Inspection préachat: élémentaire mon cher Watson!

Inspection préachat: élémentaire mon cher Watson!

Avant d’acheter, il est fortement recommandé de procéder à une inspection. Au-delà des éléments bien visibles, le bâtiment est-il en bonne santé? Pour poser un diagnostic et vous donner l’heure juste sur les éléments comme la toiture, la fondation, le chauffage et la climatisation, la plomberie, l’électricité, l’état du revêtement extérieur ainsi que des portes et des fenêtres, il vaut mieux recourir à un inspecteur reconnu.
Au Québec, la fonction d’inspecteur n’est encadrée par aucune loi. Toutefois, il existe des associations professionnelles comme l’Association des inspecteurs en bâtiments du Québec et l’Association nationale des inspecteurs et experts en bâtiments. Elles exigent que leurs membres possèdent une formation adéquate, comme une attestation d’études collégiales en inspection de bâtiments.

Les inspecteurs peuvent aussi appartenir à un ordre professionnel, par exemple l’Ordre des architectes du Québec, l’Ordre des technologues professionnels du Québec, l’Ordre des évaluateurs agréés du Québec ou encore l’Ordre des ingénieurs du Québec. Les ordres professionnels ont comme responsabilité de protéger le public, ce qui ajoute à la responsabilité de leurs membres. Enfin, demandez à votre courtier de vous référer deux ou trois inspecteurs. Contactez-les pour connaître la durée de l’inspection selon la grandeur de la propriété, obtenir un prix et des renseignements sur le type de rapport qu’ils produiront. Comme la période au cours de laquelle vous pouvez faire une inspection est limitée, entreprenez vos démarches rapidement pour fixer un rendez-vous.

Soyez présent et attentif
L’inspection est l’occasion de bien connaître votre future propriété. Soyez présent et attentif au cours de la visite. Il est probable que l’inspecteur vous fera remarquer différents éléments à améliorer ou à entretenir, mais qui ne feront pas nécessairement partie de son rapport final. Celui-ci devrait être accompagné de photographies et de recommandations pour corriger certains problèmes (pose d’un isolant; changement du chauffe-eau, etc.). Si certains aspects ne sont pas clairs pour vous dans le rapport d’inspection, soyez à l’aise de poser des questions.

Copropriété et inspection
Dans le cas d’une copropriété où il n’est pas possible de réaliser une inspection, en raison de la taille du bâtiment, par exemple, il faut bien examiner la documentation comme les procès-verbaux des assemblées de propriétaires – dans lesquels il peut être fait mention de travaux à venir ou de problèmes particuliers – le carnet d’entretien de l’immeuble et le fonds de prévoyance. Il arrive aussi que le syndicat demande aux copropriétaires des contributions spéciales en plus des charges de copropriété mensuelles en raison des dépenses importantes pour des travaux. Elles pourraient avoir été votées par le syndicat avant la vente notariée, mais n’être payables par l’acheteur qu’après la date de la vente.

Votre courtier immobilier possède l’expertise requise pour bien vous accompagner dans ce processus.

Marché immobilier : comment suivre les tendances?

Marché immobilier : comment suivre les tendances?

Source: centris.ca

Changements législatifs, variations de prix, fluctuations de l’inventaire, ralentissement de l’activité et surchauffe : le marché immobilier peut parfois être un tourbillon en mouvance constante. Comment demeurer à l’affût de l’actualité immobilière pour tirer son épingle du jeu? C’est précisément ce que vous découvrirez en parcourant cet article.

Pourquoi suivre l’actualité immobilière?

Les acheteurs tout comme les vendeurs en ont été témoins au cours des dernières années : le marché immobilier bouge rapidement! Qu’il s’agisse de faire construire une maison neuve, d’acheter, de vendre ou de louer une habitation, ce contexte en perpétuelle évolution affecte la prise de décision.

La solution? Suivre les tendances en immobilier de manière assidue en vue de trouver la propriété de vos rêves, de maximiser votre investissement ou d’optimiser la valeur d’un immeuble locatif. Ainsi, vous connaîtrez vos droits et obligations, tout comme les meilleures pratiques à adopter pour réaliser votre projet, tout en limitant les risques qui y sont associés[1].

Comment être à l’affût des dernières nouvelles?

Voici cinq sources fiables qui vous permettront d’être informé des nouveautés de l’industrie en temps réel.

