Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Source: centris.ca

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Acheter une propriété est une aventure qui comporte plusieurs jalons importants. Évaluation des besoins, recherche d’habitations, présentation d’une promesse d’achat… Mais pour plusieurs futurs acheteurs, l’étape cruciale est l’obtention d’une préapprobation hypothécaire. Cela dit, concrétiser un investissement immobilier peut être influencé par de multiples facteurs, dont votre revenu, votre situation financière et votre dossier de crédit. Alors, quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison?

Qu’est-ce qu’une bonne cote de crédit?

La cote de crédit est un score allant de 300 à 900 qui permet d’établir votre capacité à rembourser un emprunt en fonction de votre historique de crédit. Plus ce pointage est élevé, meilleure est votre situation.

Quelle cote de crédit faut-il avoir pour acheter une maison? Règle générale, une cote entre 620 et 680 devrait être suffisante afin de vous qualifier pour un prêt hypothécaire auprès d’une institution financière[1]. D’ailleurs, ce score servira également à déterminer le taux et les conditions de votre emprunt.

Comment améliorer sa cote de crédit pour acheter une maison?

Il existe plusieurs stratégies pour augmenter votre pointage en vue de concrétiser un investissement immobilier. Voici cinq actions qui vous aideront à maintenir un bon dossier de crédit.

1. Vérifier sa cote de crédit le plus tôt possible

En parcourant votre dossier de crédit au début du processus d’achat, vous serez en mesure de déterminer si une erreur s’y est glissée et de la corriger avant de présenter une demande de prêt hypothécaire. Pour ce faire, consultez le site web d’agences d’évaluation de crédit, telles qu’Equifax et TransUnion Canada. Certaines institutions financières peuvent aussi vous fournir cette information.

2. Bâtir un historique de crédit

Avoir un historique de crédit permet aux institutions financières de connaître vos antécédents en la matière. Ainsi, il est conseillé de conserver vos comptes et cartes de crédit ouverts, et ce, même si vous ne les utilisez pas fréquemment[2]. Si ceux-ci démontrent que vous êtes un emprunteur fiable, cela aura un impact positif sur votre cote de crédit.

3. Maintenir une bonne utilisation du crédit

Idéalement, le taux d’utilisation de votre crédit ne devrait pas dépasser 35 % de l’ensemble de la limite autorisée. Si cela n’est pas réaliste, tentez de ne pas recourir à plus de 60 % des sommes disponibles[3].

4. Effectuer tous ses paiements

L’une des règles d’or en matière de crédit est de réaliser ses paiements avant la date d’échéance. En outre, ceux-ci ne devraient pas se limiter au montant minimum exigé, mais couvrir l’ensemble du solde.

5. Éviter de présenter plusieurs demandes de prêts

En effectuant plusieurs demandes de prêts, cela indiquera que vous êtes en quête de crédit, ce qui aura l’effet contraire à celui désiré, et pourrait même faire perdre quelques points à votre cote. Si cela n’est pas possible, tentez de réaliser vos démarches sur une courte période afin de préserver un score favorable.

Vous souhaitez améliorer votre cote de crédit en vue d’acquérir une maison? N’hésitez pas à consulter un conseiller financier qui saura vous accompagner dans ce processus. Dès lors, vous aurez tous les outils en main pour entreprendre vos démarches afin d’acheter avec un courtier immobilier.

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Est-il possible d’acheter une maison s’il reste des dettes d’étude?

Source: realtor.ca

Est-il possible d’acheter une maison s’il reste des dettes d’étude?

Un nombre croissant de jeunes Canadiens choisissent de poursuivre des études postsecondaires. Parmi les jeunes âgés de 25 à 34 ans, cette proportion est passée de 59 % en 2000 à 73 % en 2019, selon Statistique Canada.

Bien que nous puissions nous réjouir collectivement de cette augmentation du niveau d’éducation, cela a un coût : la dette moyenne cumulée par les étudiants canadiens est de 28 000 $ pour un baccalauréat et de 15 300 $ additionnels pour les étudiants ayant fait des études supérieures. Selon le magazine Maclean’s, ceux-ci paieront ensuite leurs dettes pendant une période de 9 à 15 ans en moyenne.

L’accès à la propriété
Le fait d’avoir des dettes n’est pas un critère qui bloque l’accès à un prêt hypothécaire. Comme les dettes d’études sont généralement financées à des taux très avantageux par rapport à d’autres produits de crédit, il n’est pas toujours judicieux de les rembourser hâtivement.

En soi, un prêt étudiant n’est un problème que si son remboursement mensuel, par rapport au revenu, vient diminuer la capacité d’épargne et de remboursement d’un prêt hypothécaire. Si le budget mensuel est serré avant même d’avoir acheté une propriété, mieux vaut attendre et épargner davantage.

