Courtier immobilier : mon métier, ma passion et mon expertise

Source: www.journaldemontreal.com
Courtier immobilier : mon métier, ma passion et mon expertise

Trouvez-vous que vendre ou acheter une propriété, c’est compliqué et stressant ?

Moi, je trouve ça passionnant. C’est pour ça que je suis courtier immobilier.

J’aime aider les gens à faire le bon choix et à éviter des erreurs coûteuses.

Je suis comme un ami à vos côtés. Je vous aide à clarifier vos besoins et vos attentes, parce qu’il n’y a pas que le prix qui compte.

Je suis aussi là pour vous donner l’heure juste, parce que je connais le marché mieux que quiconque. Je vous aide à vendre ou à acheter au bon prix.

Je suis un expert de l’immobilier et je vous aide à garder la tête froide, même quand vous pensez avoir trouvé la demeure de vos rêves.

Et je vous accompagne tout au long de la transaction. Je réponds à vos questions et je prends le temps de vous expliquer tous les détails. Je suis à vos côtés du moment où vous commencez à rêver jusqu’à la conclusion de l’achat ou de la vente.

Si vous cherchez à vendre une maison, je vous expliquerai comment en tirer le maximum. Si vous souhaitez acheter un condo ou un immeuble locatif, je chercherai avec vous.

Une transaction immobilière, c’est trop important dans une vie pour faire ça tout seul. Je suis à votre disposition au moment où vous avez besoin de moi. Parce que quand c’est l’heure d’agir, il faut savoir réfléchir vite.

Avec un courtier immobilier comme moi à vos côtés, vous pouvez apposer votre signature en toute confiance. Je vous assure de la tranquillité d’esprit qui vient quand on sait que tout est bien fait.

Faites équipe avec un courtier immobilier prêt à vous conseiller pour réaliser vos rêves immobiliers.

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Fonte des neiges: 5 conseils pour éviter les inondations

Source: www.protegez-vous.ca

 

Si la température douce du printemps vous enchante, sachez que la fonte des neiges et la pluie peuvent aussi provoquer de bien mauvaises surprises.

Pour ne pas vous retrouver les deux pieds dans l’eau – et surtout pour éviter de coûteuses réparations –, suivez ces conseils de la Société canadienne d’hypothèques et de logement.

1- Retirez régulièrement les débris des gouttières: assurez-vous que les descentes pluviales se déversent à au moins 1,8 mètre (6 pieds) du mur du sous-sol et veillez à ce que l’eau soit évacuée vers la rue, la ruelle ou la cour.

2- Débranchez les conduits: débranchez ceux raccordés au tuyau de drainage de la maison ou au système d’égout.

3- Vérifiez si le système de drainage a tendance à saturer: munissez la maison d’un dispositif de protection comme un clapet antirefoulement ou une pompe de puisard. En cas de panne d’électricité, mieux vaut avoir une pompe de puisard auxiliaire alimentée par une batterie de secours.

4- Nivelez le sol: si le terrain est en pente descendante vers la maison, nivelez le sol pour inverser la pente sur une distance d’au moins 1,8 mètre des fondations. Assurez-vous que la terrasse, le trottoir ou l’entrée de garage ne permettent pas un refoulement d’eau vers les murs.

5- Réduisez le risque de dommages au sous-sol: posez des revêtements de plancher et de murs imperméables, par exemple des carrelages de céramique. Utilisez un mobilier muni de pattes; plus le meuble est élevé, moins il sera mouillé en cas d’inondation.

>> À lire aussi: Êtes-vous bien assuré contre les inondations? et Des digues à la rescousse de Deux-Montagnes

Acheter sa maison: combien ça coûte vraiment?

Source: www.journaldemontreal.com

 

L’achat d’une propriété est un projet important qui nécessite d’être bien préparé. Bien entendu, vous serez entouré d’une équipe de professionnels qui vous accompagnera dans les diverses étapes du processus d’achat. Malgré tout, il est à l’avantage des futurs propriétaires de bien s’informer et de connaître les coûts et frais divers associés à l’acquisition d’une propriété. Bien évidemment, les gens pensent tout de suite à l’hypothèque, à la mise de fonds et au notaire, mais la liste ne s’arrête pas là. Regardons plus en détail à quoi vous devez vous attendre afin de ne rien laisser au hasard et surtout de vous permettre de bien planifier et budgéter votre projet efficacement.

• À lire aussi: Guide d’accès à la propriété: l’incontournable préapprobation hypothécaire

• À lire aussi: Questions et réponses sur l’hypothèque

• À lire aussi: L’ABC du RAP

• À lire aussi: 10 trucs pour dénicher sa propriété de rêve

Droit de mutation (taxe de bienvenue)

Cette taxe varie en fonction du prix de la propriété. Elle est calculée à partir du plus élevé des montants entre le prix payé à l’achat ou un montant calculé à partir de l’évaluation municipale.