1. L’actualité en ligne

En seulement quelques clics, vous trouverez sur le Web une multitude de renseignements riches et variés qui vous éclaireront sur toutes les facettes du marché immobilier. Pensez donc à consulter :

Les sites web de médias et de nouvelles
Les sites Internet spécialisés en immobilier
Les blogues axés sur l’actualité immobilière
Truc de pro : programmez des alertes Google. Ce service gratuit envoie une notification lorsqu’une nouvelle page web correspondant aux mots-clés sélectionnés apparaît dans les résultats du moteur de recherche. Et pour être certain de recevoir les informations les plus récentes directement dans votre boîte de courriels, abonnez-vous à l’infolettre de Centris.

2. Les rapports de recherche

Les rapports de recherche permettent une analyse approfondie des grandes tendances du marché immobilier à partir de données fiables. L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) propose d’ailleurs un baromètre du marché résidentiel et des statistiques mensuelles détaillées qui vous aideront à rester branché sur l’actualité immobilière.

La Banque du Canada, tout comme la plupart des banques et des institutions financières publient également des rapports brossant un portrait complet de l’état du marché.

3. Les événements immobiliers

Saviez-vous que plusieurs activités immobilières sont accessibles au grand public? Conférences, salons et séminaires : voilà autant d’occasions d’approfondir vos connaissances dans le domaine tout en développant votre réseau de contacts. En obtenant une information juste et exclusive, vous serez à même de concrétiser votre projet aux meilleures conditions possibles.

4. Balado L’immobilier en mouvement

L’APCIQ a récemment lancé son tout premier balado : L’immobilier en mouvement. Ne manquez pas ce rendez-vous mensuel où des experts de l’industrie vulgarisent l’évolution du marché avec rigueur. Celui-ci peut être écouté à partir du site web de l’Association, de Spotify ou d’Apple Podcasts. Plusieurs autres balados du même genre sont également disponibles sur ces plateformes.

5. Suivre des courtiers immobiliers

Les réseaux sociaux regorgent de renseignements constamment mis à jour. Suivre quelques courtiers immobiliers, des agences immobilières et des experts dans le domaine peut donc être une stratégie payante. Gardez toutefois l’œil ouvert et assurez-vous de l’exactitude et l’objectivité de l’information que vous lirez.

Qu’il s’agisse de sites web, de réseaux sociaux, de balados ou d’événements, plusieurs moyens s’offrent à vous pour observer l’évolution du marché immobilier. La clé du succès? Consulter des sources de confiance sur une base régulière pour être prêt à bouger rapidement lorsque l’occasion se présentera.

Source: centris.ca

Comment faire une offre d’achat sur une maison

Comment faire une offre d’achat sur une maison?

Source: centris.ca

Signer une offre d’achat est une étape déterminante qui vous engagera dans l’une des transactions les plus importantes de votre vie : l’acquisition d’une propriété. Grâce à cette démarche encadrée par la Loi sur le courtage immobilier, vous signifierez au vendeur votre intention d’acheter son bien immobilier à certaines conditions.

Comme le formulaire de promesse d’achat est un engagement formel qui vous lie dès la signature des deux parties, voici quelques éléments qui vous aideront à présenter une offre d’achat sur une maison en toute connaissance de cause.

5 éléments à considérer lors de la signature d’une promesse d’achat

Le formulaire d’offre d’achat comporte plusieurs clauses qui vous seront expliquées en détail par votre courtier immobilier au moment de sa signature, dont les principales sont les suivantes :

1. L’identification des parties

Le vendeur est-il le véritable propriétaire de la maison? En plus de lui demander de vous montrer des pièces d’identité, vous pourriez effectuer une recherche au Registre foncier du Québec en ligne pour trouver la réponse à cette question. Veillez également à obtenir l’accord de tous les propriétaires, dans le cas où il y en aurait plus d’un.

2. La description du bien immobilier

Assurez-vous que l’adresse, le numéro de lot et la dimension du terrain soient clairement identifiés. Votre courtier immobilier pourra aussi effectuer les vérifications nécessaires auprès du registre foncier.

3. Le prix, l’acompte et les modalités de paiement

En plus du prix de vente, pour une offre d’achat, le formulaire devrait préciser les conditions du financement. Si un acompte est prévu, il faut mentionner le montant et ce qu’il en adviendra si le contrat est annulé, en plus de l’inclusion des taxes – ou non – dans le prix de vente.