Bien entendu, la dette étudiante fait partie des engagements de crédit qui affectent la cote de crédit. Elle sera considérée par les institutions financières qui calculent l’amortissement total de la dette. Plus votre paiement de dettes – incluant d’autres dettes comme un prêt auto ou des marges de crédit personnelles – est élevé, moins votre capacité d’emprunt sera importante.

Trouver des solutions alternatives
Au Canada, la SCHL offre différents programmes qui facilitent l’accès à la propriété, notamment pour les premiers acheteurs dont les revenus sont plus modestes. L’Incitatif à l’achat d’une première propriété est une formule de partage de risques par laquelle le gouvernement du Canada participe à la mise de fonds des premiers acheteurs, puis partage la hausse ou la baisse de valeur lors de la revente.

Bien que ce programme ne s’adresse pas particulièrement aux acheteurs détenant des dettes d’études, il s’applique à cette situation en diminuant l’incidence des paiements hypothécaires sur l’amortissement de la dette.

Plusieurs stratégies d’optimisation fiscale peuvent également venir en aide à un acheteur aux prises avec des dettes d’études. En cotisant par exemple au REER ou au CELIAPP, il est possible de cumuler rapidement une mise en fonds tout en bénéficiant de la réduction du revenu imposable, donc d’une économie d’impôt significative qui pourra être dédiée à réduire le fardeau de la dette d’études.

Les courtiers hypothécaires ainsi que les courtiers et agents immobiliers sont en mesure de fournir un portrait de ces programmes, et même parfois, de mettre en contact les acheteurs avec des spécialistes de la gestion financière afin d’accélérer la réalisation du projet. Les dettes d’études – liées à un investissement dans votre cerveau, ne l’oublions pas! – ne sont donc pas un obstacle en soi à l’achat d’une propriété. Elles font partie du portrait, au même titre que vos revenus et vos autres obligations. Un projet bien ficelé, prenant en compte l’ensemble des données, pourra se réaliser avec le bon accompagnement.

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Des dépenses à assumer à l’achat d’une maison

Source: journaldemontreal.com

Des dépenses à assumer à l’achat d’une maison

Afin de réduire le prêt hypothécaire, certains acheteurs, particulièrement lorsqu’il s’agit d’une première maison, ont tendance à puiser au maximum dans leurs ressources financières pour effectuer une mise de fonds substantielle. Résultat, ils n’ont plus de marge de manœuvre pour effectuer les étapes ultérieures et se retrouvent dans une fâcheuse position.

Pour les guider, voici un aide-mémoire des dépenses à court terme qu’il faut assumer lorsqu’on devient propriétaire.

1. Inspection préachat

Il convient d’inclure dans l’offre d’achat une clause d’inspection afin d’éviter les mauvaises surprises. Prévoir de 400 $ à 800 $.

2. Évaluation

Certaines institutions financières exigeront une évaluation de la propriété afin d’en connaître la valeur marchande. Parfois, elles assument elles-mêmes ces frais, d’autres fois, non. Coût : de 350 $ à 800 $.

3. Les frais de notaire

Il est obligatoire de passer devant un notaire pour effectuer la transaction. L’acheteur choisit le notaire et en assume les frais. Prévoir de 1500 $ à 2000 $.

4. Taxes foncières et scolaires

Lors de la vente, le notaire répartit les taxes payées entre les parties en précisant la part de chacun. L’acheteur doit rembourser les taxes que le vendeur a déboursées d’avance.

5. Assurance du prêt hypothécaire

Si vous versez un acompte de moins de 20 % de la valeur de la maison, vous serez obligé de vous procurer l’assurance de la SCHL. La prime est normalement ajoutée sur l’hypothèque, mais au Québec, on doit payer la taxe de vente provinciale (TVQ) sur la prime. On doit payer la taxe de vente chez le notaire, elle n’est pas finançable.

6. Droits de mutation ou taxe de bienvenue

Vous ne pouvez pas y échapper, et la taxe de bienvenue varie souvent d’une municipalité à une autre.

7. Les assurances

Dès que la date de prise de possession est connue, il convient d’en informer son assureur pour effectuer les modifications nécessaires. Des frais peuvent découler de ces changements selon les nouvelles couvertures choisies.

8. Les fournisseurs

S’établir dans une nouvelle demeure, c’est un peu comme prendre un train en marche. Selon la propriété et les systèmes qui y sont rattachés, les fournisseurs devront être contactés afin d’effectuer la mise à jour des coordonnées et des services comme pour le mazout, le gaz propane, le gaz naturel, etc. Attention, un réservoir rempli vous sera facturé lors de la signature chez le notaire.

9. Les branchements

Il en est de même pour les connexions à des réseaux : électricité, téléphone, internet, etc.

