7 avantages du CELIAPP

7 avantages du CELIAPP expliqués par un avocat

Source: centris.ca

Depuis quelques mois, un nouveau véhicule d’épargne est disponible pour les personnes qui souhaitent devenir propriétaire : le CELIAPP ou compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété. Poursuivez votre lecture pour connaitre les 7 avantages du CELIAPP expliqués par un avocat, Me Martin Fortier.

« Imaginez le CELIAPP : vous avez une économie fiscale, vous accumulez de l’argent à l’abri de l’impôt et vous n’avez pas de maximum pour le retirer. Je ne vois pas beaucoup d’inconvénients », explique Me Martin Fortier.

Pour avoir plus d’informations sur le régime d’accession à la propriété, consultez l’article Le RAP, un outil pour augmenter la mise de fonds d’une 1re propriété.

5 avantages du CELIAPP

1. Est-il possible de retirer plus de 40 000 $ ?

Le maximum à vie que vous pouvez cotiser à un CELIAPP est de 40 000 $. C’est le total de vos cotisations seulement, mais il est possible de retirer une somme supérieure en investissant.

2. Placements

Voici les produits financiers dans lesquels vous pouvez investir, ce sont les mêmes que pour un REER.

Dépôts à terme
Obligation du gouvernement ou de sociétés
Fonds communs de placement
Fonds négociés en Bourse
Actions
3. Maximum annuel

Vous pouvez cotiser à ce compte d’épargne jusqu’à un maximum de 8000 $ par année. Mais si vous n’atteignez pas ce montant, la portion non utilisée sera reportée à l’année suivante.

4. Impôt

Cotiser à un CELIAPP vous aide à épargner afin d’acheter une première propriété, le tout à l’abri de l’impôt, puisque les cotisations sont déductibles, et permet de réduire votre revenu imposable.

5. Aucun remboursement

Contrairement au RAP, où on doit rembourser les fonds dans un REER pendant les années suivant l’achat d’une maison, vous n’avez rien à rembourser avec le CELIAPP.

Autres avantages pour les premiers acheteurs

Le CELIAPP comporte de nombreux avantages dont deux particulièrement intéressants, selon Me Martin Fortier.

6. Pas d’achat de maison ? Pas grave !

« Disons que vous n’achetez pas la maison convoitée. Vous avez deux choix avec votre CELIAPP : vous le transférez dans votre REER, libre d’impôt. Vous ne perdrez pas le maximum de REER auquel vous avez droit, ce sera un surplus.

Si vous ne voulez pas le transférer parce que vous avez besoin de cet argent pour un achat, votre deuxième choix est de le retirer et payer de l’impôt selon votre braquette au moment où vous allez faire le retrait. L’avantage est que quand vous cotisez à votre CELIAPP, il n’y a aucune obligation d’utiliser la déduction fiscale à ce moment, il est possible de l’utiliser plus tard », mentionne Me Martin Fortier.

7. Combiner CELIAPP et RAP

Un n’empêche pas l’autre. « Si vous avez de l’argent dans votre REER, vous pouvez utiliser le RAP. En cotisant à votre CELIAPP, vous bénéficierez de deux véhicules d’épargne. Si vous avez 40 000 $ dans le CELIAPP et 35 000 $ en RAP, ça fait 75 000 $ plus les économies d’impôts et l’argent généré par ce montant. Ajoutez ce que votre partenaire a accumulé, on parle d’un bon montant pour faciliter l’acquisition », mentionne Me Martin Fortier.

Comme le dit Me Martin Fortier, ce qu’il faut retenir du CELIAPP, c’est qu’il est vraiment très flexible.

Si vous avez décidé de devenir propriétaire, consultez cet article pour connaitre Les dépenses à prévoir à l’achat d’une propriété.

Source: centris.ca

Premiers acheteurs

Premiers acheteurs : ce qu’il faut savoir avant d’acheter

Source: realtor.ca
L’achat d’une première propriété – qu’il s’agisse d’une maison ou d’un condo – est un moment important dans la vie d’un ménage ou d’un individu. Il est important de bien préparer cette étape cruciale en prenant en compte un ensemble de facteurs qui influencent la faisabilité du projet lors de l’achat, mais aussi lors de la revente de la propriété.

