Louer son chalet pour l’hiver?

Un lecteur me demande : « J’ai un chalet que j’utilise chaque fin de semaine l’été. L’hiver, je n’y vais pas. Devrais-je le louer ou est-ce recommandé de le fermer ? »

Il s’agit d’une question que plusieurs propriétaires de chalet se posent. La réponse varie, bien sûr, mais pour vous aider, voici quatre options à considérer.

1. Fermer complètement son chalet

Si vous n’utilisez jamais votre chalet l’hiver et que vous ne comptez pas le louer, pour une question de tranquillité d’esprit, fermez-le. Baissez l’électricité au minimum afin d’économiser de l’énergie, utilisez un liquide antigel dans les conduits afin d’éviter tout bris et coupez l’alimentation en eau.

Vous retrouverez votre chalet l’été prochain dans le même état que vous l’avez laissé. Et si vous avez des voisins qui sont présents toute l’année, vous pourriez leur demander d’aller y jeter un coup d’œil de temps à autre.

2. Laisser son chalet à température ambiante

La deuxième option est pour les personnes qui pensent profiter de leur chalet quelquefois durant l’hiver. Si c’est votre cas, ne le fermez pas, mais laissez votre chalet à température ambiante plus basse, afin d’économiser de l’énergie. Si vous pensez y aller régulièrement, il peut être très intéressant de se procurer un thermostat qui permet de contrôler à distance la température de son chalet. Le réglage à distance du système de chauffage est bien pratique lors des journées glaciales de l’hiver !

3. La location saisonnière

La location saisonnière est idéale si vous n’allez pas au chalet l’hiver et que vous souhaitez le rentabiliser sans trop de gestion. Vous pouvez annoncer la location de votre chalet sur différents sites internet et choisir une personne qui l’occupera tout l’hiver. Encore mieux s’il s’agit d’une personne en qui vous avez déjà confiance.

4. La location à court terme

La location à court terme convient très bien aux propriétaires qui veulent faire un coup d’argent avec leur chalet l’hiver. Certains sites comme Airbnb permettent de louer son chalet une nuit ou quelques jours, cela reste à votre discrétion.

C’est très payant d’opter pour la location à court terme. Les prix peuvent être assez élevés, selon le chalet et les commodités. Il y a donc moyen que ce soit très rentable. Par contre, cette option vient avec plus de responsabilités. Vous devez vous occuper du ménage, de l’entretien de la propriété, du déneigement, de la location, etc.

Attention ! Avant d’annoncer son chalet sur un site comme Airbnb, le zonage municipal doit le permettre. Contactez votre municipalité afin de vous en assurer.

CONSEILS

  • Il est important de toujours déneiger son chalet l’hiver et surtout le toit, sans oublier le chemin pour s’y rendre. En cas de problème, comme un feu, l’accès est primordial.
  • Pensez à avoir des détecteurs de fuite d’eau connectés à distance. Vous serez averti par message texte en cas de problème. Ils sont toujours pratiques et donnent la température ambiante du chalet. Il faut bien sûr avoir internet pour pouvoir en profiter.

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L’ABC de l’immobilier commercial pour l’investisseur

Source: www.centris.ca

 

Si vous désirez placer votre argent, l’immobilier résidentiel n’est pas la seule option : l’immobilier commercial peut aussi vous offrir d’excellentes occasions d’investissement.

Avant de vous lancer, assurez-vous de bien comprendre les particularités de ce secteur, qui ne fonctionne pas comme l’immobilier résidentiel.

Voici un guide abrégé des principales notions à connaître.

Les catégories de l’immobilier commercial

Le terme « immobilier commercial » fait instantanément penser à des gratte-ciels au centre-ville ou à des centres commerciaux. Cependant, le secteur ne se limite pas à des propriétés réservées aux grands fonds d’investissement ou aux grandes entreprises.

On distingue généralement trois grandes catégories d’immeubles commerciaux :

1.   Les bâtiments industriels. Ces propriétés servent essentiellement au secteur manufacturier et aux activités connexes. L’immobilier industriel peut donc servir à abriter des entrepôts ou des activités de fabrication.