10. Décoration intérieure

Avant d’emménager dans votre nouvelle demeure, vous voudrez sans doute effectuer quelques travaux, comme rafraîchir la peinture, installer des rideaux et des stores, etc. Certains en profitent également pour effectuer des travaux plus importants comme refaire la cuisine ou la salle de bain.

11. Aménagement paysager

Le moment est propice également pour réaliser les gros travaux sur le terrain. Alors que la maison est inoccupée, la machinerie imposante et bruyante ne dérange pas.

12. Frais de déménagement

Vous voici prêt à occuper les lieux. Plusieurs facteurs peuvent faire varier le prix d’un déménagement, dont la préparation des boîtes, l’envergure du déménagement, les types de meubles, la distance, etc. Pour un déménagement normal, il faut compter de 115 $ à 190 $ de l’heure incluant 2 ou 3 déménageurs et un camion.

Conclusion

La prise de possession d’une maison et l’emménagement comprennent de nombreuses facettes, sans compter les surprises qui peuvent survenir à tout moment. Les nouveaux propriétaires doivent disposer de ressources financières suffisantes pour régler ces problèmes afin que l’expérience d’acquisition d’une propriété soit couronnée de succès.

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Fixe, variable, ouvert, fermé, hybride : quel type de prêt hypothécaire choisir?

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Quand vient le temps d’acheter une maison, la plupart des Canadiens choisissent de financer l’achat de leur propriété à l’aide d’un prêt hypothécaire. Ce prêt à long terme permet d’amortir une portion de la valeur de la propriété sur une durée souvent comprise entre 20 et 30 ans.

Au Canada, les principales banques avaient émis, au 31 janvier 2023, plus de cinq millions de prêts hypothécaires résidentiels.

Prêt hypothécaire ouvert ou fermé , à taux fixe, variable, ou hybride , hypothèque inversée … On fait le point sur les différents produits et le jargon hypothécaire.

Le remboursement anticipé
Contracter un prêt hypothécaire est un acte contractuel normé au Canada, chaque type de prêt ayant des avantages et des inconvénients pour différents types d’emprunteurs et de situations.

Le prêt hypothécaire fermé est un type de prêt dont la durée est fixe, variant de 6 mois à 10 ans, et dont le taux est généralement plus avantageux que celui d’un prêt hypothécaire ouvert. En contrepartie, il ne peut être fermé, remboursé ou refinancé avant son terme, sauf avec pénalité — il limite donc la flexibilité des emprunteurs, en échange de la prévisibilité. C’est le produit idéal pour un ménage qui ne pense pas devoir vendre avant l’échéance hypothécaire.

À l’inverse, le prêt hypothécaire ouvert peut être remboursé ou refinancé à tout moment, sans pénalité. Toutefois, le taux d’intérêt est généralement plus élevé que celui d’un prêt fermé. Il s’agit d’une solution, parfois temporaire, visant ceux et celles qui prévoient vendre leur maison dans un avenir rapproché, ou qui souhaitent maintenir la possibilité d’effectuer un remboursement anticipé, sans pénalité.

Les taux d’intérêt
Le deuxième facteur à considérer est la variabilité du taux : dans le cas d’un prêt hypothécaire à taux fixe, le taux d’intérêt sera le même pour toute la durée de l’ emprunt, de sorte que l’emprunteur connaîtra dès le départ le montant exact des versements hypothécaires pour toute la durée du prêt. Cela favorise la stabilité et la prévisibilité, notamment pour les ménages qui vivent selon un budget serré requérant une planification plus étroite.

À l’inverse, le prêt hypothécaire à taux variable signifie que des changements peuvent survenir en cours de route, selon les décisions de la Banque du Canada qui agit sur le taux directeur. Lorsqu’un emprunteur souscrit un prêt hypothécaire à taux variable, il peut choisir entre un paiement variable et un paiement fixe. Dans le premier cas, la somme à payer variera en même temps que le taux d’emprunt variable (à la hausse ou à la baisse).; Dans le second, le paiement demeurera le même, mais la période d’amortissement changera : si l’intérêt augmente, la période d’amortissement augmentera également, puisque la part d’intérêt payée mensuellement sera plus importante et il faudra plus de temps pour réduire le capital à zéro.

La « boule de cristal » est importante ici, car si on anticipe une baisse du taux directeur, un taux variable s’avérera parfois intéressant sur le plan des intérêts totaux payés. À l’inverse, si le taux directeur est amené à augmenter, le taux variable payé par l’emprunteur augmentera également. Il est donc intéressant de « verrouiller » un taux fixe plus faible avant la hausse.

Au croisement de ces deux formules, le prêt hypothécaire hybride combine les caractéristiques des prêts à taux fixe et variable. Le taux d’intérêt d’un prêt hypothécaire hybride est généralement fixe pendant une certaine période, après quoi il devient variable. Il s’agit d’une solution intéressante pour ceux et celles qui recherchent la stabilité de l’un et les économies potentielles de l’autre.