On peut acheter une première propriété à tout moment, mais la situation financière de votre ménage, les conditions macroéconomiques, et l’inventaire sur le marché devraient inciter l’acheteur à agir dans l’urgence ou à faire preuve de patience. Les conditions du marché peuvent en effet varier en fonction du moment de l’année, de l’offre et de la demande, des taux d’intérêt et des politiques gouvernementales. Un courtier ou agent immobilier pourra obtenir des informations pour déterminer le moment opportun pour acheter.

 

Commencer par le commencement : le budget
Avant de se lancer dans la grande aventure de l’achat d’une première propriété, il est crucial de faire le point sur ses finances. Que vous achetiez seul ou en couple, avec ou sans aide, il faut dresser la liste des revenus, de l’épargne, et des coûts qu’un tel projet engendrera.

Bien évidemment, différents régimes de mises de fonds peuvent être envisagés, grâce à la flexibilité offerte par les institutions financières et la SCHL. Il faut toutefois considérer aussi certains frais, payables directement à l’achat, comme les frais de notaire, les taxes de mutation, les frais de déménagement, ainsi que l’achat de meubles et d’accessoires qui viendront inévitablement alourdir votre budget une fois emménagé.

On incite aussi souvent les acheteurs à anticiper les coûts futurs d’entretien d’une propriété. Dans les copropriétés bien gérées, un fonds de prévoyance viendra éponger une partie de ces coûts. Toutefois, lors de l’achat d’une maison, il peut être utile d’anticiper, par l’épargne notamment, de telles dépenses ou d’autres dépenses imprévues. 

Certains programmes municipaux ou gouvernementaux peuvent également aider à financer votre projet, et changer significativement vos calculs : prêts à faible taux, programmes de garantie de prêts ou même certaines subventions. Votre courtier ou agent immobilier pourra certainement vous renseigner sur votre admissibilité à ces programmes.

Choisir une propriété : c’est l’emplacement qui compte avant tout!
Avant de partir à la recherche d’une propriété, il est généralement recommandé de cibler certains critères, au premier rang desquels se trouve l’emplacement. Ce critère devrait vous amener à réfléchir à la proximité de différents services, dont les boutiques, les transports, les parcs ou, pour les jeunes familles, les garderies et les écoles.

Le site REALTOR.ca offre pour chaque propriété une évaluation du quartier en fonction d’une vingtaine de critères, qui incluent entre autres la vie du quartier, les sources de bruit à proximité, mais aussi la convivialité pour les piétons, les cyclistes et les voitures. Un autre onglet vous permettra de connaître l’âge médian, la taille moyenne des ménages, les études et la principale langue parlée à la maison, qui sont autant d’indicateurs importants pour un acheteur.  

Le projet d’achat d’une première propriété est enthousiasmant, mais il est crucial de l’analyser froidement afin de bien comprendre toutes les implications. Un courtier ou agent immobilier saura mettre les choses en perspective et vous accompagner tout au long de ce projet. 

Acheter une propriété qui nous convient, au bon moment, et qui respecte notre capacité de paiement est la garantie d’une opération réussie et durable.

 

Source: realtor.ca

Déménagement : où dois-je signaler mon changement d’adresse

Déménagement : où dois-je signaler mon changement d’adresse?

Source: centris.ca
Signaler son changement d’adresse auprès des gouvernements, institutions financières, fournisseurs de services et autres organisations est une étape essentielle pour bien préparer son déménagement. En lisant cet article, vous découvrirez comment le faire de manière rapide et efficace grâce à une liste détaillée des différents endroits à contacter.

1. Gouvernement du Québec

Le gouvernement provincial propose un Service québécois de changement d’adresse qui permet d’informer plusieurs organismes de votre nouveau lieu de résidence en une seule étape[1]  :

  • Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail
  • Élections Québec
  • Ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale
  • Régie de l’assurance maladie du Québec
  • Revenu Québec
  • Retraite Québec
  • Société de l’assurance automobile du Québec

Les autres instances gouvernementales, quant à elles, doivent être avisées de manière individuelle. Vous pouvez compléter cette démarche en ligne, ce qui aura pour avantage d’accélérer le processus. Pour ne rien oublier, consultez la liste des ministères et organismes du Québec.

2. Gouvernement du Canada

Le gouvernement fédéral ne possède malheureusement pas de service de changement d’adresse centralisé. Vous devez donc signaler votre nouveau lieu de résidence à chacun des ministères concernés. Parmi les incontournables, n’oubliez pas l’Agence du revenu du Canada (ARC) et Élections Canada. Vous pouvez également parcourir la liste des ministères et organismes du Canada pour avoir une vue d’ensemble .