4. Les conditions de vente

La promesse d’achat doit inclure toutes les conditions essentielles à la vente de la propriété. Celle-ci peut même prévoir une annulation si l’une d’entre elles n’est pas respectée. Ainsi, prenez soin d’indiquer les documents à obtenir et les étapes à franchir avant de concrétiser l’achat de la maison, par exemple :

Le certificat de localisation à jour;
La déclaration du vendeur;
La déclaration de copropriété;
Les baux en vigueur;
La garantie légale;
La réalisation d’une inspection préachat;
Les éléments inclus et exclus de la transaction.

5. Les délais prévus

Le « délai de rigueur » correspond à la période allouée au vendeur pour répondre à l’offre d’achat. Une fois celle-ci entièrement écoulée, la promesse d’achat devient invalide. Par ailleurs, il est conseillé de prévoir d’un à trois mois entre la signature de l’offre d’achat et le déménagement afin de permettre à votre institution financière et au notaire de remplir tous les documents légaux.

Somme toute, déposer une promesse d’achat représente un acte de bonne foi. Autrement dit, chacune des parties s’engage à respecter les conditions et les délais prévus de manière honnête et loyale afin d’assurer le bon déroulement de la transaction immobilière

Source: centris.ca

7 avantages du CELIAPP

7 avantages du CELIAPP expliqués par un avocat

Source: centris.ca

Depuis quelques mois, un nouveau véhicule d’épargne est disponible pour les personnes qui souhaitent devenir propriétaire : le CELIAPP ou compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété. Poursuivez votre lecture pour connaitre les 7 avantages du CELIAPP expliqués par un avocat, Me Martin Fortier.

« Imaginez le CELIAPP : vous avez une économie fiscale, vous accumulez de l’argent à l’abri de l’impôt et vous n’avez pas de maximum pour le retirer. Je ne vois pas beaucoup d’inconvénients », explique Me Martin Fortier.

Pour avoir plus d’informations sur le régime d’accession à la propriété, consultez l’article Le RAP, un outil pour augmenter la mise de fonds d’une 1re propriété.

5 avantages du CELIAPP

1. Est-il possible de retirer plus de 40 000 $ ?

Le maximum à vie que vous pouvez cotiser à un CELIAPP est de 40 000 $. C’est le total de vos cotisations seulement, mais il est possible de retirer une somme supérieure en investissant.

2. Placements

Voici les produits financiers dans lesquels vous pouvez investir, ce sont les mêmes que pour un REER.

Dépôts à terme
Obligation du gouvernement ou de sociétés
Fonds communs de placement
Fonds négociés en Bourse
Actions
3. Maximum annuel

Vous pouvez cotiser à ce compte d’épargne jusqu’à un maximum de 8000 $ par année. Mais si vous n’atteignez pas ce montant, la portion non utilisée sera reportée à l’année suivante.

4. Impôt

Cotiser à un CELIAPP vous aide à épargner afin d’acheter une première propriété, le tout à l’abri de l’impôt, puisque les cotisations sont déductibles, et permet de réduire votre revenu imposable.

5. Aucun remboursement

Contrairement au RAP, où on doit rembourser les fonds dans un REER pendant les années suivant l’achat d’une maison, vous n’avez rien à rembourser avec le CELIAPP.

Autres avantages pour les premiers acheteurs

Le CELIAPP comporte de nombreux avantages dont deux particulièrement intéressants, selon Me Martin Fortier.

6. Pas d’achat de maison ? Pas grave !

« Disons que vous n’achetez pas la maison convoitée. Vous avez deux choix avec votre CELIAPP : vous le transférez dans votre REER, libre d’impôt. Vous ne perdrez pas le maximum de REER auquel vous avez droit, ce sera un surplus.

Si vous ne voulez pas le transférer parce que vous avez besoin de cet argent pour un achat, votre deuxième choix est de le retirer et payer de l’impôt selon votre braquette au moment où vous allez faire le retrait. L’avantage est que quand vous cotisez à votre CELIAPP, il n’y a aucune obligation d’utiliser la déduction fiscale à ce moment, il est possible de l’utiliser plus tard », mentionne Me Martin Fortier.

