que les honoraires du notaire.

Toutefois, en ne versant que 5 %, ils devront payer l’assurance prêt hypothécaire, soit une somme additionnelle de 13 300 $ qui sera amortie sur leur prêt hypothécaire. À cela s’ajoute le montant de la TVQ appliqué sur la prime d’assurance, soit 1326 $ (9 975 % de 13 300 $), montant dont ils devront s’acquitter entièrement chez le notaire.

Option 2 : Retarder l’achat de 5 ans pour acheter avec 20 %

En retardant l’achat de leur maison pour accumuler leur mise de fonds de 20 %, le couple pourrait éviter de payer l’assurance prêt hypothécaire.

Puisqu’il est possible, dans le cas du RAP, de combiner les REER de chacun des acheteurs pour la mise de fonds, ils pourront retirer la somme de 70 000 $ (2 x 35 000 $) lorsqu’ils auront cumulé suffisamment d’épargne. Pour atteindre les 70 000 $, ils doivent économiser 685 $ par mois pendant 5 ans en espérant un rendement de 4 % par année.

Or, l’ennui, c’est qu’il n’y a pas que leur épargne qui est susceptible de s’accroître dans les 5 prochaines années ; les maisons risquent également de gagner en valeur.

Supposons que les prix des maisons augmentent de 3 % par année. Dans 5 ans, la même maison de 350 000 $ vaudra 405 745 $. La mise de fonds de 20 % pour la même maison ne sera plus de 70 000 $, mais de 81 150 $. Pour obtenir une telle somme avec le même rendement annuel de 4 %, ce n’est pas 685 $ par mois que le couple devra épargner, mais plutôt 840 $.

L’option la plus avantageuse

Si le couple souhaite devenir propriétaire et qu’il dispose des 5 % nécessaires, je recommande de ne pas attendre et d’acheter dès maintenant.

Premièrement, ils n’auront pas besoin d’attendre et de fournir l’effort financier considérable pour accumuler la mise de fonds de 20 %.

Deuxièmement, comme les taux d’intérêt sont très bas, les conditions pour souscrire à une hypothèque sont actuellement favorables.

Enfin, si le prix des maisons augmente à un rythme de 3 % par année, la valeur nette du couple risque de s’accroître plus rapidement en achetant maintenant.

Notez qu’entre les mois de novembre 2019 et novembre 2020, le prix médian des maisons unifamiliales au Québec s’est accru de 23 % !

L’augmentation varie d’une région et d’une année à l’autre.

Reprenons les exemples cités dans cet article : dans 5 ans, le couple pourrait avoir accumulé 50 000 $ de REER. Mais s’ils optent plutôt pour l’achat immédiat de leur maison, cette dernière pourrait gagner 55 745 $ en valeur, sans parler de du capital accumulé, soit environ 58 000 $.

Bref, en choisissant d’acheter une maison tout de suite, la valeur du couple aura grimpé de 113 745 $ dans 5 ans, contre environ 50 000 $ s’ils priorisent leur REER.

CONSEILS

  • En plus de la mise de fonds, il faut budgéter un montant pour les frais d’achat, tels que les honoraires du notaire, les droits de mutation, etc. Prévoyez environ l’équivalent de 3 % du coût d’achat de votre maison.
  • Lorsque vous considérez l’achat d’une maison, n’oubliez pas de calculer— le gain en qualité de vie dans l’équation.
  • Un planificateur financier et un fiscaliste— peuvent vous aider à prendre de bonnes décisions.

Article original

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2021/02/imm-2021-26fev.png 259 498 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2021-02-26 08:59:042021-02-26 09:06:32Utiliser son REER pour l’immobilier

Cette carte te montre le prix médian des condos selon la station de métro à Montréal

12 février 2021/dans Nouvelles /par Vendirect News

Source: https://www.narcity.com/

 

Le marché immobilier de la métropole offre des possibilités variées selon le secteur où les potentiels acheteurs souhaitent s’installer en ville. Cette carte pourrait en aider plusieurs à avoir une vue d’ensemble sur le prix des condos à Montréal.

Celle-ci a été confectionnée par Charlyse Amoussou, agente immobilière chez Via Capitale du Mont-Royal, et montre les prix médians selon les 68 stations de métro à travers le territoire.

La sélection de l’éditeur: Marie-Chantal Toupin partage des messages ambigus sur Facebook et les fans sont confus

 

La courtière a indiqué à nos collègues de MTL Blog que la carte a été créée avec les prix de tous les condos vendus entre janvier et décembre 2020 dans un rayon d’un kilomètre autour des stations de métro.

Charlyse Amoussou | LinkedIn

Elle a également créé des cartes de chaque ligne de métro, montrant les prix les plus élevés et les plus bas des condos vendus près de chaque station durant cette même période.

L’outil permet de constater des contrastes flagrants entre les différents coins de la métropole.

Il est plus dispendieux de devenir propriétaire au centre-ville qu’en périphérie de la ville.

Par exemple, quelqu’un voulant acquérir un condo près de la station Édouard-Montpetit devra débourser une coquette somme, alors que le prix médian y est de 869 000 $.

