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Devrais-je acheter ou louer une maison… et investir?

20 août 2024

Source: centris.ca
Acheter une maison est un rêve pour beaucoup de jeunes adultes. Mais est-il plus rentable d’acheter, ou de louer et d’investir? Alors que certaines personnes voient l’achat comme un bon investissement, d’autres préfèrent louer un appartement pour la liberté. Chaque option a ses avantages et ses inconvénients. La meilleure solution? Ça dépend de votre situation.

Dans cet article, nous allons examiner les principaux facteurs à prendre en compte pour identifier l’avenue qui vous convient le mieux. Que vous soyez un potentiel premier acheteur ou un locataire de longue date, vous trouverez des informations essentielles pour déterminer s’il est plus rentable de louer ou d’acheter une maison.

Quelle est la différence entre la location et l’achat d’une maison?

Examinons de plus près les avantages et les inconvénients de la location d’une maison, puis ceux de l’achat. En plus des aspects financiers, plusieurs autres éléments influenceront votre décision.

Avantages de la location

Louer une maison présente plusieurs avantages sous-estimés. D’abord, la liberté et la mobilité qu’offre la location sont idéales si vous voyagez ou déménagez souvent. De plus, le loyer est généralement plus abordable et comporte moins de risques financiers, ce qui permet d’épargner pour d’autres projets. Les dépenses pour les travaux et l’entretien sont à la charge du propriétaire, limitant ainsi les imprévus. Enfin, la location est intéressante si vous vivez dans un grand centre ou un secteur prisé et que vous ne pouvez pas acheter.

Inconvénients de la location

En tant que locataire, vous ne pouvez pas personnaliser ou modifier l’appartement, le condo ou la maison sans l’accord du propriétaire, ce qui peut être frustrant. De plus, vous dépendez de ce dernier pour l’entretien et les travaux. Comme le propriétaire peut reprendre le logement à la fin du bail ou augmenter le loyer, la location peut entraîner une certaine instabilité. Enfin, l’absence de patrimoine est un inconvénient majeur, car contrairement à l’achat, louer ne permet pas d’investir à long terme ou de réaliser des gains en capital.

Avantages de l’achat

En devenant propriétaire, vous n’avez plus à payer un loyer mensuel, ce qui est une grande satisfaction pour plusieurs. En outre, l’achat d’une maison offre plus de stabilité puisque vous ne dépendez plus des décisions d’une tierce personne. Ainsi, vous avez le contrôle total sur les rénovations et les aménagements.

Il est vrai que vous devez rembourser votre prêt et payer des intérêts à votre institution financière. Cependant, une partie de chaque paiement rembourse le capital, ce qui équivaut à de l’épargne accumulée. L’achat d’une propriété peut donc améliorer votre sécurité financière, car vous pourrez utiliser sa valeur nette pour d’autres projets. Comme la valeur d’une habitation augmente généralement avec le temps, cela vous permet de vous constituer un patrimoine familial solide. De plus, il existe certains avantages fiscaux et crédits d’impôt liés à la propriété.

Inconvénients de l’achat

D’un autre côté, acheter une maison comporte aussi des inconvénients. Le profit n’est ni garanti ni immédiat, car la valeur de la propriété peut fluctuer selon le marché immobilier. En outre, une revente précipitée peut diminuer les gains potentiels.

Le propriétaire est responsable de l’entretien et des rénovations, ce qui demande du temps et de l’argent pour maintenir le bâtiment en bon état. Finalement, l’achat d’une maison peut réduire la flexibilité et la mobilité, rendant les déménagements plus complexes et coûteux.

Quels sont les frais liés à l’achat et à la location d’une propriété?

Plusieurs experts recommandent de planifier vos besoins sur un horizon de cinq ans pour déterminer l’option la plus intéressante. Comme les frais à prévoir pour l’acquisition d’une maison sont souvent négligés dans le calcul du gain potentiel, il est crucial d’évaluer toutes les dépenses liées à l’achat d’une propriété.

Est-il plus rentable de louer ou d’acheter une maison?