2.   Les immeubles de bureaux. Destinés à accueillir des entreprises de services ou de professionnels, les immeubles de bureaux peuvent prendre la forme d’un gratte-ciel ou d’un petit édifice sur une rue commerciale de quartier. Les spécialistes les partagent en trois classes : A, B et C, selon leur taille et le marché. À ces grandes divisions s’ajoutent de multiples subdivisions.

3.   Les commerces. Cette catégorie regroupe tant les centres commerciaux gigantesques que les commerces de proximité.

Il faut distinguer entre ces grandes catégories et la vocation de chaque type de propriété. Ainsi, le secteur de l’immobilier commercial englobe une multitude de vocations commerciales à l’intérieur de chaque catégorie :

  • Les restaurants ;
  • Les boutiques ;
  • Les cabinets médicaux ;
  • Les espaces de travail partagé ;
  • Les centres de distributions, etc.

Le commercial vs le résidentiel

Quand un différend survient entre un propriétaire et un locataire dans le résidentiel, les deux parties peuvent s’adresser à la Régie du logement. Il n’existe aucun organisme du genre en immobilier commercial ; c’est le Code civil qui fait loi.

Le bail commercial est un contrat qui doit être négocié comme tout autre contrat. Le propriétaire d’un immeuble commercial est libre de fixer les conditions qu’il désire, en fonction de ses objectifs de rentabilité, et du marché, bien entendu. Si certaines pratiques sont la norme, les modalités de l’entente sont à négocier comme n’importe quel contrat entre un client et son fournisseur.

Par exemple, certains baux prévoient que toutes les dépenses d’opération et d’entretien seront la responsabilité du locateur. À l’opposé, un propriétaire peut prendre à sa charge l’entretien ménager des locaux.

À noter que le propriétaire peut mettre un terme au bail quand il le désire, selon les modalités prévues au bail et la loi. Si le locataire veut se protéger d’une éventuelle éviction, il doit faire enregistrer son bail commercial. Un locataire avisé s’empressera donc de faire notarier son bail dès la signature pour protéger les investissements qu’il fera dans l’aménagement de ses installations.

Les avantages de l’investissement dans l’immobilier commercial

Les histoires d’horreur que vivent les propriétaires d’immeubles à logements suffisent souvent à décourager l’investissement dans le résidentiel.

  • Investir dans le commercial constitue une tout autre réalité, parce que celui-ci présente de multiples avantages :
  • Cet investissement est sécuritaire, parce que le loyer commercial est rarement impayé. Si ça arrive, les propriétaires se placent parmi les créanciers prioritaires ;
  • Vous n’avez pas à régler toutes sortes de petits ennuis comme c’est le cas quand vous possédez un multiplex, par exemple ;
  • Les locataires restent en place longtemps, surtout s’ils doivent investir pour aménager les locaux ;
  • La rentabilité peut souvent être atteinte rapidement et de façon plus sûre, parce que le loyer est stable et les imprévus sont limités.

Un domaine pour les professionnels

Si vous songez à investir dans un immeuble commercial, il est impératif de vous faire accompagner par un courtier immobilier. Il s’agit d’une opération complexe, aux ramifications multiples ; une erreur ou une omission peut vous coûter cher.

Le courtier vous guidera dans la sélection du type d’immeuble et son emplacement. Il sera très utile pour évaluer la valeur des loyers et vous expliquer les modalités du bail commercial. Son expertise fera la différence entre un investissement rentable, en toute tranquillité d’esprit, et une mauvaise transaction aux conséquences pénibles.

Pour l’achat d’un 5 plex et plus, il sera nécessaire de faire appel à un courtier ayant un permis commercial.

 

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Ventes résidentielles: un nouveau record atteint au Canada

Les ventes résidentielles nationales ont considérablement augmenté cette année, atteignant un nouveau record, selon les données publiées lundi par l’Association canadienne de l’immeuble (ACI).