7. Combiner CELIAPP et RAP

Un n’empêche pas l’autre. « Si vous avez de l’argent dans votre REER, vous pouvez utiliser le RAP. En cotisant à votre CELIAPP, vous bénéficierez de deux véhicules d’épargne. Si vous avez 40 000 $ dans le CELIAPP et 35 000 $ en RAP, ça fait 75 000 $ plus les économies d’impôts et l’argent généré par ce montant. Ajoutez ce que votre partenaire a accumulé, on parle d’un bon montant pour faciliter l’acquisition », mentionne Me Martin Fortier.

Comme le dit Me Martin Fortier, ce qu’il faut retenir du CELIAPP, c’est qu’il est vraiment très flexible.

Si vous avez décidé de devenir propriétaire, consultez cet article pour connaitre Les dépenses à prévoir à l’achat d’une propriété.

Source: centris.ca

Premiers acheteurs

Premiers acheteurs : ce qu’il faut savoir avant d’acheter

Source: realtor.ca
L’achat d’une première propriété – qu’il s’agisse d’une maison ou d’un condo – est un moment important dans la vie d’un ménage ou d’un individu. Il est important de bien préparer cette étape cruciale en prenant en compte un ensemble de facteurs qui influencent la faisabilité du projet lors de l’achat, mais aussi lors de la revente de la propriété.

On peut acheter une première propriété à tout moment, mais la situation financière de votre ménage, les conditions macroéconomiques, et l’inventaire sur le marché devraient inciter l’acheteur à agir dans l’urgence ou à faire preuve de patience. Les conditions du marché peuvent en effet varier en fonction du moment de l’année, de l’offre et de la demande, des taux d’intérêt et des politiques gouvernementales. Un courtier ou agent immobilier pourra obtenir des informations pour déterminer le moment opportun pour acheter.

 

Commencer par le commencement : le budget
Avant de se lancer dans la grande aventure de l’achat d’une première propriété, il est crucial de faire le point sur ses finances. Que vous achetiez seul ou en couple, avec ou sans aide, il faut dresser la liste des revenus, de l’épargne, et des coûts qu’un tel projet engendrera.

Bien évidemment, différents régimes de mises de fonds peuvent être envisagés, grâce à la flexibilité offerte par les institutions financières et la SCHL. Il faut toutefois considérer aussi certains frais, payables directement à l’achat, comme les frais de notaire, les taxes de mutation, les frais de déménagement, ainsi que l’achat de meubles et d’accessoires qui viendront inévitablement alourdir votre budget une fois emménagé.

On incite aussi souvent les acheteurs à anticiper les coûts futurs d’entretien d’une propriété. Dans les copropriétés bien gérées, un fonds de prévoyance viendra éponger une partie de ces coûts. Toutefois, lors de l’achat d’une maison, il peut être utile d’anticiper, par l’épargne notamment, de telles dépenses ou d’autres dépenses imprévues. 

Certains programmes municipaux ou gouvernementaux peuvent également aider à financer votre projet, et changer significativement vos calculs : prêts à faible taux, programmes de garantie de prêts ou même certaines subventions. Votre courtier ou agent immobilier pourra certainement vous renseigner sur votre admissibilité à ces programmes.

Choisir une propriété : c’est l’emplacement qui compte avant tout!
Avant de partir à la recherche d’une propriété, il est généralement recommandé de cibler certains critères, au premier rang desquels se trouve l’emplacement. Ce critère devrait vous amener à réfléchir à la proximité de différents services, dont les boutiques, les transports, les parcs ou, pour les jeunes familles, les garderies et les écoles.

Le site REALTOR.ca offre pour chaque propriété une évaluation du quartier en fonction d’une vingtaine de critères, qui incluent entre autres la vie du quartier, les sources de bruit à proximité, mais aussi la convivialité pour les piétons, les cyclistes et les voitures. Un autre onglet vous permettra de connaître l’âge médian, la taille moyenne des ménages, les études et la principale langue parlée à la maison, qui sont autant d’indicateurs importants pour un acheteur.  

Le projet d’achat d’une première propriété est enthousiasmant, mais il est crucial de l’analyser froidement afin de bien comprendre toutes les implications. Un courtier ou agent immobilier saura mettre les choses en perspective et vous accompagner tout au long de ce projet. 

Acheter une propriété qui nous convient, au bon moment, et qui respecte notre capacité de paiement est la garantie d’une opération réussie et durable.