Pour répondre à cette question, voici deux simulations effectuées grâce à l’outil de l’Autorité des marchés financier permettant de déterminer si l’achat d’une maison ou la location d’un appartement combinée à un investissement sur le marché boursier est plus favorable. Les scénarios sont basés sur une période de 25 ans avec les taux hypothécaires à 4,5 % et prennent en compte une localisation métropolitaine et en région. Dans les deux scénarios, les taux de rendements des placements après impôt sont projetés à 4,5 % et la hausse annuelle de la valeur de la propriété est estimée à 3,0 %.

Scénario 1 : acheter ou louer à Montréal

Achat : Pour acheter une propriété unifamiliale dans l’arrondissement Sud-Ouest de Montréal, il vous faudra débourser en moyenne 794 500 $ en 2024. Vous devrez disposer d’une mise de fonds minimale de 54 450 $ (calculée à 6,85 %) et payer une prime assurance hypothécaire de 29 602 $ imposée par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Avec un taux d’intérêt de 4,5 % et un amortissement sur 25 ans, votre paiement mensuel total sera de 4 260 $. À cela, il faut ajouter les frais de démarrage, d’assurance habitation, d’entretien et les taxes scolaires et municipales. En supposant une augmentation annuelle moyenne de la valeur de la propriété à 3 %, votre investissement vaudra approximativement 1 663 507 $ dans 25 ans.

Location : En contrepartie, la location d’un logement de deux chambres dans le Sud-Ouest coûte environ 1 950 $ par mois en 2024, selon les données fournies par Zipplex. En investissant la somme initiale (mise de fonds) et en investissant la différence entre le logement et le coût qu’on aurait payé pour une hypothèque dans des placements à un rendement projeté de 4,5 %, la valeur de vos placements dans 25 ans atteindra 1 935 012 $, soit un écart de  271 505 $ par rapport à l’achat de maison.

Scénario 2 : acheter ou louer en région

Achat : Acheter une maison unifamiliale à Drummondville vous coûtera 345 000 $ en moyenne en 2024. Vous aurez besoin d’une mise de fonds minimale de 17 250 $ (5 %) et vous devrez payer une prime assurance hypothécaire de 13 110 $. Avec un taux d’intérêt de 4,5 % et un amortissement sur 25 ans, votre paiement mensuel sera de 1 887 $. Comme dans le scénario 1, il faut ajouter les taxes, frais d’entretien, etc. Dans 25 ans, la maison pourrait valoir 722 348 $, si on projette une augmentation de la valeur à 3 %.

Location : En revanche, le loyer moyen à Drummondville durant la même période est de 1 055 $ par mois. En investissant la différence entre le coût mensuel du loyer et les frais associés à l’achat d’une maison, ainsi que la mise de fonds qui aurait été nécessaire pour l’achat d’une maison, vos placements pourraient valoir 704 487 $ après 25 ans, soit 17 861 $ de moins que la valeur projetée de la maison de 722 348 $. Dans ce scénario, c’est après 15 ans que l’achat de maison commence à être plus avantageux que la location.

Selon ces hypothèses, si on souhaite habiter dans un quartier central d’une région métropolitaine, la location se révèle plus avantageuse, tandis que dans les villes de plus petite taille, l’achat devient plus rentable après quelques années. Bien entendu, cette estimation dépend de plusieurs facteurs et les résultats peuvent varier.

Louer, un meilleur investissement… en théorie

Louer peut sembler être un meilleur choix en matière d’investissement, surtout si le souhait est de vivre en centre urbain. Toutefois, la plupart des locataires ont du mal à investir la différence entre le prix du loyer et celui de l’hypothèque sur le marché boursier ou à diversifier leurs placements dans différents secteurs économiques. C’est pourquoi les experts arrivent souvent à la conclusion que l’achat est une forme d’épargne forcée qui constitue un meilleur investissement.

Par ailleurs, les deux scénarios présentés tiennent uniquement compte de l’aspect financier. Cependant, au moment de déterminer s’il est plus rentable de louer ou d’acheter, il faut aussi penser à tous les éléments de son quotidien, tels que ses besoins et sa qualité de vie. Par exemple, seriez-vous prêts à vivre en famille dans une propriété louée?