Frais de notaire

Les frais exigés par le notaire varient, mais on parle généralement d’un montant de 1000 $ et plus, selon le travail à effectuer dans votre dossier.


Ajustements chez le notaire

Plusieurs personnes oublient que lors du passage chez le notaire, il y a de bonnes chances que vous ayez à faire un chèque pour les dépenses payées à l’avance par le vendeur afin de le rembourser au prorata. Ce montant peut inclure une portion des taxes municipales, taxes scolaires, des contrats de déneigement ou de tonte de pelouse, l’huile à fournaise dans le réservoir ou les frais de location d’un réservoir d’eau chaude, etc.


Taxes scolaires et municipales

Plusieurs institutions financières vont suggérer ou même exiger d’inclure les taxes à même votre versement hypothécaire. C’est d’ailleurs une façon efficace de s’assurer que le paiement de vos taxes est à jour et que vous n’accumulerez pas de retard.


Paiement de la TPS et de la TVQ

Cette taxation est applicable dans le cas où vous achetez une maison neuve. Si c’est votre cas, vous aurez à les acquitter et devez les prévoir dans votre budget.


Assurance habitation

Prenez le temps de bien magasiner votre assurance habitation et d’obtenir plusieurs soumissions afin de les comparer. Les critères des compagnies d’assurance ne sont pas tous les mêmes et vous pourriez être surpris des écarts de prix d’une compagnie à l’autre.


Frais d’inspection et tests divers

Il ne faut pas oublier les frais relatifs à l’inspection qui varient de 600 $ à 1000 $, tout comme les tests qui seront recommandés par l’inspecteur, si nécessaire ; notamment les tests de qualité de l’air, de l’eau, de la fosse septique ou encore pour la présence d’amiante, etc.


Le déménagement

Demanderez-vous l’aide de vos proches ou ferez-vous appel à une entreprise de déménagement ? Dans le second cas, les prix varient en fonction de nombreux éléments tels que la distance et la période de l’année et la facture finale peut rapidement grimper en flèche.


… Et les « à-côtés »

Évidemment, je pourrais facilement allonger la liste en y ajoutant de prévoir les frais de rebranchement pour les divers services tels que l’électricité, l’internet et le câble ou encore les coûts de réacheminement du courrier. Vous aurez peut-être aussi besoin de nouveaux meubles, de repeindre votre nouvelle maison ou encore d’effectuer quelques petits travaux de rénovation ?

Si l’on calcule les frais d’achat et de démarrage en pourcentage, on pourrait dire comme « règle du pouce » de prévoir un montant équivalent à 3 à 5 % du prix de votre maison.


Conseils :

  • Si vous vendez une maison sur laquelle vous avez une hypothèque, il y a de bonnes probabilités que vous ayez une pénalité à payer à la banque. Négociez avec votre institution prêteuse.
  • Si vous faites construire votre maison, la liste des frais à inclure dans votre budget sera plus longue. Par exemple, vous devrez ajouter les plans et devis, permis, aménagement paysager, etc.
  • Si vous achetez avec moins de 20 % de mise de fonds, vous aurez à payer la taxe (9 %) sur la prime SCHL. Ce montant, non négligeable, est très souvent oublié dans le calcul du budget des acheteurs.

COMMENT DÉMÊLER LES TERMES BANCAIRES

Avec la potentielle augmentation du taux directeur au printemps, j’aimerais vous aider aujourd’hui à bien comprendre le langage bancaire. En maîtrisant correctement les différentes options offertes sur le marché, vous serez en mesure de prendre une décision éclairée relativement à votre hypothèque.

Taux fixe et taux variable :

Un taux hypothécaire fixe est un taux d’intérêt qui ne varie pas dans le temps pour la durée du terme choisi. Si vous optez, par exemple, pour un terme de 5 ans à 3 % d’intérêt, vos paiements seront toujours les mêmes pendant cette période.

Le taux variable, quant à lui, fluctue en fonction du marché. La variation de votre taux d’intérêt implique donc que le montant de vos paiements ne sera pas toujours le même.

Lorsque vous magasinez pour votre hypothèque, vous devez choisir votre terme ainsi que l’amortissement désiré. Sachez que ces décisions auront une incidence tant sur votre taux d’intérêt que sur le montant de vos paiements mensuels et sur la somme totale des intérêts à payer.


Amortissement :

L’amortissement est la durée requise pour rembourser votre hypothèque en totalité. Le plus commun est de 25 ans, mais vous pouvez aussi obtenir 30 ans dans certains cas. Plus l’amortissement choisi est de longue durée, plus vous payerez d’intérêts au final pour rembourser votre hypothèque, mais vos paiements mensuels seront aussi plus faibles puisqu’ils s’étaleront sur un plus grand nombre d’années.