3. Fournisseurs de services

Afin d’éviter tout bris de service ou souci relatif à la facturation, pensez à contacter l’ensemble de vos fournisseurs, comme :

  • Hydro-Québec
  • Energir
  • Votre fournisseur Internet
  • Votre fournisseur de câblodistribution
  • Votre fournisseur de services téléphoniques résidentiels
  • Votre fournisseur de téléphonie mobile
  • Votre fournisseur de combustible pour le chauffage
  • Les entreprises de location de vos appareils de chauffage
  • L’entreprise responsable du système de sécurité de votre propriété

4. Institutions financières et créanciers

En plus de votre institution financière, vous devrez informer vos différents créanciers de votre nouveau lieu de résidence. Parmi les produits détenus, pensez à[4]  :

  • Vos cartes de crédit
  • Vos prêts personnels
  • Votre prêt hypothécaire
  • Vos REER
  • Vos placements

5. Assureurs

Pour être adéquatement protégé en tout temps, vous devrez aussi contacter les entreprises responsables de votre assurance[5]  :

  • Vie et invalidité
  • Salaire
  • Collective (offerte par un employeur)
  • Habitation
  • Automobile

6. Professionnels de la santé

Tous les professionnels de la santé que vous consultez souhaitent maintenir votre dossier à jour. Vous pourrez les informer de votre nouvelle adresse avant votre déménagement ou attendre votre prochain rendez-vous pour le faire. Voici un aperçu des endroits concernés :

  • Hôpital
  • Clinique médicale
  • Pharmacie
  • Dentiste
  • Optométriste
  • Services spécialisés

Vous avez un animal de compagnie et sa santé vous tient à cœur? N’oubliez pas d’informer la clinique vétérinaire de votre nouvelle adresse.

7. Employeur et établissements scolaires

En plus de votre employeur, vous aurez à contacter votre ordre professionnel et les associations dont vous faites partie. Vos enfants sont aux études? Communiquez avec votre centre de services scolaire, ainsi que les établissements concernés. Vous devrez également signifier votre changement d’adresse au ministère de l’Enseignement supérieur relativement aux prêts et bourses.

Vous craignez d’oublier quelque chose? Postes Canada offre – moyennant quelques frais –, un service de réacheminement du courrier. Celui-ci vous permettra d’avoir l’esprit tranquille en recevant tous vos envois postaux à votre nouvelle résidence, même ceux qui vous parviennent peu fréquemment.

Finalement, le site web movingwaldo.com propose une solution pour réaliser votre changement d’adresse à plusieurs endroits simultanément, incluant tous vos abonnements[6] . De quoi vous faciliter la vie dans cette période bien occupée!

Source: centris.ca

Comment obtenir une préapprobation hypothécaire?

Comment obtenir une préapprobation hypothécaire?

Source: Centris.ca

Prêt à partir à la recherche d’une future propriété? La première étape pour concrétiser votre rêve : obtenir une préapprobation hypothécaire. Cette démarche vous permettra de connaître votre capacité d’emprunt, d’estimer le montant de vos versements et de garantir un taux d’intérêt pendant une période allant de 60 à 130 jours, selon le prêteur.
Parcourez cet article pour découvrir comment avoir une préapprobation hypothécaire et vous positionner comme un acheteur sérieux. Vous aurez ainsi une longueur d’avance lorsque viendra le temps de présenter une offre d’achat.

Qu’est-ce qu’une préapprobation hypothécaire?

La préapprobation hypothécaire – aussi appelée préautorisation hypothécaire – permet d’évaluer le montant maximal que vous pourriez emprunter pour une habitation. Celui-ci est établi en fonction de nombreux critères, dont :

  • Votre situation financière;
  • La mise de fonds;
  • La valeur de la propriété.

Bon à savoir : au cours de ce processus, vous devrez fournir différents renseignements personnels et documents. Votre dossier de crédit sera également analysé.

Comment obtenir une préautorisation hypothécaire?

En contactant plusieurs prêteurs ou courtiers hypothécaires, vous obtiendrez le produit le mieux adapté à votre réalité, au taux hypothécaire le plus avantageux.

Sachez que les prêteurs consentent directement un prêt. C’est le cas des banques, des caisses populaires, des coopératives de crédit, des sociétés de prêts hypothécaires, des compagnies d’assurance et des sociétés de fiducie et de prêt.