5 questions à se poser avant d’acheter

En vous questionnant et en observant les tendances du marché immobilier, vous pouvez déterminer si vous êtes prêt à acquérir une habitation, que ce soit de manière traditionnelle ou en choisissant la location avec option d’achat, par exemple. Voici donc cinq questions à vous poser avant d’acheter une propriété.

1.  Quel est le salaire minimal pour acheter une maison?

Avant de vous lancer dans l’achat d’une maison, il est crucial de déterminer si vos revenus actuels vous permettent de couvrir les dépenses liées de la propriété souhaitée. Voici divers scénarios pour évaluer le salaire minimal pour acheter une maison dans différentes régions du Québec, basés sur les données du premier trimestre de 2024, incluant un taux d’intérêt de 5 % et un amortissement sur 25 ans.

Étant donné qu’il est recommandé d’accorder environ le tiers du revenu pour se loger, les calculs ont été faits en considérant que seulement 33 % du revenu annuel net servirait aux versements et qu’une mise de fonds, de 5 % ou de 20 %, serait donnée. N’oubliez pas d’ajouter la prime SCHL, au besoin, et les taxes foncières.

Notez qu’une mise de fonds initiale de 5 % est requise si le prix de vente est inférieur à 500 000 $. Pour les propriétés d’une valeur supérieure à 500 000 $, la mise de fonds est de 5 % pour la première tranche de 500 000 $ et de 10 % pour la tranche entre ce montant et un million de dollars, le montant maximal assurable par la Société canadienne d’hypothèques et de logement. Si votre mise de fonds initiale est de 20 % ou plus, vous n’avez pas à payer l’assurance de la SCHL.

2. Quel est l’état de mes finances? 

Les futurs acheteurs doivent se poser ces questions pour évaluer la santé de leurs finances. Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison? Comment calculer mon ratio d’endettement? Consultez un conseiller financier pour établir un plan solide qui prendra en compte vos autres dettes : cartes de crédit, prêts personnels et auto, etc.

3. Comment se porte le marché immobilier?

Si vous envisagez d’acheter une maison, surveillez de près le marché immobilier et les taux d’intérêt. Lorsque le marché est en hausse, les prix augmentent également. Ainsi, même si les prix semblent élevés, ils peuvent encore gonfler. Il pourrait donc être profitable d’acheter dès maintenant. Pour prendre une décision éclairée, faites équipe avec un courtier immobilier qui pourra vous renseigner sur l’état du marché, y compris sur le choix de votre futur quartier.

4. Quels seront mes besoins d’ici cinq ans?

Il est important de déterminer vos besoins sur un horizon de cinq ans en tenant compte de vos objectifs personnels et professionnels. Votre situation familiale et votre état civil sont donc des éléments à prendre en considération. Même chose si vous devez vous installer temporairement dans une région pour votre travail ou vos études. Ainsi, acheter une maison avec l’intention de la revendre dans deux ans ne serait certainement pas avantageux financièrement en raison des frais associés à la transaction elle-même.

5. Suis-je prêt à devenir propriétaire?

Devenir propriétaire implique de prendre en charge de nombreuses responsabilités en étant prêt à faire face à divers imprévus. L’entretien, les rénovations mineures et les travaux d’envergure peuvent engendrer des dépenses considérables. Toutefois, si vous êtes habile de vos mains et que vous disposez d’une certaine épargne, cela peut représenter un projet stimulant.

Acheter ou louer : une décision qui dépend de sa situation personnelle

En fin de compte, plusieurs experts estiment que le critère déterminant pour acheter ou louer une maison est le désir de devenir propriétaire. Il s’agit de l’enthousiasme lié à la perspective de posséder sa propre maison et d’avoir la possibilité de la personnaliser. La véritable question n’est donc pas de savoir s’il est plus rentable d’être propriétaire ou locataire, mais plutôt : « Est-ce que la satisfaction d’être propriétaire justifie les frais et responsabilités qui y sont associés? ».

Prêt à entreprendre les démarches pour louer une propriété ou acheter une maison? Faites équipe avec un courtier immobilier qui vous accompagnera à chaque étape de votre projet.

Source: centris.ca

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2024/08/Devraisje-acheter-ou-louer-une-maison-et-investir.jpg 405 700 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2024-08-20 09:16:192024-08-20 09:16:20Devrais-je acheter ou louer une maison… et investir?