L’hypothèque inversée, c’est quoi?
Une hypothèque inversée est un instrument qui, comme son nom l’indique, fonctionne à l’inverse du prêt habituel. En somme, l’hypothèque inversée permet aux propriétaires, âgés de plus de 55 ans, d’accéder à la valeur nette de leur maison («  l’équité  ») sans avoir à la vendre. Le prêt est remboursé lors de la vente de la propriété.

L’hypothèque génère des «  revenus  », sous forme d’ajouts au capital, qui ne sont donc pas imposables, et les intérêts cumulés ne sont payables que lors de la vente. Bien qu’il s’agisse d’une mesure qui puisse convenir à certains, des solutions de rechange, comme le refinancement combiné à un placement, peuvent atténuer la charge d’intérêts à long terme.

Il n’existe évidemment pas de «  meilleur  » type de prêt hypothécaire : cela dépend de la situation de chacun, de ses objectifs, de son aversion au risque et d’autres paramètres financiers personnels. Il est, comme toujours, recommandé de consulter un courtier hypothécaire ou un conseiller financier, qui pourra vous aider à choisir le type de prêt qui conviendra le mieux à votre situation.

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Voici pourquoi votre maison est un bon moyen d’épargner

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Acheter une maison représente, pour la plupart des propriétaires, une épargne forcée.

Pour plusieurs personnes, les versements hypothécaires (capital) sont, et seront, le seul et unique argent économisé.

C’est, cela dit, heureusement, un bon véhicule d’épargne et voici pourquoi.

Un capital qui se bonifie…

L’achat d’une maison vous permettra de vous loger tout en bonifiant votre capital puisque chaque mois, en effectuant vos paiements hypothécaires, l’équité de votre maison augmentera.

L’achat d’une maison s’avère être un moyen d’épargne forcée qui vous aidera à accumuler de l’argent à long terme.

… surtout si on achète tôt

Achetez-vous une maison dès que votre situation vous le permet.

En effet, les statistiques le démontrent ; les jeunes adultes qui décident d’acheter une maison voient la valeur nette de celle-ci augmenter considérablement au fil du temps.

En achetant plus tôt, votre capital augmente plus rapidement. Si votre situation s’y prête, que vous êtes un jeune professionnel à l’aise financièrement, que vous avez un emploi stable et prévoyez demeurer au même endroit au moins cinq ans, alors l’achat d’une maison est tout indiqué pour vous.

Un bon plan de retraite

L’appréciation de la valeur de votre maison augmentera d’elle-même avec les années, ce qui en fait un bon plan de retraite.

Celle-ci prendra également de la valeur si vous y avez effectué des améliorations ou rénovations. Au moment où vous vendrez votre propriété, sachez que le gain en capital que vous réaliserez ne sera pas imposable si vous êtes propriétaire occupant.

Un bon plan de secours

Votre maison peut être un bon plan de secours si vous n’avez pas accumulé assez d’économies au moment de prendre votre retraite.

En effet, si vous avez acheté une maison, au moment où vous vendrez celle-ci, vous encaisserez votre équité.

Vous pourrez alors réinvestir cet argent dans une maison moins coûteuse, un logement ou obtenir une ligne de crédit hypothécaire inversée sans paiement ni impôt.

Une stratégie fiable

Posséder une maison est une bonne façon d’économiser pour sa retraite. En achetant une maison, si vous êtes professionnellement stable, vous optez pour une stratégie de retraite à long terme qui est fiable.

En investissant dans une propriété, vous aurez en effet plus de chances d’arriver à épargner, les taux d’intérêt des épargnes offerts au Canada étant en chute depuis bon nombre d’années.

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Rester locataire toute votre vie, ça aura un gigantesque impact sur votre retraite

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Il est non seulement difficile pour les millénariaux d’accéder à la propriété en raison des prix de l’immobilier, mais rester locataire toute leur vie pourrait aussi avoir un lourd impact sur leur retraite, car ils devront économiser davantage.

Les travailleurs millénariaux qui louent un logement durant toute leur vie devront épargner 50 % de plus que ceux qui ont acheté une propriété. Les millénariaux sont la génération Y, née entre 1981 et 1996, qui est âgée aujourd’hui de 25 à 40 ans. «Notre analyse démontre que pour pouvoir disposer d’un revenu raisonnable à la retraite, un millénarial qui loue pendant toute sa carrière devra épargner huit fois son salaire annuel pour pouvoir prendre sa retraite à l’âge de 68 ans. Inversement, un millénarial propriétaire n’aura besoin d’économiser que 5,25 fois son salaire annuel et pourra même prendre sa retraite trois ans plus tôt, à 65 ans», explique Jean-Philippe Côté, conseiller en placement chez Mercer Canada, la firme qui a réalisé le baromètre du degré de préparation à la retraite.