À l’inverse, quelqu’un qui veut rester sur le territoire desservi par la Société de transport de Montréal, mais a un budget plus limité, pourrait choisir de magasiner aux alentours de la station De la Concorde, à Laval, où le prix médian est de 247 000 $. 

Sur l’île de Montréal, l’option la moins dispendieuse risque de se trouver aux alentours de la station Saint-Michel, dans l’arrondissement Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, où le prix médian est de 265 000 $.

 

Article original

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2021/02/ea7040f9849cbdd45a7f0580373b1695.jpg_640xrel.jpg 640 640 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2021-02-12 09:58:552021-02-12 10:08:01Cette carte te montre le prix médian des condos selon la station de métro à Montréal

Un début d’année prometteur pour les ventes immobilières à Montréal et Québec

5 février 2021/dans Nouvelles /par Vendirect News

Source: www.journaldemontreal.com

 

Le secteur immobilier connaît un début d’année prometteur dans les régions de Montréal et Québec, avec une hausse respective de 17 % et de 16 % des ventes résidentielles par rapport au mois de janvier 2020, a indiqué mardi l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).

Dans le Grand Montréal, 3971 ventes ont ainsi été enregistrées pour le mois de janvier, comparativement à 3398 ventes l’année précédente.

«En dépit des restrictions sanitaires plus sévères, le mois de janvier continue dans la foulée de 2020. Les copropriétés et les plex connaissent une activité record, y compris sur l’île de Montréal, avec un nombre de ventes jamais enregistré depuis le début des années 2000», a expliqué par communiqué Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché à l’APCIQ.

De fortes progressions ont notamment été observées sur l’île de Montréal (+17 %), mais aussi dans les régions périphériques, telles que Vaudreuil-Soulanges (+33 %), la couronne nord (+29 %), puis la Rive-Sud (+17 %).

À l’inverse, une baisse des ventes a été constatée dans les secteurs de Saint-Jean-sur-Richelieu (-6 %) et de Laval (-7 %), attribuable à la pénurie de propriétés proposées à la vente.

Les prix médians ont également connu une augmentation dans le Grand Montréal, avec une hausse de 23 % pour les unifamiliales, de 17 % pour les copropriétés et enfin de 14 % pour les plex.

«Le seul essoufflement de la croissance des ventes, pour la catégorie de l’unifamiliale, est clairement attribuable au manque d’inscriptions en vigueur», a pour autant constaté M. Brant, avec une baisse de 25 % par rapport à l’année 2020.

 

Nouveau record à Québec

La région de Québec a aussi recensé un nouveau record de transactions en janvier, avec 829 ventes en janvier 2021 contre 713 à la même période l’année passée.

«Il s’agit toutefois du premier mois depuis juin 2020 où l’augmentation se situe largement sous le niveau de 40 %», a précisé Charles Brant.

Une accalmie qui peut s’expliquer par «une chute de près des deux tiers des inscriptions en vigueur (en 12 mois) dans la catégorie des unifamiliales et le fait que le marché de Québec avait débuté l’année dernière avec une forte activité», a-t-il précisé.

La périphérie nord de la région de Québec a tout de même affiché un niveau record de ventes qui a progressé de 49 %. Elle est suivie par la Rive-Sud (+15 %) et l’agglomération de Québec (+11 %).

Les prix médians rencontrent également de nouveaux sommets, avec des prix de 350 000 $ pour les plex (+9 %) et de 282 000 $ pour les unifamiliales (+11 %). La copropriété, quant à elle, observe une légère baisse de 2 %.

Les statistiques de l’APCIQ pour les régions métropolitaines de Montréal et de Québec ont été établies à partir de la base des données provinciales Centris des courtiers immobiliers.

 

Article original

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2021/02/agent-courtier.png 629 952 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2021-02-05 10:34:222021-02-05 10:36:16Un début d’année prometteur pour les ventes immobilières à Montréal et Québec

Hausse de 20 % en 2021, prévoit maintenant Desjardins

29 janvier 2021/dans Nouvelles /par Vendirect News
Source: www.lapresse.ca

Cette prévision d’une hausse de prix de 20 % en 2021 constitue un changement de cap pour les économistes de Desjardins, qui s’attendaient plutôt à un essoufflement de la hausse des prix.

Si vous envisagez d’acheter une maison prochainement, vous aurez intérêt à ne pas perdre de temps si vous voulez payer moins cher.

Dans sa plus récente publication Zoom sur l’habitation, Desjardins prévoit que le prix moyen des propriétés augmentera de 19,4 % en 2021 pour s’établir à 450 000 $. Ce prix était de 377 000 $ en 2020.

Il s’agit ici du prix moyen des propriétés existantes qui changeront de mains sur le marché de la revente. Ce prix est pondéré en fonction de l’importance relative de chacune des sous-catégories (maisons, condos, plex) dans le nombre total de transactions.