À l’échelle nationale, les ventes résidentielles ont augmenté de 8,6 % de septembre à octobre 2021. Il s’agit de la hausse mensuelle la plus importante depuis juillet 2020.

Si le nombre de transactions réelles (non désaisonnalisées) a baissé de 11,5 % en octobre 2021 par rapport au record de 2020, il s’agit tout de même de la deuxième meilleure performance jamais enregistrée pour octobre, et de loin, a fait savoir l’ACI.

Entre janvier et octobre 2021, près de 581 275 propriétés résidentielles ont changé de propriétaire dépassant le record annuel de 552 423 enregistré en 2020.

«Après un été un peu plus calme, les chiffres d’octobre semblent indiquer que les marchés de l’habitation ont déjà repris la tendance du printemps, marquée par une pénurie d’offres et une demande croissante», a expliqué par voie de communiqué Cliff Stevenson, président de l’ACI.

«Cela dit, un échantillon d’un mois n’est pas suffisant pour tirer des conclusions, et nous continuerons de surveiller cette année pleine de rebondissements jusqu’à la fin. N’oubliez pas que les choses peuvent évoluer très rapidement», a-t-il ajouté ensuite.

En comparant le ratio des ventes par rapport aux nouvelles inscriptions, le marché a redonné la main aux propriétaires-vendeurs. En octobre, le nombre de nouvelles inscriptions a baissé de 3,2 % par rapport à septembre, entraînant une hausse des prix dans environ 70 % des marchés locaux.

De plus, le ratio national des ventes par rapport aux nouvelles inscriptions s’est resserré pour s’établir à 79,5 %, comparativement à 75,5 % en septembre et 73,5 % en août, tandis que la moyenne à long terme est de 54,8 %.

«Il suffit d’une hausse du nombre d’inscriptions durant un mois donné pour stimuler les ventes, car elles trouveront assurément preneur rapidement. Face à la demande écrasante, l’offre continue de se réduire. Puisqu’on a atteint un creux record, il n’est pas étonnant que les prix remontent en flèche. Il faut construire plus de logements», a souligné Shaun Cathcart, économiste principal de l’ACI.

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Rénovation : les subventions disponibles

Source: www.centris.ca

 

Une facture de rénovation peut grimper rapidement. Avant de lancer les travaux, vous avez tout intérêt à vérifier si vous avez accès à des subventions ainsi que les règles à suivre pour y avoir droit.

Pour vous aider dans vos démarches, nous avons rassemblé ici pour vous les principaux programmes d’aide offerts par les gouvernements.

Subvention canadienne pour des maisons plus vertes (fédéral) :

Travaux admissibles : Isolation, étanchéité, chauffage, énergies renouvelables, etc.

  • Jusqu’à 600 $ pour faire évaluer l’efficacité énergétique de votre maison;
  • Jusqu’à 5 000 $ pour effectuer les travaux.

Note importante : au Québec, il faut s’inscrire au programme Rénoclimat du gouvernement provincial pour avoir accès à cette subvention.

Pour en savoir plus.

Rénoclimat (gouvernement du Québec) :
Travaux admissibles : isolation, étanchéité, remplacement de portes et de fenêtres et installation ou remplacement de systèmes mécaniques (système de ventilation, chauffe-eau, thermopompe, système de chauffage et système géothermique).

  • Jusqu’à 20 000 $ pour le propriétaire d’une maison;
  • Jusqu’à 40 000 $ pour le propriétaire d’un duplex, d’un triplex ou d’un immeuble résidentiel à logements multiples.

Pour en savoir plus.

Chauffez vert (gouvernement du Québec) :

Ce programme subventionne le remplacement d’un système de chauffage au mazout ou au propane par un système alimenté par de l’énergie renouvelable.

  • L’aide financière varie selon le type d’habitation et elle peut être plus importante dans le cas des habitations multilogements;
  • Par exemple, pour une maison individuelle, l’aide peut atteindre 1 275 $ si elle est alimentée au mazout et 850 $ si c’est au propane.