À double tranchant

Or, les prix des loyers n’ont cessé de grimper au cours de la dernière année et atteignent désormais des niveaux records. Au Québec, le Tribunal administratif du logement a accepté pour 2023 des hausses moyennes de 2,8 % pour un logement chauffé à l’électricité, soit plus du double qu’en 2022. Cela rendra la tâche des locataires encore plus difficile pour économiser les montants nécessaires à une retraite confortable.

Et une fois à retraite, les propriétaires seront encore une fois privilégiés, puisqu’ils auront probablement terminé de rembourser leur hypothèque. Résultat, ils n’auront plus que les taxes municipales et l’entretien de leur propriété à payer, contrairement aux locataires qui eux devront continuer à verser un loyer pour se loger. Cependant, les calculs de Mercer partent du principe voulant que l’hypothèque soit entièrement remboursée, ce qui ne sera pas nécessairement le cas de tous, il faut donc nuancer légèrement les résultats.

En revanche, les propriétaires qui vendront leur maison auront probablement accès à un bon montant d’argent et, s’ils préfèrent conserver leur propriété, ils pourront utiliser sa valeur ou l’équité accumulée pour avoir accès à une bonne flexibilité financière. Autre possibilité : vendre la propriété familiale et s’acheter un logis plus petit et moins coûteux, tout en conservant des liquidités.

Pour Jean-Philippe Côté, la problématique est à double pour les non-propriétaires. «Alors que le coût de la vie continue de grimper et que l’accessibilité à la propriété diminue, de nombreux millénariaux, exclus du marché immobilier pour de bon, pourraient se résigner à demeurer locataires. La question de l’endettement s’ajoute aussi aux difficultés liées à la retraite. Car plus le coût de la vie augmente, plus les gens s’endettent et moins ils peuvent épargner pour une mise de fonds ou pour leur retraite», constate-t-il. Notons toutefois que tout le monde est à risque de s’endetter, que l’on soit locataire ou propriétaire.

De plus, un locataire n’aura pas à payer de taxes municipales – du moins pas directement –, ni de frais de condo, ni de coûts d’entretien et de rénovation pour son logement. S’il réussissait à économiser l’équivalent de ces montants pour les placer et en tirer des rendements intéressants, il pourrait tirer son épingle du jeu et améliorer ses revenus à la retraite.

Ne négligez pas de participer au régime de l’employeur

Pour mieux attirer et retenir la main-d’œuvre, de nombreux employeurs offrent des cotisations de contrepartie. Cela signifie que chaque fois que l’employé cotise à son REER, l’employeur versera un montant équivalent dans son régime. Ceux qui bénéficient de ces régimes voient donc leurs possibilités d’épargne augmenter, ce qui les aide à atteindre leurs objectifs tant au niveau de la retraite que sur le plan de l’accès à la propriété. En effet, rappelons que le RAP permet de retirer jusqu’à 35 000 $ de ses REER pour acheter une propriété.

À cet égard, Jean-Philippe Côté exhorte les employeurs à offrir des programmes dont le design est flexible et suffisamment souple pour s’adapter aux différents besoins des employés.

Il recommande aussi aux millénariaux qui pourraient se sentir découragés devant l’ampleur de la tâche de ne pas baisser les bras, de bien évaluer les différentes options et leurs conséquences sur le futur, et d’utiliser tous les outils et leviers d’épargne à leur disposition.

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Puits artésiens et fosses septiques : ce qu’il faut savoir

Source: lapresse.ca
Vous envisagez d’acquérir une propriété qui est dotée d’un puits artésien et d’une fosse septique, mais vous montrez une certaine réticence parce que vous entrez en terre inconnue… Voici ce que vous devez savoir et les vérifications à effectuer pour vous assurer de faire un bon achat.

Si vous recherchez une résidence de campagne, vous avez probablement constaté que dans la majorité des cas, ce type de propriété ne bénéficie pas des services d’eau et d’égouts de la municipalité.

« On ne peut pas dire que ce soit un frein à la vente ou à l’achat à partir du moment où il n’y a pas d’autre option, ce qui est souvent le cas en région. Comme les gens sont éloignés les uns des autres, ça coûterait beaucoup trop cher de réaliser des travaux d’infrastructure », remarque Marc Lacasse, courtier immobilier et président du C.A. de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).

Cela dit, il faut vous assurer que les équipements fonctionnent bien, qu’ils sont en bon état et qu’ils sont situés à des distances réglementaires avant d’acheter la propriété en question.