S’il se réalise, ce bond de près de 20 % surviendrait après une année 2020 marquée par une inflation des prix de l’ordre de 16,5 %. C’est dire que la hausse du prix moyen approcherait les 40 % en deux ans. Pas facile d’accéder à la propriété dans une telle conjoncture.

Cette prévision d’une hausse de prix de 20 % en 2021 constitue d’ailleurs un changement de cap pour les économistes de Desjardins.

Pas plus tard qu’au début décembre, Desjardins s’attendait plutôt à un essoufflement de la hausse des prix. La croissance des prix devait aller en diminuant ; les programmes d’aide du gouvernement étant mieux ciblés et les congés de paiement sur l’hypothèque tirant graduellement à leur fin.

Relirez notre article de décembre dernier

Deux mois plus tard, l’économiste Hélène Bégin a changé son fusil d’épaule. « La situation a évolué sur deux aspects, explique-t-elle dans un entretien. Le nombre de propriétés à vendre continue de baisser de façon importante. Ensuite, le ratio ventes/nouvelles inscriptions, un indicateur offre-demande, continue de se resserrer. Tant que le marché est aussi serré, dit-elle, les hausses de prix vont continuer de s’accélérer. »

Ce ratio ventes-nouvelles inscriptions, autour de 85 % au Québec, reste le plus élevé au pays parmi les provinces canadiennes. « Pour que les hausses de prix ralentissent, ça aurait pris un ratio qui change de cap, mais ce n’est pas le cas », fait savoir l’économiste principale de la coopérative financière.

Si l’inflation s’emballe, le volume de transactions bougera à peine. Desjardins prévoit 115 000 transactions sur le marché de la revente en 2021, une progression de 2,2 % par rapport au niveau d’activité observé l’année précédente.

« Le nombre limité de nouvelles inscriptions freinera la croissance des ventes résidentielles cette année au Québec. La hausse des prix continuera toutefois à s’accélérer vers les 20 % compte tenu du faible inventaire de propriétés disponibles. La plupart des marchés de la province demeurent nettement à l’avantage des vendeurs, ce qui alimente la croissance des prix », lit-on dans la publication parue le 27 janvier.

 

Article original

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2021/01/Courtier-immobilier.png 610 921 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2021-01-29 08:55:142021-01-29 08:59:57Hausse de 20 % en 2021, prévoit maintenant Desjardins

Le bon choix de foyer pour une maison écolo

20 janvier 2021/dans Nouvelles /par Vendirect News

Source: https://www.centris.ca/

 

Un foyer est réellement un élément qui donne un cachet indéniable à une propriété. Apportant de la chaleur à tous les niveaux, que ce soit en matière de réconfort autant qu’en énergie, le foyer est souvent le point central du salon, de la salle à manger, et même parfois de la chambre à coucher!

 

 

Tout se joue au niveau du combustible

Pour que le foyer soit en harmonie avec la planète, il faut que son combustible soit renouvelable. En ce sens, les foyers à gaz naturel ou à propane sont bien pratiques, n’exigeant aucun ramonage et s’éteignant dès que l’alimentation en gaz est coupée. Par ailleurs, le gaz naturel et le propane ne sont pas des sources d’énergie renouvelables, en plus d’émettre des gaz à effet de serre.

Les foyers écologiques au biocarburant ont fait leur apparition en Europe il y a une dizaine d’années. Une vingtaine de modèles sont distribués au Canada depuis environ cinq ans. Ne nécessitant aucune cheminée, ces foyers fonctionnent à l’éthanol. Ils ne dégagent aucune fumée noire et n’émettent aucun résidu, la combustion de l’éthanol se transformant en vapeur d’eau. Ils sont même assez puissants pour être utiliser comme chauffage d’appoint. Sécuritaires, ils n’ont pas d’incidence sur les primes d’assurance, mais il faut s’assurer que la zone de dégagement soit conforme étant donné qu’ils émettent de la chaleur.

 

L’efficacité énergétique a aussi son mot à dire

Bien que le combustible occupe généralement une place de choix lorsque vient le temps de choisir un foyer écologique, la cote d’efficacité énergétique n’est pas à négliger. Plus la cote du foyer est élevée, plus il est efficace et il permet d’économiser l’énergie, autre argument écologique qui fait beaucoup de poids.

Le foyer électrique est le type d’appareil qui rencontre les deux critères. Il est écologique et économique. Son utilisation est simple et il crée une ambiance chaleureuse en émettant toutefois très peu de chaleur. Il s’agit aussi d’un bon compromis lorsque l’installation d’un foyer à gaz ou au bois est interdite.

Le grand champion en termes d’efficacité énergétique est sans contredit le foyer à granules. Facile à utiliser, ce type de foyer s’approvisionne de granules faites de résidus de bois secs compressés. Son thermostat intégré permet de contrôler la chaleur. Le foyer à granules est moins polluant que le foyer traditionnel au bois, en plus de brûler les granules de façon constante durant plus de 24 heures. Son système de ventilation fonctionne à l’électricité.