Test de résistance hypothécaire : tout ce qu’il faut savoir

6 février 2024

Source: centris.ca

L’obtention d’une préapprobation hypothécaire ou le renouvellement d’une hypothèque existante sont des étapes qui peuvent être stressantes. Alors que le marché immobilier évolue rapidement et que les conditions de financement fluctuent, il devient essentiel de savoir si vous pourrez assumer le remboursement de votre prêt en cas de situation de crise : c’est ici qu’intervient le test de résistance hypothécaire. En parcourant cet article vous découvrirez ce qu’est un test de résistance hypothécaire et pourquoi le passer. Vous verrez également les facteurs clés à prendre en considération et les impacts sur les acheteurs. C’est parti!

Qu’est-ce que le test de résistance hypothécaire?

Le test de résistance hypothécaire – aussi appelé test de stress hypothécaire – est une simulation de crise qui démontre la capacité d’un emprunteur à effectuer ses paiements hypothécaires advenant une hausse des taux d’intérêt. Si celui-ci échoue au test, le prêt sollicité lui sera refusé. L’exercice est d’autant plus révélateur dans le cas d’un prêt à taux variable.

Les entités fédérales, comme les banques et les institutions financières, peuvent vous demander de passer le test pour obtenir un prêt hypothécaire, que vous ayez recours à une assurance prêt hypothécaire ou non. En revanche, certaines coopératives de crédit ou autres prêteurs ne sont pas soumis à cette réglementation.

Comment le test de résistance est-il calculé?

Pour évaluer la capacité de remboursement d’un emprunteur, la banque ou l’institution financière utilisera un taux de qualification. Celui-ci représente le taux le plus élevé entre le taux de référence de la Banque du Canada et votre taux d’intérêt négocié plus 2 % . Ce taux de simulation de crise ou taux d’admissibilité est basé sur les taux hypothécaires fixes à cinq ans affichés par les grandes banques canadiennes qui sont mis à jour chaque semaine.

En complément, les prêteurs utilisent deux ratios, soit l’amortissement brut de la dette (ABD) et l’amortissement total de la dette (ATD). Ces derniers permettent de déterminer si votre capacité d’emprunt pourra faire face à une possible situation de crise.

Qui doit effectuer un test de stress hypothécaire?

Tous les nouveaux acheteurs doivent se soumettre à la simulation de crise. Cela comprend les acquéreurs qui versent une mise de fonds minimale, tout comme ceux dont la mise de fonds est supérieure à 20 % .

De plus, les propriétaires ayant déjà une hypothèque devront le faire s’ils souhaitent[6]  :

  • Refinancer une propriété
  • Changer de prêteur
  • Obtenir une marge de crédit hypothécaire

Les renouvellements hypothécaires avec un même prêteur en sont toutefois exemptés.

Quels sont les impacts pour les acheteurs?

En estimant votre capacité financière à partir d’un taux plus élevé, le montant de votre prêt hypothécaire sera réduit puisque le calcul prévoit qu’une bonne partie de vos revenus sera attribuée au remboursement de la dette. Pour les premiers acheteurs, cela pourrait également complexifier l’accès à la propriété, car ceux-ci disposent généralement d’une mise de fonds moins importante.

En somme, le test de résistance hypothécaire agit comme un mécanisme de protection permettant de visualiser un scénario pire que celui de l’état actuel de la situation pour éviter le surendettement. Pour trouver une habitation qui répondra parfaitement à vos besoins – et à votre budget –, faites équipe avec un courtier immobilier qui saura vous guider dans vos démarches.

Source: centris.ca

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2024/02/Test-de-resistance-hypothecaire.jpg 1000 1500 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2024-02-06 10:40:582024-02-06 10:40:59Test de résistance hypothécaire : tout ce qu’il faut savoir
Quels sont les frais de notaire pour l’achat d’une maison?

Quels sont les frais de notaire pour l’achat d’une maison?

4 décembre 2023

Source: centris.ca

Il n’y a pas à dire, acheter une propriété, c’est beaucoup plus que du bois, de la brique et du béton! En fait, il s’agit d’une transaction relativement complexe qui nécessite l’intervention de plusieurs professionnels en immobilier en vue de bien vous protéger. Parmi ceux-ci, le notaire joue un rôle de premier plan. Mais quels sont les frais de notaire pour l’achat d’une maison? C’est ce que vous découvrirez en lisant cet article.