Le puits artésien : pour une eau potable de qualité
Sans entrer dans des détails techniques, le puits artésien permet d’obtenir une source d’eau potable puisée profondément dans le sol. Il faut qu’il réponde à deux données fondamentales : offrir une eau potable de bonne qualité, puis offrir une quantité et une pression d’eau suffisantes pour combler les besoins de tous les occupants que la maison peut accueillir.

Pour vous en assurer, vous devrez procéder à un test d’eau et à une inspection du puits par un inspecteur en bâtiment qualifié.

Il est important d’avoir recours à une entreprise ou un inspecteur titulaire de la certification OCaRE pour faire le test d’eau. Le tout sert à vérifier que l’eau n’est pas contaminée.

Vous pouvez aussi effectuer l’échantillonnage sans passer par un professionnel et le déposer ensuite dans un laboratoire qui doit être accrédité par le ministère de l’Environnement en analyse bactériologique, mais renseignez-vous au préalable sur le protocole à suivre. Attention : comme les courtiers immobiliers sont partie prenante, ils ne doivent en aucun cas effectuer de prélèvement ni le faire analyser à votre place.

Même si l’eau est inodore, incolore et bonne au goût, elle peut contenir des éléments ayant des effets indésirables sur la santé. Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) recommande donc de faire des tests plusieurs fois par année ; ce test est également exigé par l’institution financière avant une transaction immobilière.

En tant que propriétaire, conservez les analyses physico-chimiques de l’eau afin de pouvoir fournir un historique à l’acquéreur lorsque vous déciderez de vendre.

Outre la qualité de l’eau, la quantité, le débit ainsi que la capacité de pompage et l’état des équipements méritent toute votre attention. Il est donc primordial de faire appel à un inspecteur en bâtiment avant de vous engager à acheter afin qu’il procède à des vérifications précises. Le résultat de cette inspection vous assurera (ou non) un certain confort et vous permettra de savoir si vous risquez de manquer d’eau ou de pression.

Et maintenant, la fosse septique
Une fosse septique sert à recevoir les eaux usées et les déchets organiques par l’intermédiaire d’une tuyauterie reliée à votre maison. Une fois les déchets décomposés, les eaux usées sont généralement dirigées vers un champ d’épuration pour un traitement supplémentaire, puis dans un sol récepteur.

Il existe plusieurs systèmes de fosses septiques. Cela dit, quel qu’il soit, il est impératif de le faire vérifier par un inspecteur en bâtiment qualifié et qui a l’habitude de ce genre d’expertise avant d’acheter, comme pour le puits artésien.

Ce qu’il faut savoir, notamment, c’est que le nombre de chambres à coucher et d’occupants détermine le volume minimal du réservoir de la fosse septique.

Il est essentiel de s’y conformer pour éviter de fâcheux désagréments. Marc Lacasse donne l’exemple d’un chalet comprenant trois chambres à coucher et un sous-sol non fini.

« Si le propriétaire décide d’ajouter deux chambres au sous-sol sans demander de permis, on a cinq chambres lors de la revente du chalet et les installations septiques ne sont plus conformes. » Une raison supplémentaire de procéder à une inspection !

Afin d’éviter des problèmes, chaque propriétaire a l’obligation de faire vidanger sa fosse septique généralement tous les deux ans. Selon les régions, c’est le propriétaire ou la Ville qui se charge de la vidange.

Dans la mesure où les équipements sont conformes aux réglementations et que vous effectuez l’entretien régulier requis pour les maintenir en bon état, il n’y a pas lieu de vous inquiéter. Et si l’inspection révèle que des changements majeurs sont à faire, vous aurez certainement matière à négocier le prix avec le vendeur.

Source: lapresse.ca

Évaluation municipale ou valeur marchande?

Source: centris.ca

Au cours de la dernière année, plusieurs propriétaires ont vu la valeur de leur habitation bondir de manière impressionnante. Combinée au phénomène de surchauffe immobilière, cette situation a fait en sorte que de nombreuses propriétés se sont vendues à un prix élevé, et ce, très rapidement. Cela dit, pour connaître la valeur réelle d’un bien immobilier, est-il préférable de se fier à la valeur marchande ou à l’évaluation municipale? Poursuivez votre lecture pour découvrir les différences entre ces deux indicateurs et savoir si le prix affiché est juste.

1. L’évaluation municipale

L’évaluation municipale représente la somme de l’estimation du terrain et de l’immeuble. Elle est effectuée par la ville ou la municipalité où se situe la propriété et a pour but de fixer le montant des taxes foncières que chaque propriétaire devra payer au cours de l’année. Elle est valide à partir du 1er juillet, 18 mois avant l’entrée en vigueur du prochain rôle d’évaluation et est réalisée tous les 3 ans[1]. Cette information se trouve habituellement sur la fiche de chaque propriété à vendre. Si ce n’est pas le cas, contactez le courtier immobilier responsable de l’inscription pour obtenir l’heure juste.