Pour en savoir plus.

Thermopompes efficaces (Hydro-Québec) :

Le programme vise l’installation d’une thermopompe efficace par un client résidentiel d’Hydro-Québec. De multiples types d’habitations sont admissibles.

  • L’aide financière est de 50 $ par tranche de mille Btu de chauffage à -8 °C, jusqu’à un maximum de 1 000 $.

Pour en savoir plus.

Maison écolo (SCHL) :

Ce programme peut vous aider si vous achetez ou construisez une maison écoénergétique ou si vous rénovez un logement pour le rendre plus écoénergétique.

  • Jusqu’à 25 % du montant de la prime d’assurance hypothécaire de la Société canadienne d’hypothèques et de logement.

Pour en savoir plus.

Éconologis (gouvernement du Québec) :

Ce programme s’adresse aux familles à revenus modestes. Il permet de « profiter gratuitement de conseils personnalisés et de travaux légers pour améliorer le confort de son habitation et mieux gérer sa consommation d’énergie ». Vous pouvez aussi obtenir, dans certains cas, l’installation de thermostats électroniques.

Pour en savoir plus.

Subvention pour le gaz naturel (Énergir) :

Si vous songez à convertir votre vieux système de chauffage par un système au gaz naturel, vous pourriez profiter d’une aide financière ou d’un rabais d’Énergir (anciennement Gaz Métro).

Pour en savoir plus.

Novoclimat (gouvernement du Québec) :

Ce programme vise à encourager la construction de maisons hautement efficaces sur le plan énergétique.

  • Le premier propriétaire d’une maison neuve homologuée Novoclimat reçoit une aide financière de 2 000 $;
  • Si quelqu’un accède à la propriété pour la première fois, une aide financière additionnelle de 2 000 $ est également accordée, soit une aide totale de 4 000 $.

Pour en savoir plus.

RénoRégion (Société d’habitation du Québec) :

Si vous habitez en milieu rural et que votre demeure nécessite d’importants travaux pour réparer des défectuosités majeures, ce programme pourrait vous donner un coup de main. Il s’adresse aux familles à revenus faibles ou modestes.

  • Jusqu’à 95 % du coût reconnu pour la réalisation des travaux admissibles, pour un maximum de 12 000 $.

Pour en savoir plus.

Vérifiez auprès de votre municipalité

Des subventions additionnelles sont offertes pour la rénovation de maisons et d’immeubles résidentiels par certaines municipalités. Prenez le temps de vérifier auprès de votre ville pour savoir ce qui est offert.

Bonnes rénovations!


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Aide-mémoire : fermer son chalet pour l’hiver

Source: http://www.centris.ca

Si vous n’occupez pas votre chalet en hiver, c’est le temps de le préparer à affronter la saison froide! Ça veut dire qu’il faut tout faire pour éviter le gel dans les tuyaux et l’intrusion de bestioles qui pourraient profiter du confort de votre chalet pendant que vous n’y êtes pas.

Voici un aide-mémoire sous forme de liste pour bien préparer votre chalet pour l’hiver afin d’en profiter plus rapidement au printemps, sans souci.