 

Source: realtor.ca

Déménagement : où dois-je signaler mon changement d’adresse

Déménagement : où dois-je signaler mon changement d’adresse?

Source: centris.ca
Signaler son changement d’adresse auprès des gouvernements, institutions financières, fournisseurs de services et autres organisations est une étape essentielle pour bien préparer son déménagement. En lisant cet article, vous découvrirez comment le faire de manière rapide et efficace grâce à une liste détaillée des différents endroits à contacter.

1. Gouvernement du Québec

Le gouvernement provincial propose un Service québécois de changement d’adresse qui permet d’informer plusieurs organismes de votre nouveau lieu de résidence en une seule étape[1]  :

  • Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail
  • Élections Québec
  • Ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale
  • Régie de l’assurance maladie du Québec
  • Revenu Québec
  • Retraite Québec
  • Société de l’assurance automobile du Québec

Les autres instances gouvernementales, quant à elles, doivent être avisées de manière individuelle. Vous pouvez compléter cette démarche en ligne, ce qui aura pour avantage d’accélérer le processus. Pour ne rien oublier, consultez la liste des ministères et organismes du Québec.

2. Gouvernement du Canada

Le gouvernement fédéral ne possède malheureusement pas de service de changement d’adresse centralisé. Vous devez donc signaler votre nouveau lieu de résidence à chacun des ministères concernés. Parmi les incontournables, n’oubliez pas l’Agence du revenu du Canada (ARC) et Élections Canada. Vous pouvez également parcourir la liste des ministères et organismes du Canada pour avoir une vue d’ensemble .

3. Fournisseurs de services

Afin d’éviter tout bris de service ou souci relatif à la facturation, pensez à contacter l’ensemble de vos fournisseurs, comme :

  • Hydro-Québec
  • Energir
  • Votre fournisseur Internet
  • Votre fournisseur de câblodistribution
  • Votre fournisseur de services téléphoniques résidentiels
  • Votre fournisseur de téléphonie mobile
  • Votre fournisseur de combustible pour le chauffage
  • Les entreprises de location de vos appareils de chauffage
  • L’entreprise responsable du système de sécurité de votre propriété

4. Institutions financières et créanciers

En plus de votre institution financière, vous devrez informer vos différents créanciers de votre nouveau lieu de résidence. Parmi les produits détenus, pensez à[4]  :

  • Vos cartes de crédit
  • Vos prêts personnels
  • Votre prêt hypothécaire
  • Vos REER
  • Vos placements

5. Assureurs

Pour être adéquatement protégé en tout temps, vous devrez aussi contacter les entreprises responsables de votre assurance[5]  :

  • Vie et invalidité
  • Salaire
  • Collective (offerte par un employeur)
  • Habitation
  • Automobile

6. Professionnels de la santé

Tous les professionnels de la santé que vous consultez souhaitent maintenir votre dossier à jour. Vous pourrez les informer de votre nouvelle adresse avant votre déménagement ou attendre votre prochain rendez-vous pour le faire. Voici un aperçu des endroits concernés :

  • Hôpital
  • Clinique médicale
  • Pharmacie
  • Dentiste
  • Optométriste
  • Services spécialisés

Vous avez un animal de compagnie et sa santé vous tient à cœur? N’oubliez pas d’informer la clinique vétérinaire de votre nouvelle adresse.

7. Employeur et établissements scolaires

En plus de votre employeur, vous aurez à contacter votre ordre professionnel et les associations dont vous faites partie. Vos enfants sont aux études? Communiquez avec votre centre de services scolaire, ainsi que les établissements concernés. Vous devrez également signifier votre changement d’adresse au ministère de l’Enseignement supérieur relativement aux prêts et bourses.

Vous craignez d’oublier quelque chose? Postes Canada offre – moyennant quelques frais –, un service de réacheminement du courrier. Celui-ci vous permettra d’avoir l’esprit tranquille en recevant tous vos envois postaux à votre nouvelle résidence, même ceux qui vous parviennent peu fréquemment.

Finalement, le site web movingwaldo.com propose une solution pour réaliser votre changement d’adresse à plusieurs endroits simultanément, incluant tous vos abonnements[6] . De quoi vous faciliter la vie dans cette période bien occupée!

Source: centris.ca

Taxes scolaires : comment connaître le montant à payer?

Taxes scolaires : comment connaître le montant à payer?