De plus en plus de modèles de foyers au bois plus écologiques font régulièrement leur apparition sur le marché. En réduisant les émissions de particules produites grâce à une température de combustion très élevée, ces foyers au bois ont réussi à obtenir la cote EPA à combustion propre. Une belle flamme haute et vigoureuse est visible, en plus d’offrir une efficacité énergétique supérieure au foyer de bois traditionnel.

En matière de foyers écologiques, les technologies évoluent rapidement. Mieux vaut s’adresser à un expert dans le domaine afin d’être conseillé adéquatement avant de procéder à l’achat.

 

Article original

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2021/01/image-vebndi.png 859 1132 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2021-01-20 16:08:002021-01-20 16:08:26Le bon choix de foyer pour une maison écolo

Pas de pause pour le marché de l’immobilier au Québec

11 janvier 2021/dans Nouvelles /par Vendirect News
Source: https://ici.radio-canada.ca/
Deux hommes se félicitent d'un coup de coude bien senti.

Les visites de propriétés et de locaux en vue d’une transaction demeurent possibles avant 20 h.

Les transactions immobilières et les visites de propriétés pourront se poursuivre sans problème au cours des prochaines semaines. Le couvre-feu de 20 h devra toutefois être respecté par tous les acteurs impliqués.

La vente et l’achat d’une maison, d’un plex, d’un condo, d’un chalet ou même d’un commerce continueront d’être permis malgré les restrictions annoncées mercredi par le premier ministre François Legault.

Dans un bulletin spécial envoyé jeudi aux membres de la profession, l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec confirme que les visites de propriétés et de locaux visant la réalisation d’une transaction seront toujours possibles après le samedi 9 janvier, date à laquelle les nouvelles mesures doivent entrer en vigueur.

Elles devront toutefois avoir lieu dans le respect du couvre-feu imposé par le gouvernement. Les professionnels devront donc prévoir que les personnes impliquées seront revenues à leur résidence au plus tard à 20 h, écrit l’OACIQ Organisation d’autorégulation du courtage immobilier du Québec.

Quant aux visites libres, elles demeurent à proscrire, ajoute l’organisme.

Plusieurs règles à respecter

Dans son message, l’OACIQ Organisation d’autorégulation du courtage immobilier du Québec explique que, de manière générale, l’exercice du courtage immobilier demeure possible, mais rappelle que de nombreuses règles doivent être observées par les professionnels de l’industrie.

Fermés depuis les Fêtes, les locaux des agences immobilières, par exemple, ne pourront pas rouvrir avant le 8 février, lorsque les restrictions présentées mercredi viendront à échéance.

L’utilisation d’outils permettant le travail à distance – comme les visites virtuelles, les vidéoconférences, les conférences téléphoniques, les formulaires électroniques et les solutions de signatures électroniques – devra également être préconisée.

Enfin, un Guide des meilleures pratiques en période de coronavirus a été mis à la disposition des courtiers. Il prévoit notamment que ceux-ci doivent procéder à la désinfection des surfaces utilisées avant et après les visites (poignées de porte, sonnette d’entrée, interrupteurs, rampes d’escalier, etc.).

Article original

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2021/01/coude.png 354 626 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2021-01-11 10:22:282021-01-11 10:28:05Pas de pause pour le marché de l'immobilier au Québec

Cinq questions importantes au sujet du marché de l’immobilier québécois

4 janvier 2021/dans Nouvelles /par Vendirect News

Source: www.journaldemontreal.com

 

Si vous avez tenté de vendre ou d’acheter une propriété en 2020, vous avez probablement remarqué que les prix ont augmenté à une vitesse folle.

Pour entrevoir l’immobilier en 2021, il vaut mieux regarder l’avenir selon les grandes questions qui pourraient influencer le marché.

Voici les cinq grandes questions qu’il faudra se poser avant de vendre ou d’investir :

1. Le prix des maisons unifamiliales va-t-il continuer de grimper ?

La réponse est oui. La croissance des prix est en grande partie causée par le phénomène d’offre et de demande. La demande est actuellement très forte et l’offre demeure réduite, ce qui pousse les prix à la hausse.

Selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), 19 % des futurs acheteurs envisagent l’achat d’une première propriété dans la prochaine année. Cette proportion était de seulement 7 % à la fin de 2019. Parallèlement, le nombre de mois d’inventaire des maisons se situant dans la fourchette 300 000 $ à 500 000 $ est passé de près de 12 mois en 2015 à seulement 2,1 mois au tournant de l’année 2021.

En tenant compte de ces éléments, l’APCIQ prévoit qu’à l’échelle du Québec, les prix résidentiels vont s’accroître de 5 % en 2021.

2. Votre pouvoir d’achat est-il diminué ?

Si vous vous apprêtez à acheter votre première propriété, votre pouvoir d’achat risque d’être moins grand que ne l’était celui de vos parents, et ce, malgré la faiblesse actuelle des taux d’intérêt.

Selon l’APCIQ, le temps moyen nécessaire pour accumuler la mise de fonds minimale de 5 % est passé d’un peu moins de 3 ans en 2000 à près de 5 ans en 2020. De plus, la proportion moyenne du revenu nécessaire à payer une hypothèque est passée de 15 % en 2000 à 21,4 % en 2020. À moins d’un renversement inattendu, la tendance risque de se poursuivre en 2021.