Un notaire voit à la vérification, à la préparation et à la signature de nombreux documents légaux, comme :

  • Les titres de propriété;
  • Les avis d’adresse;
  • L’acte d’hypothèque;
  • L’acte de vente.

Au Québec, il est obligatoire de recourir aux services d’un notaire pour conclure une transaction immobilière. Dans la plupart des cas, le choix de ce professionnel revient à l’acheteur.

2. Les coûts d’un notaire pour l’achat d’une maison

Règle générale, les prix d’un notaire en immobilier varient entre 1 500 $ et 3 000 $. Par ailleurs, ceux-ci peuvent différer d’une étude à l’autre puisqu’ils ne sont pas fixés par la loi. Selon les circonstances, les coûts du notaire peuvent être répartis entre l’acheteur et le vendeur. De plus, la plupart d’entre eux sont habituellement assumés par l’acheteur, mais le vendeur pourrait avoir à payer les honoraires associés à la radiation des charges existantes et à la correction des titres, au besoin.

3. Les frais de transaction et honoraires professionnels

Les coûts d’un notaire sont habituellement de deux ordres : les frais de transaction et les honoraires professionnels.

En plus de la rédaction des documents mentionnés précédemment, les frais de transaction incluent de nombreuses dépenses taxables et non taxables, dont les coûts pour:

La consultation des index aux immeubles, plans et actes au registre foncier;
L’utilisation de diverses plateformes électroniques;
La gestion de la comptabilité en fidéicommis.
Les honoraires, quant à eux, comprennent les services-conseils préalables à la signature de la promesse d’achat, l’examen des titres, la préparation des actes d’hypothèque et de vente, la publication des avis d’adresse, ainsi que la réception des signatures des deux parties. Ces frais sont facturés selon un taux horaire qui peut varier en fonction de l’expertise du notaire, de la complexité de la transaction et de l’urgence de la situation.

4. Bien préparer sa rencontre devant le notaire

Afin d’éviter des recherches inutiles, l’acheteur et le vendeur devront fournir un certain nombre de documents en vue de bien préparer la rencontre devant le notaire. Parmi ceux-ci, il faudra remettre :

  • Les titres de propriété;
  • Le certificat de localisation à jour;
  • L’état des taxes municipales et scolaires;
  • L’attestation de l’état civil de chacune des parties.

Une fois ces renseignements en main, ce professionnel vérifiera s’il y a des irrégularités et veillera à les corriger, au besoin.

En somme, le travail d’un notaire est un gage de sécurité vous assurant que la transaction immobilière se déroule dans les meilleures conditions possibles. Il est donc préférable de considérer les coûts d’un notaire comme un investissement, plutôt qu’une dépense dans le processus d’achat d’une maison.

Source: centris.ca

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2023/12/Quels-sont-les-frais-de-notaire-pour-lachat-dune-maison.jpg 467 700 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2023-12-04 10:16:442023-12-04 10:16:46Quels sont les frais de notaire pour l’achat d’une maison?
Comment obtenir une préapprobation hypothécaire?

Comment obtenir une préapprobation hypothécaire?

26 juillet 2023

Source: Centris.ca

Prêt à partir à la recherche d’une future propriété? La première étape pour concrétiser votre rêve : obtenir une préapprobation hypothécaire. Cette démarche vous permettra de connaître votre capacité d’emprunt, d’estimer le montant de vos versements et de garantir un taux d’intérêt pendant une période allant de 60 à 130 jours, selon le prêteur.
Parcourez cet article pour découvrir comment avoir une préapprobation hypothécaire et vous positionner comme un acheteur sérieux. Vous aurez ainsi une longueur d’avance lorsque viendra le temps de présenter une offre d’achat.

Qu’est-ce qu’une préapprobation hypothécaire?

La préapprobation hypothécaire – aussi appelée préautorisation hypothécaire – permet d’évaluer le montant maximal que vous pourriez emprunter pour une habitation. Celui-ci est établi en fonction de nombreux critères, dont :

  • Votre situation financière;
  • La mise de fonds;
  • La valeur de la propriété.