Source: centris.ca

Le mois de juillet n’est pas uniquement synonyme de déménagement au Québec! C’est également la période de l’année où les propriétaires d’habitation reçoivent leur compte de taxes scolaires pour l’année à venir. À la lecture de cet article, vous découvrirez à quoi sert cette forme d’imposition, la manière dont le taux de taxation est calculé, de même que vos responsabilités à cet égard. Allons-y!

 1. À quoi servent les taxes scolaires au Québec?

La taxe scolaire finance une partie du réseau scolaire. Ces sommes contribuent à entretenir les équipements, à bien gérer les établissements et à couvrir certaines dépenses du siège social. Elles permettent aussi d’assumer près de la moitié des frais liés au transport des élèves.

2. Comment le taux de taxation est-il déterminé?

Le ratio est calculé à partir de deux principaux facteurs : le montant nécessaire pour répondre aux besoins locaux et les valeurs foncières. Le premier critère est évalué annuellement par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur en fonction du nombre d’élèves sur un territoire donné et de leurs caractéristiques. Le second facteur, quant à lui, reflète la richesse foncière des contribuables.

Depuis avril 2019, le gouvernement du Québec a instauré un taux de taxation unique qui prévoit une exemption annuelle de 25 000 $ sur la valeur imposable d’une habitation. Celui-ci est rendu public au plus tard le 15 juin de chaque année qui précède la période visée par la taxation. À compter du 1er juillet, les différents centres de services scolaires de la province acheminent les comptes de taxes scolaires aux propriétaires du territoire.

De plus, la taxe scolaire est basée sur la valeur uniformisée ajustée de la propriété obtenue après étalement de la variation des valeurs de l’entrée en vigueur du rôle d’évaluation. Autrement dit, elle prend en considération l’augmentation ou la diminution de la valeur du rôle par rapport à l’exercice précédent.

3. Que réserve l’année scolaire 2023-2024?

Le taux pour l’année scolaire 2023-2024 est de 0,0973 $/100 $ d’évaluation. La somme réclamée est payable en deux versements si elle est égale ou supérieure à 300 $ et le premier paiement est exigible le 31e jour après l’envoi du compte de taxes. Un taux d’intérêt de 5 % est applicable sur les sommes impayées.

4. Que faire si vous êtes un nouveau propriétaire?

Contrairement à la taxe de bienvenue, qui vous sera acheminée directement, il se peut que le compte de taxes scolaires ait été envoyé à l’ancien propriétaire si vous déménagez après l’émission des avis. Comme les centres de services scolaires n’émettent pas de deuxième compte de taxes dans une telle situation, c’est au nouvel occupant de s’assurer de connaître les dates et les montants des paiements.

L’achat d’une propriété est sans doute le plus gros investissement d’une vie. Pour bien le planifier et minimiser les dépenses imprévues, n’hésitez pas à consulter un conseiller financier ou un courtier immobilier, qui pourront vous guider dans chacune des étapes de l’achat d’une maison.

Source: centris.ca

Acheteur ou vendeur : qui paye le courtier immobilier

Acheteur ou vendeur : qui paye le courtier immobilier?

Source: centris.ca
Que vous soyez acheteur ou vendeur, un courtier immobilier vous accompagne dans toutes les étapes de l’achat ou de la vente d’une propriété résidentielle afin de vous procurer une tranquillité d’esprit inégalée. Cela dit, qui paye le courtier immobilier une fois le processus terminé?

En parcourant cet article, vous découvrirez qui doit rétribuer le courtier immobilier, les différentes manières de le faire, ainsi que les avantages à faire équipe avec cet expert doté d’une connaissance pointue du marché immobilier.

1. Qui doit payer le courtier immobilier?

En tant qu’acheteur, si vous avez signé un Contrat de courtage exclusif – Achat, la rétribution de votre courtier immobilier est habituellement payée par vous. Si le vendeur est également représenté par un courtier, des conditions de partage de rétribution seront prévues.

Pour plus de détails, veuillez consulter cet article de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ). N’hésitez pas à contacter votre courtier immobilier pour toute question.

2. Comment rétribuer un courtier immobilier?

La Loi sur le courtage immobilier permet à l’OACIQ d’encadrer les activités des courtiers. Toutefois, elle ne traite pas du montant que cet expert peut demander à titre d’intermédiaire dans une transaction immobilière. C’est donc une entente que vous devrez conclure ensemble. En outre, votre courtier vous fera signer un contrat de courtage – vente, achat ou location qui en stipulera les conditions.