Les courtiers hypothécaires, quant à eux, ne consentent pas de prêts; ils négocient la transaction pour vous. Puisqu’ils ont accès à de nombreux prêteurs, ils peuvent généralement vous proposer une plus large gamme de produits. De plus, ils ne facturent habituellement aucuns frais pour leurs services, mais ils reçoivent une commission à la fin du processus.

3 conseils pour obtenir une préapprobation hypothécaire

1. Évaluez votre capacité d’emprunt

Avant de contacter un prêteur, réalisez un bilan détaillé de vos revenus et dépenses. Vous pourrez ainsi estimer plus facilement votre capacité à concrétiser votre projet immobilier en fonction de votre style de vie. Plusieurs outils sont à votre disposition pour y arriver, dont notre calculatrice hypothécaire.

2. Surveillez votre situation financière

Veillez à maintenir une bonne situation financière en tout temps. Autrement dit, évitez de réaliser des achats importants – comme une voiture ou un électroménager – qui pourraient diminuer votre capacité d’emprunt. De fait, si votre portrait change entre le moment de votre demande et l’acquisition d’une propriété, vous pourriez avoir accès à un prêt moins élevé que celui indiqué sur votre préapprobation ou vous le voir refuser.

3. Considérez les autres dépenses associées à l’achat d’une maison

Ne perdez pas de vue que la préapprobation hypothécaire évalue le montant maximal qui pourrait vous être consenti. Or, celle-ci ne tient pas compte des autres dépenses associées à l’achat d’une propriété, telles que les frais de clôture et de déménagement, ainsi que les coûts d’entretien. Pour éviter les mauvaises surprises, mieux vaut donc rechercher des habitations se trouvant dans une fourchette inférieure de prix.

Vous voilà fin prêt à entreprendre cette belle aventure! Pour acheter une maison en toute tranquillité d’esprit, n’hésitez pas à faire appel à un courtier immobilier. Son expertise pointue vous facilitera grandement la vie!

Source: Centris.ca

Taxes scolaires : comment connaître le montant à payer?

Taxes scolaires : comment connaître le montant à payer?

Source: centris.ca

Le mois de juillet n’est pas uniquement synonyme de déménagement au Québec! C’est également la période de l’année où les propriétaires d’habitation reçoivent leur compte de taxes scolaires pour l’année à venir. À la lecture de cet article, vous découvrirez à quoi sert cette forme d’imposition, la manière dont le taux de taxation est calculé, de même que vos responsabilités à cet égard. Allons-y!

 1. À quoi servent les taxes scolaires au Québec?

La taxe scolaire finance une partie du réseau scolaire. Ces sommes contribuent à entretenir les équipements, à bien gérer les établissements et à couvrir certaines dépenses du siège social. Elles permettent aussi d’assumer près de la moitié des frais liés au transport des élèves.

2. Comment le taux de taxation est-il déterminé?

Le ratio est calculé à partir de deux principaux facteurs : le montant nécessaire pour répondre aux besoins locaux et les valeurs foncières. Le premier critère est évalué annuellement par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur en fonction du nombre d’élèves sur un territoire donné et de leurs caractéristiques. Le second facteur, quant à lui, reflète la richesse foncière des contribuables.

Depuis avril 2019, le gouvernement du Québec a instauré un taux de taxation unique qui prévoit une exemption annuelle de 25 000 $ sur la valeur imposable d’une habitation. Celui-ci est rendu public au plus tard le 15 juin de chaque année qui précède la période visée par la taxation. À compter du 1er juillet, les différents centres de services scolaires de la province acheminent les comptes de taxes scolaires aux propriétaires du territoire.

De plus, la taxe scolaire est basée sur la valeur uniformisée ajustée de la propriété obtenue après étalement de la variation des valeurs de l’entrée en vigueur du rôle d’évaluation. Autrement dit, elle prend en considération l’augmentation ou la diminution de la valeur du rôle par rapport à l’exercice précédent.

3. Que réserve l’année scolaire 2023-2024?

Le taux pour l’année scolaire 2023-2024 est de 0,0973 $/100 $ d’évaluation. La somme réclamée est payable en deux versements si elle est égale ou supérieure à 300 $ et le premier paiement est exigible le 31e jour après l’envoi du compte de taxes. Un taux d’intérêt de 5 % est applicable sur les sommes impayées.

4. Que faire si vous êtes un nouveau propriétaire?

Contrairement à la taxe de bienvenue, qui vous sera acheminée directement, il se peut que le compte de taxes scolaires ait été envoyé à l’ancien propriétaire si vous déménagez après l’émission des avis. Comme les centres de services scolaires n’émettent pas de deuxième compte de taxes dans une telle situation, c’est au nouvel occupant de s’assurer de connaître les dates et les montants des paiements.