Terme :

Le terme hypothécaire est la durée pendant laquelle votre contrat hypothécaire et votre taux d’intérêt sont valides. Par exemple, une grande majorité des gens prennent un terme de 5 ans et à la fin du terme, il est possible de rembourser en totalité, de changer d’institution financière et le taux d’intérêt est renégocié aussi en même temps. Si le prêt hypothécaire n’est pas payé au complet, on renouvelle donc l’hypothèque pour un nouveau terme variant de quelques mois jusqu’à plus de 5 ans.


Marge de crédit hypothécaire :

La marge de crédit hypothécaire est un prêt qui vous est consenti en utilisant votre maison en garantie. La marge de crédit vous permet d’avoir de l’argent disponible en cas d’imprévus, pour des rénovations ou pour effectuer le remboursement d’un autre prêt sans que vous soyez obligé de faire une demande à votre institution financière et de devoir signer un nouveau contrat hypothécaire à chaque fois.

Vous pouvez aussi avoir une marge de crédit hypothécaire qui est lié à un prêt hypothécaire. À mesure que vous payez votre hypothèque, votre marge de crédit augmente et donc, vous donne accès à un montant d’argent plus élevé.

 

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Transformer un espace commercial en résidentiel : ce qu’il faut savoir

Source: www.centris.ca

Vous vous imaginez habiter un espace actuellement commercial ? Ou transformer une propriété commerciale en condos ? Ce type de projets peut s’avérer un excellent investissement. Ça peut aussi être une fantastique occasion d’habiter un quartier où les logements se font rares.

Si l’opération semble simple, a priori, vous devez cependant vous y prendre correctement. Avant d’emménager dans une résidence ou une copropriété au style unique, il y a plusieurs étapes à franchir – et bien faire ses calculs.

Voici ce qu’il faut savoir avant de se lancer dans l’aventure.

Avez-vous le droit d’effectuer cette conversion ?

Chaque municipalité décide des règles qu’elle applique en ce qui concerne la conversion d’un espace commercial en espace résidentiel.

Une municipalité pourrait favoriser ce type de conversion pour revaloriser un secteur. Elle pourrait aussi vouloir l’interdire pour assurer une concentration de l’occupation résidentielle dans un autre secteur.

À noter que les locaux commerciaux situés sur une artère commerciale doivent conserver leurs utilisations commerciales.

Avant tout chose, il faut donc consulter votre municipalité, ou, à Montréal, votre arrondissement.

Le zonage permet-il l’utilisation que vous imaginez ?

Vérifiez aussi auprès de la municipalité si les règles entourant le zonage permettent le type de conversion que vous envisagez.

Comme l’explique le site du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, le zonage vise à « classer les usages et les constructions selon les critères qu’il juge appropriés, dont des critères environnementaux (nuisances, capacité portante), fonctionnels (localisation préférentielle), esthétiques (caractéristiques architecturales) et socio-économiques (incidences sur la population en place, rentabilité économique) ».

Chaque municipalité peut donc s’appuyer sur les règles du zonage pour accepter ou refuser un projet de conversion du commercial vers le résidentiel.

Quels documents doit-on fournir pour recevoir un permis ?

Pour obtenir un permis, vous devrez présenter au minimum un certificat de localisation, un plan préparé par un architecte et une soumission.

Avez-vous pris en compte les taxes à payer ?

Selon l’ampleur des travaux et l’utilisation finale de la propriété, vous pourriez avoir à payer la TPS et la TVQ :

Si vous convertissez l’immeuble commercial en immeuble d’habitation pour le vendre, l’acheteur pourrait avoir à payer les taxes de vente;

Si vous louez l’immeuble une fois converti, « vous pourriez être considéré comme le vendeur et l’acquéreur de l’immeuble », selon Revenu Québec;

Si vous commencez à habiter la nouvelle propriété résidentielle, vous pourriez avoir droit à un remboursement partiel.

Quelle est votre situation ? Pour le savoir, consultez le site de Revenu Québec. Vous y trouverez notamment des exemples qui illustrent les calculs applicables.

Faites-vous aider

La conversion d’un immeuble commercial en immeuble résidentiel nécessite de multiples démarches, afin de s’assurer de la légalité et de la viabilité du projet.

Pour éviter les ennuis et vous assurez de mener à bien votre projet, faites équipe avec un courtier immobilier. Celui-ci est le mieux placé pour vous aider à naviguer dans les dédales règlementaires. Il pourra aussi vous conseiller sur le choix de l’immeuble, si nécessaire.

Communiquez avec un courtier dès maintenant.

 

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