L’OACIQ précise aussi que cette rétribution peut prendre différentes formes, comme :

Un pourcentage du prix de vente – aussi appelé commission
Un montant forfaitaire ou un prix fixe
Un taux horaire (le formulaire Annexe DR – Déboursés et rétribution devra être utilisé)
Une combinaison des différentes options

3. Quand le courtier immobilier doit-il être payé?

La rétribution du courtier immobilier est versée au moment de la signature de l’acte de vente, soit lorsque la promesse d’achat est acceptée, le financement obtenu et les conditions réalisées de part et d’autre. Veuillez également noter que cette somme est taxable.

4. Quels sont les principaux avantages à faire équipe avec un courtier immobilier?

Un sondage mené en 2019 par la firme Léger en collaboration avec l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) révélait que 82 % des citoyens qui souhaitaient acheter ou vendre une maison au cours de la prochaine année prévoyaient de le faire avec un courtier.

Les services d’un courtier immobilier sont aussi vastes que l’étendue de son expertise. Voici un aperçu des éléments qu’il prend en main:

  • L’évaluation de la juste valeur d’une propriété
  • La mise en marché de la maison
  • L’analyse détaillée du marché immobilier
  • La formulation de conseils personnalisés
  • La rédaction de documents légaux

Acheter ou vendre une maison sans courtier immobilier comporte certains risques, c’est pourquoi son rôle est essentiel au bon déroulement d’une transaction immobilière. Prêt à concrétiser votre projet avec un professionnel? Vivre une transaction simple, efficace et à l’abri des soucis est à votre portée.

Source: centris.ca

Comment investir en immobilier : 3 solutions

Comment investir en immobilier : 3 solutions

Source: centris.ca

Comment investir en immobilier : 3 solutions

Plusieurs investisseurs se tournent vers le marché immobilier pour faire fructifier leurs avoirs. Immeuble locatif, flipping, fonds de placement : les possibilités d’investissement sont pour le moins variées. Prêt à vous lancer? Découvrez trois manières d’investir en immobilier en parcourant cet article.

Qu’est-ce que l’investissement immobilier?

Investir dans l’immobilier consiste à acquérir une propriété pour en tirer un revenu, sans toutefois l’habiter. Dans certains cas, cette forme d’investissement direct permet de générer un rendement annuel allant de 5 % à 7 %.

Bien que l’achat d’une propriété demande généralement un bon capital, sachez qu’il est également possible d’investir en immobilier en ayant un petit budget grâce aux fonds de placement; on parlera alors d’investissement indirect.

3 suggestions pour investir en immobilier

1. Acheter un immeuble locatif

L’investissement locatif, comme l’achat d’un immeuble multilogement, est sans doute la méthode la plus fréquemment utilisée pour investir en immobilier. Bien que le rendement soit généralement constant en raison des loyers versés mensuellement, cette option n’est toutefois pas sans risques.

C’est d’autant plus vrai lorsqu’on réalise le temps consacré à la gestion des locataires et à l’entretien du bâtiment. De plus, la mise de fonds minimale exigée pour les immeubles de quatre logements et moins est de 20 % du prix de la propriété[1], ce qui n’est pas négligeable.  

Avant d’investir une importante somme, pensez à consulter un courtier immobilier, qui vous aidera à dénicher l’immeuble à revenus le plus rentable en fonction de nombreux critères, dont l’état du marché et la localisation.

2. Réaliser un flip

Avez-vous déjà envisagé d’acheter une maison dans le but de la rénover, puis de la revendre à un prix supérieur? Malgré le fait qu’un flip requiert un capital important, il permet souvent d’obtenir un revenu ponctuel de faible à élevé[1]. Néanmoins, plusieurs investisseurs commettent l’erreur de minimiser le temps, l’argent et la rigueur essentiels à la réussite d’un tel projet. Il vous faut également tenir compte de la nouvelle taxe anti-flip en vigueur depuis le 1er janvier 2023.

Pour maximiser vos chances de succès, faites équipe avec un courtier immobilier qui vous aidera à analyser le marché et à identifier les propriétés ayant le plus de potentiel. Cet expert pourra également vous accompagner pour la vente de la maison lorsqu’elle aura été rénovée.