L’achat d’une propriété est sans doute le plus gros investissement d’une vie. Pour bien le planifier et minimiser les dépenses imprévues, n’hésitez pas à consulter un conseiller financier ou un courtier immobilier, qui pourront vous guider dans chacune des étapes de l’achat d’une maison.

Source: centris.ca

Acheteur ou vendeur : qui paye le courtier immobilier

Acheteur ou vendeur : qui paye le courtier immobilier?

Source: centris.ca
Que vous soyez acheteur ou vendeur, un courtier immobilier vous accompagne dans toutes les étapes de l’achat ou de la vente d’une propriété résidentielle afin de vous procurer une tranquillité d’esprit inégalée. Cela dit, qui paye le courtier immobilier une fois le processus terminé?

En parcourant cet article, vous découvrirez qui doit rétribuer le courtier immobilier, les différentes manières de le faire, ainsi que les avantages à faire équipe avec cet expert doté d’une connaissance pointue du marché immobilier.

1. Qui doit payer le courtier immobilier?

En tant qu’acheteur, si vous avez signé un Contrat de courtage exclusif – Achat, la rétribution de votre courtier immobilier est habituellement payée par vous. Si le vendeur est également représenté par un courtier, des conditions de partage de rétribution seront prévues.

Pour plus de détails, veuillez consulter cet article de l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ). N’hésitez pas à contacter votre courtier immobilier pour toute question.

2. Comment rétribuer un courtier immobilier?

La Loi sur le courtage immobilier permet à l’OACIQ d’encadrer les activités des courtiers. Toutefois, elle ne traite pas du montant que cet expert peut demander à titre d’intermédiaire dans une transaction immobilière. C’est donc une entente que vous devrez conclure ensemble. En outre, votre courtier vous fera signer un contrat de courtage – vente, achat ou location qui en stipulera les conditions.

L’OACIQ précise aussi que cette rétribution peut prendre différentes formes, comme :

Un pourcentage du prix de vente – aussi appelé commission
Un montant forfaitaire ou un prix fixe
Un taux horaire (le formulaire Annexe DR – Déboursés et rétribution devra être utilisé)
Une combinaison des différentes options

3. Quand le courtier immobilier doit-il être payé?

La rétribution du courtier immobilier est versée au moment de la signature de l’acte de vente, soit lorsque la promesse d’achat est acceptée, le financement obtenu et les conditions réalisées de part et d’autre. Veuillez également noter que cette somme est taxable.

4. Quels sont les principaux avantages à faire équipe avec un courtier immobilier?

Un sondage mené en 2019 par la firme Léger en collaboration avec l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) révélait que 82 % des citoyens qui souhaitaient acheter ou vendre une maison au cours de la prochaine année prévoyaient de le faire avec un courtier.

Les services d’un courtier immobilier sont aussi vastes que l’étendue de son expertise. Voici un aperçu des éléments qu’il prend en main:

  • L’évaluation de la juste valeur d’une propriété
  • La mise en marché de la maison
  • L’analyse détaillée du marché immobilier
  • La formulation de conseils personnalisés
  • La rédaction de documents légaux

Acheter ou vendre une maison sans courtier immobilier comporte certains risques, c’est pourquoi son rôle est essentiel au bon déroulement d’une transaction immobilière. Prêt à concrétiser votre projet avec un professionnel? Vivre une transaction simple, efficace et à l’abri des soucis est à votre portée.

Source: centris.ca

Comment investir en immobilier : 3 solutions

Comment investir en immobilier : 3 solutions

Source: centris.ca

Comment investir en immobilier : 3 solutions

Plusieurs investisseurs se tournent vers le marché immobilier pour faire fructifier leurs avoirs. Immeuble locatif, flipping, fonds de placement : les possibilités d’investissement sont pour le moins variées. Prêt à vous lancer? Découvrez trois manières d’investir en immobilier en parcourant cet article.

Qu’est-ce que l’investissement immobilier?

Investir dans l’immobilier consiste à acquérir une propriété pour en tirer un revenu, sans toutefois l’habiter. Dans certains cas, cette forme d’investissement direct permet de générer un rendement annuel allant de 5 % à 7 %.

Bien que l’achat d’une propriété demande généralement un bon capital, sachez qu’il est également possible d’investir en immobilier en ayant un petit budget grâce aux fonds de placement; on parlera alors d’investissement indirect.