Bon à savoir : au cours de ce processus, vous devrez fournir différents renseignements personnels et documents. Votre dossier de crédit sera également analysé.

Comment obtenir une préautorisation hypothécaire?

En contactant plusieurs prêteurs ou courtiers hypothécaires, vous obtiendrez le produit le mieux adapté à votre réalité, au taux hypothécaire le plus avantageux.

Sachez que les prêteurs consentent directement un prêt. C’est le cas des banques, des caisses populaires, des coopératives de crédit, des sociétés de prêts hypothécaires, des compagnies d’assurance et des sociétés de fiducie et de prêt.

Les courtiers hypothécaires, quant à eux, ne consentent pas de prêts; ils négocient la transaction pour vous. Puisqu’ils ont accès à de nombreux prêteurs, ils peuvent généralement vous proposer une plus large gamme de produits. De plus, ils ne facturent habituellement aucuns frais pour leurs services, mais ils reçoivent une commission à la fin du processus.

3 conseils pour obtenir une préapprobation hypothécaire

1. Évaluez votre capacité d’emprunt

Avant de contacter un prêteur, réalisez un bilan détaillé de vos revenus et dépenses. Vous pourrez ainsi estimer plus facilement votre capacité à concrétiser votre projet immobilier en fonction de votre style de vie. Plusieurs outils sont à votre disposition pour y arriver, dont notre calculatrice hypothécaire.

2. Surveillez votre situation financière

Veillez à maintenir une bonne situation financière en tout temps. Autrement dit, évitez de réaliser des achats importants – comme une voiture ou un électroménager – qui pourraient diminuer votre capacité d’emprunt. De fait, si votre portrait change entre le moment de votre demande et l’acquisition d’une propriété, vous pourriez avoir accès à un prêt moins élevé que celui indiqué sur votre préapprobation ou vous le voir refuser.

3. Considérez les autres dépenses associées à l’achat d’une maison

Ne perdez pas de vue que la préapprobation hypothécaire évalue le montant maximal qui pourrait vous être consenti. Or, celle-ci ne tient pas compte des autres dépenses associées à l’achat d’une propriété, telles que les frais de clôture et de déménagement, ainsi que les coûts d’entretien. Pour éviter les mauvaises surprises, mieux vaut donc rechercher des habitations se trouvant dans une fourchette inférieure de prix.

Vous voilà fin prêt à entreprendre cette belle aventure! Pour acheter une maison en toute tranquillité d’esprit, n’hésitez pas à faire appel à un courtier immobilier. Son expertise pointue vous facilitera grandement la vie!

Source: Centris.ca

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2023/07/Comment-obtenir-une-preapprobation-hypothecaire.jpg 467 700 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2023-07-26 14:27:292023-07-26 14:27:54Comment obtenir une préapprobation hypothécaire?

Rester locataire toute votre vie, ça aura un gigantesque impact sur votre retraite

2 mai 2023

Source: journaldemontreal.com
Il est non seulement difficile pour les millénariaux d’accéder à la propriété en raison des prix de l’immobilier, mais rester locataire toute leur vie pourrait aussi avoir un lourd impact sur leur retraite, car ils devront économiser davantage.

Les travailleurs millénariaux qui louent un logement durant toute leur vie devront épargner 50 % de plus que ceux qui ont acheté une propriété. Les millénariaux sont la génération Y, née entre 1981 et 1996, qui est âgée aujourd’hui de 25 à 40 ans. «Notre analyse démontre que pour pouvoir disposer d’un revenu raisonnable à la retraite, un millénarial qui loue pendant toute sa carrière devra épargner huit fois son salaire annuel pour pouvoir prendre sa retraite à l’âge de 68 ans. Inversement, un millénarial propriétaire n’aura besoin d’économiser que 5,25 fois son salaire annuel et pourra même prendre sa retraite trois ans plus tôt, à 65 ans», explique Jean-Philippe Côté, conseiller en placement chez Mercer Canada, la firme qui a réalisé le baromètre du degré de préparation à la retraite.