3. Investir dans un fonds de placement

Pour investir dans la pierre sans acheter de bien immobilier, vous pouvez également réaliser un investissement par le biais d’un fonds de placement[1] au sein :

d’une fiducie immobilière;
d’un fonds négocié en bourse (FNB);
d’un fonds commun de placement immobilier.
En achetant des titres, comme vous le feriez sur le marché boursier, par exemple, vous aurez la chance d’investir sans vous préoccuper de la gestion d’un bâtiment et de ses locataires. D’ailleurs, quelques centaines ou milliers de dollars seront suffisants pour faire vos premiers pas en la matière.

Somme toute, il est assez complexe d’estimer le rendement d’un investissement immobilier. Plusieurs facteurs sont à considérer, tels que le prix payé, la mise de fonds versée, les revenus générés, ainsi que les dépenses courantes. Dans tous les cas, un courtier immobilier est un précieux allié, qui vous aidera à trouver la meilleure opportunité de placement en fonction de votre situation.

Source: centris.ca

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Source: centris.ca

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Acheter une propriété est une aventure qui comporte plusieurs jalons importants. Évaluation des besoins, recherche d’habitations, présentation d’une promesse d’achat… Mais pour plusieurs futurs acheteurs, l’étape cruciale est l’obtention d’une préapprobation hypothécaire. Cela dit, concrétiser un investissement immobilier peut être influencé par de multiples facteurs, dont votre revenu, votre situation financière et votre dossier de crédit. Alors, quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Qu’est-ce qu’une bonne cote de crédit?

La cote de crédit est un score allant de 300 à 900 qui permet d’établir votre capacité à rembourser un emprunt en fonction de votre historique de crédit. Plus ce pointage est élevé, meilleure est votre situation.

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison? Règle générale, une cote entre 620 et 680 devrait être suffisante afin de vous qualifier pour un prêt hypothécaire auprès d’une institution financière[1]. D’ailleurs, ce score servira également à déterminer le taux et les conditions de votre emprunt.

Comment améliorer sa cote de crédit pour acheter une maison?

Il existe plusieurs stratégies pour augmenter votre pointage en vue de concrétiser un investissement immobilier. Voici cinq actions qui vous aideront à maintenir un bon dossier de crédit.

1. Vérifier sa cote de crédit le plus tôt possible

En parcourant votre dossier de crédit au début du processus d’achat, vous serez en mesure de déterminer si une erreur s’y est glissée et de la corriger avant de présenter une demande de prêt hypothécaire. Pour ce faire, consultez le site web d’agences d’évaluation de crédit, telles qu’Equifax et TransUnion Canada. Certaines institutions financières peuvent aussi vous fournir cette information.

2. Bâtir un historique de crédit

Avoir un historique de crédit permet aux institutions financières de connaître vos antécédents en la matière. Ainsi, il est conseillé de conserver vos comptes et cartes de crédit ouverts, et ce, même si vous ne les utilisez pas fréquemment[2]. Si ceux-ci démontrent que vous êtes un emprunteur fiable, cela aura un impact positif sur votre cote de crédit.

3. Maintenir une bonne utilisation du crédit

Idéalement, le taux d’utilisation de votre crédit ne devrait pas dépasser 35 % de l’ensemble de la limite autorisée. Si cela n’est pas réaliste, tentez de ne pas recourir à plus de 60 % des sommes disponibles[3].

4. Effectuer tous ses paiements

L’une des règles d’or en matière de crédit est de réaliser ses paiements avant la date d’échéance. En outre, ceux-ci ne devraient pas se limiter au montant minimum exigé, mais couvrir l’ensemble du solde.

5. Éviter de présenter plusieurs demandes de prêts

En effectuant plusieurs demandes de prêts, cela indiquera que vous êtes en quête de crédit, ce qui aura l’effet contraire à celui désiré, et pourrait même faire perdre quelques points à votre cote. Si cela n’est pas possible, tentez de réaliser vos démarches sur une courte période afin de préserver un score favorable.

Vous souhaitez améliorer votre cote de crédit en vue d’acquérir une maison? N’hésitez pas à consulter un conseiller financier qui saura vous accompagner dans ce processus. Dès lors, vous aurez tous les outils en main pour entreprendre vos démarches afin d’acheter avec un courtier immobilier.

Source: centris.ca