3 suggestions pour investir en immobilier

1. Acheter un immeuble locatif

L’investissement locatif, comme l’achat d’un immeuble multilogement, est sans doute la méthode la plus fréquemment utilisée pour investir en immobilier. Bien que le rendement soit généralement constant en raison des loyers versés mensuellement, cette option n’est toutefois pas sans risques.

C’est d’autant plus vrai lorsqu’on réalise le temps consacré à la gestion des locataires et à l’entretien du bâtiment. De plus, la mise de fonds minimale exigée pour les immeubles de quatre logements et moins est de 20 % du prix de la propriété[1], ce qui n’est pas négligeable.  

Avant d’investir une importante somme, pensez à consulter un courtier immobilier, qui vous aidera à dénicher l’immeuble à revenus le plus rentable en fonction de nombreux critères, dont l’état du marché et la localisation.

2. Réaliser un flip

Avez-vous déjà envisagé d’acheter une maison dans le but de la rénover, puis de la revendre à un prix supérieur? Malgré le fait qu’un flip requiert un capital important, il permet souvent d’obtenir un revenu ponctuel de faible à élevé[1]. Néanmoins, plusieurs investisseurs commettent l’erreur de minimiser le temps, l’argent et la rigueur essentiels à la réussite d’un tel projet. Il vous faut également tenir compte de la nouvelle taxe anti-flip en vigueur depuis le 1er janvier 2023.

Pour maximiser vos chances de succès, faites équipe avec un courtier immobilier qui vous aidera à analyser le marché et à identifier les propriétés ayant le plus de potentiel. Cet expert pourra également vous accompagner pour la vente de la maison lorsqu’elle aura été rénovée.

3. Investir dans un fonds de placement

Pour investir dans la pierre sans acheter de bien immobilier, vous pouvez également réaliser un investissement par le biais d’un fonds de placement[1] au sein :

d’une fiducie immobilière;
d’un fonds négocié en bourse (FNB);
d’un fonds commun de placement immobilier.
En achetant des titres, comme vous le feriez sur le marché boursier, par exemple, vous aurez la chance d’investir sans vous préoccuper de la gestion d’un bâtiment et de ses locataires. D’ailleurs, quelques centaines ou milliers de dollars seront suffisants pour faire vos premiers pas en la matière.

Somme toute, il est assez complexe d’estimer le rendement d’un investissement immobilier. Plusieurs facteurs sont à considérer, tels que le prix payé, la mise de fonds versée, les revenus générés, ainsi que les dépenses courantes. Dans tous les cas, un courtier immobilier est un précieux allié, qui vous aidera à trouver la meilleure opportunité de placement en fonction de votre situation.

Source: centris.ca

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Source: centris.ca

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Acheter une propriété est une aventure qui comporte plusieurs jalons importants. Évaluation des besoins, recherche d’habitations, présentation d’une promesse d’achat… Mais pour plusieurs futurs acheteurs, l’étape cruciale est l’obtention d’une préapprobation hypothécaire. Cela dit, concrétiser un investissement immobilier peut être influencé par de multiples facteurs, dont votre revenu, votre situation financière et votre dossier de crédit. Alors, quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Qu’est-ce qu’une bonne cote de crédit?

La cote de crédit est un score allant de 300 à 900 qui permet d’établir votre capacité à rembourser un emprunt en fonction de votre historique de crédit. Plus ce pointage est élevé, meilleure est votre situation.

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison? Règle générale, une cote entre 620 et 680 devrait être suffisante afin de vous qualifier pour un prêt hypothécaire auprès d’une institution financière[1]. D’ailleurs, ce score servira également à déterminer le taux et les conditions de votre emprunt.

Comment améliorer sa cote de crédit pour acheter une maison?

Il existe plusieurs stratégies pour augmenter votre pointage en vue de concrétiser un investissement immobilier. Voici cinq actions qui vous aideront à maintenir un bon dossier de crédit.

1. Vérifier sa cote de crédit le plus tôt possible

En parcourant votre dossier de crédit au début du processus d’achat, vous serez en mesure de déterminer si une erreur s’y est glissée et de la corriger avant de présenter une demande de prêt hypothécaire. Pour ce faire, consultez le site web d’agences d’évaluation de crédit, telles qu’Equifax et TransUnion Canada. Certaines institutions financières peuvent aussi vous fournir cette information.