À double tranchant

Or, les prix des loyers n’ont cessé de grimper au cours de la dernière année et atteignent désormais des niveaux records. Au Québec, le Tribunal administratif du logement a accepté pour 2023 des hausses moyennes de 2,8 % pour un logement chauffé à l’électricité, soit plus du double qu’en 2022. Cela rendra la tâche des locataires encore plus difficile pour économiser les montants nécessaires à une retraite confortable.

Et une fois à retraite, les propriétaires seront encore une fois privilégiés, puisqu’ils auront probablement terminé de rembourser leur hypothèque. Résultat, ils n’auront plus que les taxes municipales et l’entretien de leur propriété à payer, contrairement aux locataires qui eux devront continuer à verser un loyer pour se loger. Cependant, les calculs de Mercer partent du principe voulant que l’hypothèque soit entièrement remboursée, ce qui ne sera pas nécessairement le cas de tous, il faut donc nuancer légèrement les résultats.

En revanche, les propriétaires qui vendront leur maison auront probablement accès à un bon montant d’argent et, s’ils préfèrent conserver leur propriété, ils pourront utiliser sa valeur ou l’équité accumulée pour avoir accès à une bonne flexibilité financière. Autre possibilité : vendre la propriété familiale et s’acheter un logis plus petit et moins coûteux, tout en conservant des liquidités.

Pour Jean-Philippe Côté, la problématique est à double pour les non-propriétaires. «Alors que le coût de la vie continue de grimper et que l’accessibilité à la propriété diminue, de nombreux millénariaux, exclus du marché immobilier pour de bon, pourraient se résigner à demeurer locataires. La question de l’endettement s’ajoute aussi aux difficultés liées à la retraite. Car plus le coût de la vie augmente, plus les gens s’endettent et moins ils peuvent épargner pour une mise de fonds ou pour leur retraite», constate-t-il. Notons toutefois que tout le monde est à risque de s’endetter, que l’on soit locataire ou propriétaire.

De plus, un locataire n’aura pas à payer de taxes municipales – du moins pas directement –, ni de frais de condo, ni de coûts d’entretien et de rénovation pour son logement. S’il réussissait à économiser l’équivalent de ces montants pour les placer et en tirer des rendements intéressants, il pourrait tirer son épingle du jeu et améliorer ses revenus à la retraite.

Ne négligez pas de participer au régime de l’employeur

Pour mieux attirer et retenir la main-d’œuvre, de nombreux employeurs offrent des cotisations de contrepartie. Cela signifie que chaque fois que l’employé cotise à son REER, l’employeur versera un montant équivalent dans son régime. Ceux qui bénéficient de ces régimes voient donc leurs possibilités d’épargne augmenter, ce qui les aide à atteindre leurs objectifs tant au niveau de la retraite que sur le plan de l’accès à la propriété. En effet, rappelons que le RAP permet de retirer jusqu’à 35 000 $ de ses REER pour acheter une propriété.

À cet égard, Jean-Philippe Côté exhorte les employeurs à offrir des programmes dont le design est flexible et suffisamment souple pour s’adapter aux différents besoins des employés.

Il recommande aussi aux millénariaux qui pourraient se sentir découragés devant l’ampleur de la tâche de ne pas baisser les bras, de bien évaluer les différentes options et leurs conséquences sur le futur, et d’utiliser tous les outils et leviers d’épargne à leur disposition.

Source: journaldemontreal.com

https://vendirect.ca/wp-content/uploads/2023/05/Rester-locataire-toute-votre-vie-ca-aura-un-gigantesque-impact-sur-votre-retraite-JDM.png 789 835 Vendirect News /wp-content/uploads/2018/06/LogoHeader.png Vendirect News2023-05-02 14:40:012023-05-02 14:40:02Rester locataire toute votre vie, ça aura un gigantesque impact sur votre retraite

Au-delà du taux d’intérêt

22 mars 2022
Source: www.lapresse.ca

 

PHOTO GETTY IMAGES

Les individus se font dire continuellement que la gestion de leurs épargnes doit se faire en fonction de leur profil d’investisseur. Il en est de même pour la gestion de leur passif.

Vous vous préparez à contracter votre prêt hypothécaire et, bien sûr, vous avez en tête toute la question du taux d’intérêt, croyant qu’il s’agit du facteur ultime qui vous amènera à décider des termes du prêt. Mais il y a pourtant bien d’autres facteurs tout aussi importants, expliquent les experts. En voici quelques-uns.