3. Les taux d’intérêt vont-ils encore baisser ?

Il est peu probable que les taux d’intérêt baissent davantage puisqu’ils sont actuellement très bas. Généralement, quand les taux d’intérêt baissent, cela favorise la hausse des prix. Mais si une autre crise devait survenir, le gouvernement aurait bien de la difficulté à abaisser encore les taux.

Et si, pour freiner la hausse des prix, le gouvernement choisissait plutôt de rehausser les taux, plusieurs propriétaires endettés à la limite de leurs capacités se retrouveraient à court de liquidités.

4. Les plex se vendront-ils encore à des prix de fou ?

Cela dépend où vous regarderez. Les prix des plex ont énormément augmenté dans plusieurs régions au cours de la dernière année (+18 % dans la RMR de Québec et +9 % dans la RMR de Montréal), si bien que les revenus locatifs n’ont pas suivi les prix de vente. En région et même en banlieue des grandes villes, les plex affichent souvent une meilleure rentabilité que ceux situés dans les centres-villes. En 2021, il ne faut donc pas avoir peur d’agrandir votre rayon d’action pour trouver un immeuble affichant une bonne rentabilité.

5. La popularité des régions, est-ce une mode passagère ?

Le confinement et le télétravail généralisé ont sans aucun doute accru la demande pour les maisons situées en région, ce qui a propulsé les prix vers le haut. Par exemple, dans les Laurentides, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 34 % de novembre 2019 à novembre 2020.

Comme mentionné plus haut, l’APCIQ prévoit que les prix résidentiels à l’échelle provinciale vont s’accroître de 5 % en 2021. En 2020, la hausse a été de 13 %. Il y aura donc un ralentissement de la croissance, qui pourrait être plus marqué en région si les télétravailleurs qui s’y sont expatriés choisissent éventuellement de revenir en ville.

CONSEILS

  • Si vous souhaitez devenir propriétaire en 2021, commencez par définir vos besoins. Vous n’avez pas nécessairement besoin d’acheter la maison la plus grosse du quartier.
  • Pour épargner la mise de fonds, il faut être discipliné. Établissez un budget, limitez les dépenses superflues et maximisez votre épargne.
  • Dites-vous que l’achat d’une maison est très souvent avantageux sur le long terme. C’est également le cas si vous décidez de vous en servir comme levier pour faire d’autres investissements.

 

Article original

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2021/01/maison-vendu-cartoon.png 661 912 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2021-01-04 08:58:282021-01-04 08:58:28Cinq questions importantes au sujet du marché de l’immobilier québécois

Plus de 100 000 unifamiliales vendues en 12 mois

28 décembre 2020/dans Nouvelles /par Vendirect News
Source: https://www.lesaffaires.com/

Bulletin Les Affaires — JLR. Cet été, lorsque le nombre de transactions a bondi, nous parlions d’un effet de rattrapage alors que nous venions de traverser un printemps très tranquille vu le confinement imposé par le gouvernement. Depuis, nous avons largement dépassé cet effet rattrapage et l’année devrait se terminer avec un nombre de ventes record en plus d’afficher des hausses de prix très élevées.

 

Tendances provinciales —novembre 2020

L’année 2020 aurait probablement été très active même sans la pandémie si l’on se fie au nombre de transactions enregistrées en début d’année. En fait, pour les unifamiliales et les régions, la crise sanitaire a probablement fait croître le nombre de transactions par rapport à ce qu’on aurait observé sans pandémie et les prix ont suivi la même trajectoire vu une demande accrue. Pour les copropriétés, la croissance des transactions aurait probablement été supérieure sans la COVID-19 puisque le début de l’année avait débuté avec des hausses très marquées. Les petites unités et le centre-ville de Montréal n’ont pas connu le gain en termes de ventes qu’ils auraient dû avoir en 2020 sans pandémie.

Dans tous les cas, la crise sanitaire aura eu un effet important sur la croissance des prix. La baisse des taux d’intérêt et la diminution de l’offre causée, entre autres, par un report des projets de déménagement en résidence ou dans des unités plus petites ont favorisé la montée des prix dans une très grande majorité de secteurs. Ainsi, ces changements sont venus faire croître les prix davantage que si la pandémie n’avait pas eu lieu.

Lorsque les mesures de soutien s’atténueront et que des millions de Québécois seront vaccinés, l’offre pourrait progresser un peu. D’une part, les gens ayant reporté leur vente décideront peut-être de remettre leur propriété sur le marché et certaines personnes pourraient être contraintes de vendre faute de moyens financiers. Cependant, ces effets sur le marché risquent de prendre encore plusieurs mois avant de s’observer. Le regain, quoique présent, pourrait être limité par l’annulation de certains projets de relocalisation vers des habitations plus petites. La pandémie finira par s’estomper, mais les craintes par rapport à celle-ci pourraient perdurer longtemps. Néanmoins, la reprise de l’offre devrait aider à réduire la pression sur le marché immobilier, mais les prix pourraient rester élevés, surtout en région et pour les unifamiliales, des secteurs que le télétravail favorise.