Règle générale, l’évaluation municipale est réalisée par des évaluateurs agréés mandatés par la ville qui calculent la valeur en bloc d’habitations comparables. Autrement dit, le prix de chaque propriété est évalué en fonction des autres biens immobiliers qui se situent à proximité et non de manière individuelle. Même si elle est effectuée par des professionnels, cette estimation demeure approximative et ne permet pas de déterminer précisément la véritable valeur de chacun des immeubles. De plus, comme le rôle d’évaluation est en vigueur pour une période fixe de trois ans, il n’est pas totalement représentatif de l’évolution du marché.Vous aimeriez faire quelques recherches par vous-mêmes?

Consultez le Registre foncier du Québec en ligne pour avoir accès au rôle d’évaluation d’autres propriétés situées à proximité de la vôtre ou de celle que vous convoitez.

2. La valeur marchande

La valeur marchande d’une propriété, quant à elle, suit l’évolution du marché immobilier. Elle est généralement réalisée par un évaluateur agréé qui tiendra compte d’un ensemble d’éléments, tels que[2] :

  • Le type de propriété
  • L’année de construction
  • Les caractéristiques intérieures et extérieures
  • La superficie du terrain
  • La localisation

De plus, la propriété sera comparée à d’autres biens immobiliers similaires qui ont récemment été vendus. Ainsi, contrairement à l’évaluation municipale, la valeur marchande n’est pas fixée pour une période donnée et fluctue en fonction de l’offre et de la demande, ce qui la rend beaucoup plus précise[3].

Dans ce contexte, les rénovations ou les améliorations apportées à une propriété pourraient affecter favorablement son prix. Et l’inverse est aussi vrai : la valeur marchande d’une propriété nécessitant quelques rénovations pourrait être influencée à la baisse – ce qui n’est pas nécessairement considéré dans l’évaluation municipale.

3. Comment bien fixer le prix de vente d’une propriété?

Sachant ce qui précède, quelle est la meilleure manière de déterminer le juste prix d’une propriété? Vous l’aurez sans doute deviné : la valeur marchande demeure un indicateur plus fiable. Comme celle-ci tient compte d’un plus grand nombre de facteurs et de l’évolution du marché, elle s’avère plus représentative du prix réel d’une propriété.

Pour vendre ou acheter aux meilleures conditions possibles, pensez à faire équipe avec un courtier immobilier. Grâce à ses connaissances pointues du marché et à un vaste réseau d’experts, celui-ci vous aidera à fixer le juste prix de votre propriété ou à négocier l’achat de votre future maison en toute connaissance de cause.

[1]https://www.lapresse.ca/maison/immobilier/201603/31/01-4966194-que-vaut-levaluation-municipale.php
[2]https://www.lapresse.ca/maison/immobilier/201603/31/01-4966194-que-vaut-levaluation-municipale.php
[3]https://xpertsource.com/fr/blogue/valeur-marchande-evaluation-municipale?category=11

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Faut-il opter pour un taux fixe à court terme pour son hypothèque?

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Le but des nombreuses augmentations du taux directeur de la Banque du Canada est de faire baisser l’inflation.

• À lire aussi: Quelle mise de fonds verser lors de l’achat d’une propriété?

La majorité des emprunteurs se tournent habituellement vers les termes de 5 ans, c’est actuellement moins tentant dans les circonstances : personne ne veut payer un taux élevé pour 5 ans… 

Que faire ? J’en ai parlé avec M. Charles-Antoine Boudreau, courtier hypothécaire chez Planiprêt.

Parmi les éléments qui ont une incidence sur les taux d’intérêt, il y a le coût des fonds que la banque emprunte sur les marchés pour ensuite vous proposer votre prêt. Actuellement, ils sont en baisse, ce qui favorise de meilleurs taux d’intérêt fixes. 

«On peut se réjouir de cette nouvelle», ajoute M. Boudreau. 

En période d’instabilité économique, il propose de réfléchir aux trois options suivantes pour faire un choix éclairé:

1 – UN TAUX FIXE À COURT TERME (2-3 ANS) POURTRAVERSER LES INCERTITUDES  
Bien entendu, nous souhaitons tous que l’inflation soit maîtrisée afin que les taux d’intérêt baissent à nouveau. Plusieurs ont bon espoir que ce sera le cas avant 5 ans et ne souhaitent donc pas renouveler leur prêt pour une si longue période avec les taux actuels. Un taux fixe à court terme offre donc la possibilité d’avoir l’esprit tranquille sur un paiement, sans variation, sur une plus courte période.

2 – UN TAUX FIXE DE 5 ANS POUR AVOIR L’ESPRIT TRANQUILLE, NE SACHANT PAS COMMENT L’INFLATION SE COMPORTERA 
Si vous souhaitez tout de même aller de l’avant avec ce terme avec taux fixe, M. Boudreau rappelle ceci: «Pensez à privilégier un prêteur avec de faibles pénalités en cas de rupture de contrat avant l’échéance du terme.» 