Publié le 20 mars
JEAN GAGNONCOLLABORATION SPÉCIALE

Votre situation

Le prêt hypothécaire ne sera qu’une partie, quoique assez importante, de vos engagements financiers. C’est pourquoi, au moment de décider quel prêt hypothécaire vous convient le mieux, vous devez prendre en considération l’ensemble de votre situation financière, afin que celle-ci conserve la flexibilité qui vous assurera d’atteindre tous vos objectifs. La première étape sera de bien établir votre budget, explique Aline Aoueiss, spécialiste hypothécaire, BMO Banque de Montréal. « Règle générale, il n’est pas avisé de consacrer plus de 30-35 % de son revenu brut au remboursement de l’hypothèque », réitère-t-elle.

PHOTO FOURNIE PAR BMO

Aline Aoueiss, spécialiste hypothécaire, BMO Banque de Montréal

L’importance de la préqualification

La pandémie de COVID-19 a modifié l’environnement économique à bien des égards, et le secteur immobilier n’y a pas échappé. Elle a entraîné une baisse significative des taux d’intérêt. Celle-ci a eu pour effet de stimuler la demande de la part des acheteurs de maisons, ce qui a entraîné une augmentation significative des prix, explique Mme Aoueiss. « D’où l’importance pour les acheteurs à la recherche d’une nouvelle propriété de faire préqualifier leur prêt hypothécaire par leur prêteur de façon à s’assurer que leur offre d’achat sera prise en considération », dit-elle.

Diversité de choix

Il existe des prêts hypothécaires de toutes sortes qui permettent à l’emprunteur de choisir le terme qui lui convient le mieux. En fait, le terme de ces prêts peut varier entre un jour et dix ans. La marge hypothécaire permettra à l’emprunteur de rembourser la somme qu’il désire en tout temps. Quant aux prêts conventionnels, les termes les plus demandés varient entre un et cinq ans, mais il y a aussi des termes de sept et dix ans pour ceux qui préfèrent geler le taux d’intérêt pour une période plus longue, explique Nicolas Fréchette, directeur, gestion de produits de financement, chez Desjardins, qui constate que ces termes plus longs ont généré un certain engouement durant la pandémie, étant donné que les taux d’intérêt étaient à leur plus bas.

Profil de l’emprunteur

Les individus se font dire continuellement que la gestion de leurs épargnes doit se faire en fonction de leur profil d’investisseur. Il en est de même pour la gestion de leur passif qui doit tenir compte de leur profil d’emprunteur, explique Enrik Brassard, vice-président adjoint, financement résidentiel, à la Banque Nationale. Par exemple, le risque associé à une hypothèque à taux variable n’est pas idéal pour les emprunteurs qui préfèrent connaître à l’avance les engagements auxquels ils devront faire face. « Les gens mettent souvent beaucoup de temps et d’énergie à déterminer quels sont les investissements qui leur conviennent, mais souvent ne se préoccupent pas de bien gérer leur passif en fonction de leur tolérance au risque », dit-il.

Des options pour les couples

Il n’est pas rare que, chez un couple, le profil d’emprunteur soit différent de l’un à l’autre. Il est possible, dans ce cas, de faire deux choix de prêts hypothécaires et de les combiner, explique Nicolas Fréchette. Ainsi, une partie pourrait être à taux variable et l’autre, à taux fixe. On peut aussi combiner deux prêts hypothécaires à taux fixe, soit un à court terme, tel un an, et un autre à plus long terme. Cela réduira le risque lorsqu’une hausse ou une baisse de taux d’intérêt se produira.

Des options pour se protéger

L’emprunteur peut se protéger contre l’éventualité de ne plus pouvoir effectuer ses paiements grâce à des assurances, explique Enrik Brassard. Ce peut être une assurance vie qui protégera en cas de mort, ou encore une assurance invalidité grave ou incapacité. L’emprunteur peut aussi établir avec son prêteur des options dans le cas où il pourrait devoir résilier les conditions du prêt. Toutes ces solutions en cas de non-respect des conditions doivent être établies au départ lorsque le prêt est contracté.

 

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