 

Ventes d’unifamiliales au Québec

Selon les actes colligés par JLR, une société d’Equifax, depuis le Registre foncier du Québec, 100 139 propriétés unifamiliales ont été vendues dans la province au cours des douze derniers mois, ce qui représente une hausse de 16% relativement à la même période l’année précédente. C’est la première fois qu’un nombre de ventes au-dessus de 100 000 est enregistré pour une période de 12 mois, signe d’un marché immobilier très actif.

Les derniers mois ont été particulièrement exceptionnels et novembre ne fait pas exception avec une augmentation des transactions de 36% par rapport au même mois en 2019. Cette hausse, quoique majeure, est tout de même un peu plus faible que celles enregistrées en septembre (+58%) et en octobre (+51%). Tranquillement, l’effet rattrapage s’atténue et le nombre de propriétés en vente devient plus limité. Ainsi, même si les hausses devraient toujours être présentes dans les prochains mois, l’ampleur de celles-ci devrait être réduite.

Le prix médian sur douze mois des unifamiliales a atteint 272 000 $, en croissance de 7% ; pour novembre seulement, le bond est de 16%. Ces derniers mois le gain mensuel était beaucoup plus élevé que sur 12 mois, étant donné la récente augmentation rapide des prix. Dans de telles circonstances, on peut s’attendre à une croissance du gain sur 12 mois à la fin 2020 et en début de 2021.

 

Ventes de copropriétés au Québec

Les ventes de copropriétés, quant à elles, ont grimpé de 8% au cours des douze derniers mois pour un total de 40 730 transactions, encore là, il s’agit d’un record pour une période de 12 mois. Cependant, la prudence est de mise pour les comparaisons avec le passé puisque le parc immobilier de copropriété a crû rapidement au cours des dernières décennies. Au final, la moyenne mobile sur 12 mois est un peu au-dessus de ce qui était observé avant la crise sanitaire, ce qui montre un effet rattrapage important lors des derniers mois. La hausse provient toutefois davantage de la période avant la pandémie que depuis celle-ci. Les ventes ne sont que légèrement plus élevées entre mai et novembre 2020 qu’à la même période en 2019, une hausse faible qui devrait néanmoins s’accroître avec les transactions de décembre.

Pour novembre dernier, un bond de 28% comparativement à novembre 2019 a été enregistré. Le regain pour les copropriétés est moins fort que pour les unifamiliales, et là aussi, il tend à diminuer alors qu’en septembre le gain était de 32% et en octobre de 33%. Bref, des hausses sont encore à prévoir, mais elles tendent à s’amoindrir.

En fait, plusieurs futurs acheteurs de copropriétés sont toujours présents sur le marché, mais certains ont délaissé cette option pour une résidence unifamiliale ce qui explique la reprise moins prononcée pour les condos. Alors que les grandes unités à l’extérieur du centre-ville de Montréal demeurent populaires, l’intérêt pour les petites unités centrales a reculé ce qui limite l’augmentation des ventes totales.

En ce qui concerne le prix médian, il a crû de 7% sur douze mois pour atteindre 272 158 $ favorisé par un acquis de croissance important. Pour le mois de novembre, le gain est de +8%, alors qu’au cours des derniers mois les hausses mensuelles étaient généralement plus faibles que celles sur 12 mois. Les prochains mois nous en apprendrons plus sur la trajectoire des prix pour 2021 dans le secteur de la copropriété.

 

L’indice d’accessibilité à la propriété (indice AP)

En novembre 2020, l’indice AP de la province a atteint 95,2, soit un recul de 3,3% par rapport au même mois en 2019. Pour un troisième mois consécutif, l’indice AP est en diminution par rapport à l’année dernière et celle-ci s’accentue chaque mois. Les baisses de taux d’intérêt et les hausses de salaire ne compensent pas la croissance du prix des maisons. Qui plus est, l’augmentation du salaire médian pourrait être biaisée à la hausse puisque plusieurs pertes d’emploi causées par la pandémie sont dans des secteurs peu rémunérés. Ainsi, le salaire médian augmente, en partie, car certains emplois à plus faible salaire n’existent tout simplement plus, ce qui n’implique donc pas une amélioration du revenu des ménages. Par conséquent, l’accès à la propriété se détériore possiblement plus que ce que l’indice montre. La baisse risque de poursuivre au cours des prochains mois puisque l’augmentation des revenus et les baisses de taux d’intérêt ne pourront probablement pas compenser la hausse de prix.

L’indice est basé sur le ratio salaire hebdomadaire médian (statistique Canada)/paiement hypothécaire «type» rapporté en un indice base 100 (janvier 2010=100).