2. Bâtir un historique de crédit

Avoir un historique de crédit permet aux institutions financières de connaître vos antécédents en la matière. Ainsi, il est conseillé de conserver vos comptes et cartes de crédit ouverts, et ce, même si vous ne les utilisez pas fréquemment[2]. Si ceux-ci démontrent que vous êtes un emprunteur fiable, cela aura un impact positif sur votre cote de crédit.

3. Maintenir une bonne utilisation du crédit

Idéalement, le taux d’utilisation de votre crédit ne devrait pas dépasser 35 % de l’ensemble de la limite autorisée. Si cela n’est pas réaliste, tentez de ne pas recourir à plus de 60 % des sommes disponibles[3].

4. Effectuer tous ses paiements

L’une des règles d’or en matière de crédit est de réaliser ses paiements avant la date d’échéance. En outre, ceux-ci ne devraient pas se limiter au montant minimum exigé, mais couvrir l’ensemble du solde.

5. Éviter de présenter plusieurs demandes de prêts

En effectuant plusieurs demandes de prêts, cela indiquera que vous êtes en quête de crédit, ce qui aura l’effet contraire à celui désiré, et pourrait même faire perdre quelques points à votre cote. Si cela n’est pas possible, tentez de réaliser vos démarches sur une courte période afin de préserver un score favorable.

Vous souhaitez améliorer votre cote de crédit en vue d’acquérir une maison? N’hésitez pas à consulter un conseiller financier qui saura vous accompagner dans ce processus. Dès lors, vous aurez tous les outils en main pour entreprendre vos démarches afin d’acheter avec un courtier immobilier.

Source: centris.ca

Est-il possible d’acheter une maison s’il reste des dettes d’étude?

Source: realtor.ca

Est-il possible d’acheter une maison s’il reste des dettes d’étude?

Un nombre croissant de jeunes Canadiens choisissent de poursuivre des études postsecondaires. Parmi les jeunes âgés de 25 à 34 ans, cette proportion est passée de 59 % en 2000 à 73 % en 2019, selon Statistique Canada.

Bien que nous puissions nous réjouir collectivement de cette augmentation du niveau d’éducation, cela a un coût : la dette moyenne cumulée par les étudiants canadiens est de 28 000 $ pour un baccalauréat et de 15 300 $ additionnels pour les étudiants ayant fait des études supérieures. Selon le magazine Maclean’s, ceux-ci paieront ensuite leurs dettes pendant une période de 9 à 15 ans en moyenne.

L’accès à la propriété
Le fait d’avoir des dettes n’est pas un critère qui bloque l’accès à un prêt hypothécaire. Comme les dettes d’études sont généralement financées à des taux très avantageux par rapport à d’autres produits de crédit, il n’est pas toujours judicieux de les rembourser hâtivement.

En soi, un prêt étudiant n’est un problème que si son remboursement mensuel, par rapport au revenu, vient diminuer la capacité d’épargne et de remboursement d’un prêt hypothécaire. Si le budget mensuel est serré avant même d’avoir acheté une propriété, mieux vaut attendre et épargner davantage.

Bien entendu, la dette étudiante fait partie des engagements de crédit qui affectent la cote de crédit. Elle sera considérée par les institutions financières qui calculent l’amortissement total de la dette. Plus votre paiement de dettes – incluant d’autres dettes comme un prêt auto ou des marges de crédit personnelles – est élevé, moins votre capacité d’emprunt sera importante.

Trouver des solutions alternatives
Au Canada, la SCHL offre différents programmes qui facilitent l’accès à la propriété, notamment pour les premiers acheteurs dont les revenus sont plus modestes. L’Incitatif à l’achat d’une première propriété est une formule de partage de risques par laquelle le gouvernement du Canada participe à la mise de fonds des premiers acheteurs, puis partage la hausse ou la baisse de valeur lors de la revente.

Bien que ce programme ne s’adresse pas particulièrement aux acheteurs détenant des dettes d’études, il s’applique à cette situation en diminuant l’incidence des paiements hypothécaires sur l’amortissement de la dette.

Plusieurs stratégies d’optimisation fiscale peuvent également venir en aide à un acheteur aux prises avec des dettes d’études. En cotisant par exemple au REER ou au CELIAPP, il est possible de cumuler rapidement une mise en fonds tout en bénéficiant de la réduction du revenu imposable, donc d’une économie d’impôt significative qui pourra être dédiée à réduire le fardeau de la dette d’études.