En effet, les pénalités peuvent parfois être si salées ou le terme si avancé qu’il ne vaut plus la peine de s’en prévaloir. Toutefois, ces pénalités sont différentes selon l’institution financière. 

3 – UN TAUX VARIABLE  
«Il peut aussi être intéressant advenant un ralentissement rapide de l’économie», rappelle M. Boudreau. 

En effet, le taux variable suit à la hausse ou à la baisse le taux directeur : lorsque celui-ci monte, votre taux variable monte et lorsque le taux directeur baisse, votre taux variable baisse. Si l’inflation est maîtrisée plus rapidement, le taux directeur pourrait baisser ses taux d’intérêt rapidement, ce qui pourrait signifier des économies plus importantes qu’avec un taux fixe de 5 ans, ou même un taux fixe à court terme de 3 ans. Qui veut manquer le bateau? Le taux variable offre la possibilité d’en profiter sans délai.

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Les meilleures rénovations à faire pour maximiser le prix de vente de sa maison

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Voilà que les rayons du soleil sont plus chauds, que l’eau ruisselle ici et là… On se surprend à parler de cabane à sucre, de sirop d’érable et du retour des oies blanches. Pas de doute, le printemps frappe à nos portes. Pour les propriétaires qui souhaitent vendre leur maison, c’est le temps de passer à l’action.

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En cette période, le bassin d’acheteurs potentiels augmente, étant donné que les locataires désirant accéder à la propriété ont posté leur avis de non-renouvellement de bail et voudront emménager avant juillet.

Quelles sont les meilleures rénovations à effectuer pour augmenter la valeur de votre maison ?

Le top 5

En voici cinq provenant de l’Institut canadien des évaluateurs.

Évidemment, l’envergure des travaux variera selon l’état des lieux.

1. La salle de bain

Selon l’Institut, une proportion de 75 % à 100 % des sommes investies dans la rénovation d’une salle de bain est récupérée à la revente.

En moyenne, le coût d’une nouvelle salle de bain varie de 8000 dollars à 20 000 dollars.

À vous de juger de l’ampleur des modifications à apporter. Les acheteurs accordent beaucoup d’importance à la propreté, au confort et à la facilité d’entretien. Tenez compte de ces critères dans vos choix.

2. La cuisine

Même constat pour la cuisine, dont la valeur se situe souvent entre 20 000 dollars et 50 000 dollars.

Le taux de récupération oscille entre 75 % et 100 %.

Évaluez l’état de chaque composante.

Ceux et celles qui aiment cuisiner porteront une attention particulière à l’ergonomie et à l’aménagement de l’espace lors de la visite.

3. La peinture

Rafraîchir les lieux, effacer les traces laissées au cours des années, c’est comme inviter l’acheteur potentiel à prendre possession des lieux.

Taux de récupération : entre 50 % et 100 %. Les couleurs étant une question de goût personnel, on optera pour des coloris neutres. On veut que le futur acheteur puisse se voir vivre dans votre maison.

4. La toiture

Les acheteurs porteront également leur attention à la toiture, élément architectural important. Quand a-t-elle été faite ? Pour combien d’années était-elle garantie ? L’Institut évalue qu’entre 50 et 80 % des sommes investies dans la rénovation de la toiture seront récupérées. Combien ça coûte ? Il existe de nombreux types de toitures. Le plus populaire, en bardeaux d’asphalte, coûte en moyenne de 3 dollars à 5 dollars le pied carré.

5. La finition du sous-sol

Concernant la rénovation du sous-sol, l’Institut évalue à entre 50 % et 75 % la récupération des sommes investies. À vous d’évaluer si cela est rentable.

Et soigner la présentation…

Effectuer des rénovations fera augmenter la valeur de votre maison, certes, mais il ne faut pas oublier de bien préparer la visite des acheteurs en appliquant les grands principes de la valorisation résidentielle (home staging) :

  • Nettoyer et réparer tout ce qui ne fonctionne pas bien
  • Désencombrer l’espace en remisant le mobilier trop massif
  • Dépersonnaliser les pièces en retirant des éléments comme les photos de famille
  • Créer des ambiances chaleureuses où l’acheteur pourra se projeter.

CONSEILS

  • Faites faire une inspection avant la vente. D’une part, cela rassurera l’acheteur et, d’autre part, vous évitez les risques de poursuite pour vices cachés.
  • Assurez-vous d’avoir en main un certificat de localisation valide.
  • Effectuez des rénovations, certes, mais restez dans la gamme de prix des maisons du quartier.
  • Demandez au moins trois soumissions pour faire faire vos travaux.

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