 

 

Tendances par ville

Dans plusieurs villes du Québec, la demande de propriétés est très forte depuis cet été et l’attrait pour les maisons en région a stimulé les ventes d’unifamiliales dans plusieurs secteurs. Ainsi, les ventes ont augmenté dans 24 des 25 villes analysées pour le mois de novembre et dans 23 des 25 sur 12 mois. La ville de Lévis se démarque avec une croissance des ventes de 98 % en novembre et de 31 % sur 12 mois. Elle affiche la plus forte croissance tant pour un mois que sur 12 mois. Le télétravail a pu mener certains citoyens de Québec à traverser le pont vu la nécessité décroissante d’habiter près de son travail et le besoin d’espace accru. Ceci étant dit, la ville de Québec n’est pas en reste avec une croissance des ventes d’unifamiliales de 19 %.

Les villes de Sherbrooke (+24%), Granby (+24%), Shawinigan (+24%) et Rimouski (+27%) se distinguent également avec des croissances de plus de 20% sur 12 mois. Ces fortes hausses à l’extérieur du Grand Montréal sont signe d’un intérêt très fort pour les plus grands espaces à coût moindre. Ce ne sont toutefois pas encore ces municipalités qui connaissent la plus forte hausse de valeur.

Les banlieues de Montréal sont les endroits où les prix augmentent le plus rapidement dû à une forte demande, mais également à une offre plus restreinte que dans les régions plus éloignées. Le faible inventaire même avant la pandémie a limité la croissance des ventes, mais a permis à l’augmentation de la demande de propulser les prix. Les villes de Blainville (+19%), Brossard (+18%) et de Saint-Jean-sur-Richelieu (18%) affiche les plus fortes hausses du prix médian sur 12 mois.

Dans tous les cas, les tendances haussières sur 12 mois risquent de s’accroître pour le secteur des unifamiliales, car les augmentations en novembre par rapport à l’année dernière sont toutes supérieures à la croissance sur 12 mois, à l’exception des villes de Saint-Jérôme, de Châteauguay et de Rimouski où c’est plutôt le contraire. Ainsi, pour le marché de l’unifamiliale, des hausses par rapport à l’année dernière sont encore attendues au cours des prochains mois.

En ce qui concerne les copropriétés, le portrait diffère d’une ville à l’autre. En novembre, les ventes ont rebondi fortement dans cinq des six villes analysées. Brossard fait bande à part avec une baisse du nombre de transactions de 23%, toutefois la croissance sur 12 mois demeure importante avec +15%. La diminution des ventes au mois de novembre n’est pas associée à un recul de la demande, mais plutôt au fait que plusieurs unités neuves avaient été livrées en novembre 2019 ce qui avait gonflé les ventes à cette époque.

Dans la ville de Montréal, le nombre de transactions au cours des douze derniers mois demeure 3% plus faible que pour la même période l’année précédente. Malgré un regain des ventes au cours des derniers mois, l’effet rattrapage n’a pas compensé les ventes non conclues au printemps, car la demande a faibli pour les copropriétés, surtout pour celles se trouvant au centre-ville.

En ce qui concerne les prix, ils continuent de croître dans toutes les villes à l’exception de Québec. Même si les ventes grimpent dans cette ville, les prix tardent à renouer avec la hausse.

 

À propos de JLR, société d’Equifax

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https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2020/12/aste.png 369 558 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2020-12-28 15:02:042020-12-28 15:04:29Plus de 100 000 unifamiliales vendues en 12 mois

Les ventes résidentielles ont augmenté de 32,1% en novembre

18 décembre 2020/dans Nouvelles /par Vendirect News
Source: https://www.lesaffaires.com

Les ventes résidentielles ont augmenté de 32,1 % en novembre par rapport à l’an dernier, égalant l’augmentation record enregistrée d’une année à l’autre en octobre, a indiqué mardi l’Association canadienne de l’immeuble (ACI). 

Les ventes de maisons ont cependant diminué de 1,6 % entre octobre et novembre, a précisé l’ACI, alors que le marché s’est installé dans la saison hivernale, traditionnellement plus tranquille, après que la pandémie de COVID-19 a retardé la forte activité habituellement enregistrée au printemps.

Selon l’ACI, 511 449 maisons ont été vendues jusqu’à présent cette année, ce qui pourrait permettre au marché immobilier canadien d’atteindre un sommet record de ventes annuelles.

Le prix national moyen des maisons s’est établi à 603 000 $ en novembre, en hausse de 13,8 % par rapport au même mois l’an dernier, a indiqué l’association.

 

 

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https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2020/12/image-cleé.png 376 560 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2020-12-18 12:19:332020-12-18 12:24:39Les ventes résidentielles ont augmenté de 32,1% en novembre

La Banque du Canada maintient son taux à 0,25 %

11 décembre 2020/dans Nouvelles /par Vendirect News

PHOTO BLAIR GABLE, ARCHIVES REUTERS

Tiff Macklem, gouverneur de la Banque du Canada

(Ottawa) Les bonnes nouvelles au sujet de la livraison de vaccins ne suffiront pas pour immuniser l’économie au début de 2021, a indiqué mercredi la Banque du Canada, alors qu’elle maintenait son taux d’intérêt directeur à son faible niveau et avertissait que la hausse des cas de COVID-19 au Canada pèserait sur la croissance à court terme.