Les courtiers hypothécaires ainsi que les courtiers et agents immobiliers sont en mesure de fournir un portrait de ces programmes, et même parfois, de mettre en contact les acheteurs avec des spécialistes de la gestion financière afin d’accélérer la réalisation du projet. Les dettes d’études – liées à un investissement dans votre cerveau, ne l’oublions pas! – ne sont donc pas un obstacle en soi à l’achat d’une propriété. Elles font partie du portrait, au même titre que vos revenus et vos autres obligations. Un projet bien ficelé, prenant en compte l’ensemble des données, pourra se réaliser avec le bon accompagnement.

Source: realtor.ca

Des dépenses à assumer à l’achat d’une maison

Source: journaldemontreal.com

Des dépenses à assumer à l’achat d’une maison

Afin de réduire le prêt hypothécaire, certains acheteurs, particulièrement lorsqu’il s’agit d’une première maison, ont tendance à puiser au maximum dans leurs ressources financières pour effectuer une mise de fonds substantielle. Résultat, ils n’ont plus de marge de manœuvre pour effectuer les étapes ultérieures et se retrouvent dans une fâcheuse position.

Pour les guider, voici un aide-mémoire des dépenses à court terme qu’il faut assumer lorsqu’on devient propriétaire.

1. Inspection préachat

Il convient d’inclure dans l’offre d’achat une clause d’inspection afin d’éviter les mauvaises surprises. Prévoir de 400 $ à 800 $.

2. Évaluation

Certaines institutions financières exigeront une évaluation de la propriété afin d’en connaître la valeur marchande. Parfois, elles assument elles-mêmes ces frais, d’autres fois, non. Coût : de 350 $ à 800 $.

3. Les frais de notaire

Il est obligatoire de passer devant un notaire pour effectuer la transaction. L’acheteur choisit le notaire et en assume les frais. Prévoir de 1500 $ à 2000 $.

4. Taxes foncières et scolaires

Lors de la vente, le notaire répartit les taxes payées entre les parties en précisant la part de chacun. L’acheteur doit rembourser les taxes que le vendeur a déboursées d’avance.

5. Assurance du prêt hypothécaire

Si vous versez un acompte de moins de 20 % de la valeur de la maison, vous serez obligé de vous procurer l’assurance de la SCHL. La prime est normalement ajoutée sur l’hypothèque, mais au Québec, on doit payer la taxe de vente provinciale (TVQ) sur la prime. On doit payer la taxe de vente chez le notaire, elle n’est pas finançable.

6. Droits de mutation ou taxe de bienvenue

Vous ne pouvez pas y échapper, et la taxe de bienvenue varie souvent d’une municipalité à une autre.

7. Les assurances

Dès que la date de prise de possession est connue, il convient d’en informer son assureur pour effectuer les modifications nécessaires. Des frais peuvent découler de ces changements selon les nouvelles couvertures choisies.

8. Les fournisseurs

S’établir dans une nouvelle demeure, c’est un peu comme prendre un train en marche. Selon la propriété et les systèmes qui y sont rattachés, les fournisseurs devront être contactés afin d’effectuer la mise à jour des coordonnées et des services comme pour le mazout, le gaz propane, le gaz naturel, etc. Attention, un réservoir rempli vous sera facturé lors de la signature chez le notaire.

9. Les branchements

Il en est de même pour les connexions à des réseaux : électricité, téléphone, internet, etc.

10. Décoration intérieure

Avant d’emménager dans votre nouvelle demeure, vous voudrez sans doute effectuer quelques travaux, comme rafraîchir la peinture, installer des rideaux et des stores, etc. Certains en profitent également pour effectuer des travaux plus importants comme refaire la cuisine ou la salle de bain.

11. Aménagement paysager

Le moment est propice également pour réaliser les gros travaux sur le terrain. Alors que la maison est inoccupée, la machinerie imposante et bruyante ne dérange pas.

12. Frais de déménagement

Vous voici prêt à occuper les lieux. Plusieurs facteurs peuvent faire varier le prix d’un déménagement, dont la préparation des boîtes, l’envergure du déménagement, les types de meubles, la distance, etc. Pour un déménagement normal, il faut compter de 115 $ à 190 $ de l’heure incluant 2 ou 3 déménageurs et un camion.

Conclusion

La prise de possession d’une maison et l’emménagement comprennent de nombreuses facettes, sans compter les surprises qui peuvent survenir à tout moment. Les nouveaux propriétaires doivent disposer de ressources financières suffisantes pour régler ces problèmes afin que l’expérience d’acquisition d’une propriété soit couronnée de succès.

Source: journaldemontreal.com