JORDAN PRESS
LA PRESSE CANANNE

La banque centrale a souligné que les restrictions en réponse à l’augmentation du nombre de cas freineraient la croissance économique pendant les trois premiers mois de la nouvelle année, et que le virus « (contribuerait) à une trajectoire en dents de scie jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible à grande échelle ».

Elle a également fait un clin d’œil à l’aide fédérale aux ménages et aux entreprises qui, selon elle, devrait maintenir les revenus au long de cette deuxième vague de COVID-19 et contribuer aux efforts de reprise.

L’économie canadienne a plongé en mars et avril, lorsque la pandémie est arrivée au pays, alors que les entreprises jugées non essentielles ont été fermées, que les travailleurs ont été invités à rester à la maison et qu’environ trois millions d’emplois ont été perdus.

Depuis lors, le pays a récupéré un peu plus des quatre cinquièmes de ces pertes d’emplois, et la croissance économique pour le dernier trimestre de 2020 dépasse les attentes de la banque.

Les prévisions économiques les plus récentes de la banque centrale s’appuyaient sur le fait qu’un vaccin deviendrait largement disponible en 2022, et non l’année prochaine, comme cela semble désormais être le cas.

Les nouvelles positives sur les vaccins « rassurent quant à la fin de la pandémie », selon le communiqué de la banque, même si « le rythme et l’étendue des campagnes de vaccination à l’échelle mondiale restent incertains ».

Peu de temps après la publication du communiqué de la banque centrale, Santé Canada a approuvé le vaccin de Pfizer contre la COVID-19.

« Ces nouvelles positives sur les vaccins font vraiment plus que contrebalancer les inquiétudes au sujet du contexte économique à court terme », a observé Josh Nye, économiste principal de la Banque Royale.

« Il y a des raisons pour que la banque soit un peu plus optimiste, mais […] elle est restée assez prudente dans cet optimisme. »

En effet, le communiqué de mercredi a souligné que l’économie aurait besoin « d’être appuyée par des mesures de politique monétaire exceptionnelles » sous la forme d’un taux directeur au plus bas et d’un programme continu d’achat d’obligations sans précédent dans l’histoire de la banque centrale.

Taux directeur inchangé à 0,25 %

La Banque du Canada a laissé son taux d’intérêt directeur inchangé à 0,25 %. Elle a aussi annoncé qu’elle poursuivait son programme d’assouplissement quantitatif en continuant à acheter pour environ 4 milliards d’obligations par semaine.

Ces deux décisions visent à faire baisser les taux d’intérêt sur plusieurs types de prêts, des hypothèques aux prêts aux entreprises pour encourager les dépenses et alléger le poids de l’endettement.

La banque centrale a précisé mercredi qu’elle laisserait son taux de référence à sa « valeur plancher » jusqu’à ce que les capacités excédentaires de l’économie se résorbent assez pour que la cible d’inflation de 2,0 % soit atteinte « de manière durable ».

Dans sa déclaration, la banque a répété qu’elle ne s’attendait pas à voir l’inflation regagner ce niveau avant 2023.

Benjamin Reitzes, directeur des taux canadiens pour la Banque de Montréal, a cependant noté que la projection émanait des prévisions d’octobre, « ce qui suggère que ce calendrier pourrait changer dans la mise à jour de janvier ».

La décision de mercredi était la dernière de 2020 en ce qui a trait à la politique monétaire de la Banque du Canada. Cette année aura vu l’institution réduire les taux d’intérêt de façon importante en réponse à la crise économique causée par la pandémie de COVID-19.

Les actions extraordinaires de la banque centrale l’ont placée dans la ligne de mire politique à la Chambre des communes, où les conservateurs ont remis en question son programme d’achat d’obligations, qui fournit un financement à faible coût de la dette fédérale.

Lors de la réunion de mardi du Comité des finances de la Chambre des communes, la ministre des Finances, Chrystia Freeland, a défendu l’indépendance de la banque centrale vis-à-vis du gouvernement, lorsqu’interrogée par le critique conservateur Pierre Poilievre.

« C’est quelque chose que j’apprécie et respecte en tant que ministre des Finances, et je pense que tous les députés devraient faire de même », a-t-elle déclaré.

La prochaine décision de taux de la banque est prévue pour la fin janvier. Elle en profitera pour publier une mise à jour de ses perspectives économiques.

La journée de mercredi marquait en outre un nouveau changement dans les échelons supérieurs de la banque centrale, avec le départ de la première sous-gouverneure Carolyn Wilkins, qui a passé près de 20 ans à la banque.

Dans un message transmis sur Twitter, Mme Freeland a remercié Mme Wilkins pour ses années de service. « Votre leadership, votre dévouement et votre expertise ont été indispensables », particulièrement pendant la pandémie, a-t-elle affirmé.

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2020/12/ven-direct-post.png 605 916 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2020-12-11 08:16:042020-12-11 08:17:52La Banque du Canada maintient son taux à 0,25 %
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