  1. Videz votre garde-manger. Ne laissez aucun aliment qui pourrait attirer les bestioles, écureuils ou souris, qui pourraient causer bien des dégâts.
  2. Dégivrez et lavez votre réfrigérateur. Un frigo propre sera moins attirant pour les indésirables et aura une meilleure odeur au printemps!
  3. Retirez les draps et conservez-les dans des sacs. La literie peut être très attirante pour les petits rongeurs. Gardez-la à l’abri de l’humidité.
  4. Rapportez chez vous les armes pour la chasse. Soyez prudent et rangez les armes à votre domicile principal.
  5. Fermez ou baissez le chauffage. Mettez le chauffage hors fonction, à moins que vous désiriez garder une température de 5 à 8 degrés Celsius dans l’habitation afin d’éviter le gel des tuyaux et la formation de moisissures.
  6. Coupez l’alimentation en eau et videz les tuyaux. Protégez votre tuyauterie contre les bris causés par le gel et les mauvaises odeurs laissées par de l’eau stagnante. Il peut être utile de verser de l’antigel à plomberie dans les tuyaux d’évacuation, comme on le fait dans une roulotte.
  7. Si vous ne chauffez pas, coupez l’électricité. De nombreux appareils consomment de l’électricité même si vous ne vous en servez pas. Débranchez tous les gros appareils.
  8. Bouchez toutes les ouvertures par lesquelles des indésirables pourraient entrer dans la maison.
  9. Videz les gouttières et inspectez le toit. Réparez tout dommage apparent qui pourrait être la source d’infiltration d’eau durant l’hiver.
  10. Laissez les rideaux entrouverts pour dissuader les voleurs. Il est vraiment difficile d’empêcher les cambriolages, parce que personne n’est là pour surveiller le chalet. Mais une maison qui semble vide n’est pas très attrayante pour les voleurs.

À propos des assurances

Si vous visitez votre chalet sur une base régulière toute l’année, vous n’avez pas à vous préoccuper de la validité de votre assurance.

Si vous le fermez en hiver, c’est différent : avertissez-en votre assureur. Si vous n’avez pas informé votre assureur, vous pourriez avoir des ennuis en cas de sinistre.

L’idéal est de mentionner dès le départ que votre chalet sera fermé pendant la saison froide et que vous n’irez pas pendant plusieurs mois.

Dans tous les cas, informez-vous auprès de votre assureur et soyez transparent avec lui quant à l’utilisation de votre chalet.

Un entretien important

Même s’il est tentant de négliger l’entretien de son chalet en automne, il ne faut pas le faire! Une petite fin de semaine de travail dans et autour du chalet pourrait vous éviter bien des ennuis et des frais.

 

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La valeur ajoutée d’un courtier : au-delà des faits et des chiffres

Source: www.centris.ca

Les courtiers immobiliers compétents et expérimentés offrent à leurs clients les meilleures chances de trouver ou de vendre une propriété selon leurs conditions. Ce fut certainement le cas pour Tamara, une nouvelle acheteuse qui avait ceci à dire sur son expérience d’acquérir une propriété avec l’aide d’un courtier immobilier.

Les courtiers immobiliers compétents et expérimentés offrent à leurs clients les meilleures chances de trouver ou de vendre une propriété selon leurs conditions. Ce fut certainement le cas pour Tamara, une nouvelle acheteuse qui avait ceci à dire sur son expérience d’acquérir une propriété avec l’aide d’un courtier immobilier :

« Notre courtier immobilier Tommy a été très utile tout au long du processus. Par exemple, il s’est occupé de toute la paperasse compliquée qui accompagne inévitablement les transactions immobilières. »

Membre de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), Tommy offre ses services dans la grande région de Montréal. Son professionnalisme et son souci du détail ont fait bonne impression auprès de Tamara, qui estime que faire appel à un courtier immobilier est une question de bon sens.

« J’étais vraiment contente qu’il soit là, parce qu’il s’est assuré que tous les aspects juridiques soient exécutés de la bonne manière. Je suis tellement occupée que je n’aurais pas pu m’en charger moi-même. »

Tamara a également été impressionnée par le soutien que Tommy lui a apporté en lui proposant le bon type de propriétés.

« C’était un vrai bonus pour nous. En tant qu’acheteurs, nous avons pu travailler avec des ressources présentant des inscriptions auxquelles nous n’aurions pas eu accès si nous avions traité la transaction nous-mêmes. »

Bien que l’aspect purement pratique des services offerts par son courtier immobilier ait été un réel avantage pour Tamara, la valeur ajoutée apportée par Tommy allait au-delà des faits et des chiffres.

« Tommy a un vrai charisme. Tout le monde l’aime instantanément. Il a réussi à convaincre la vendeuse d’accepter notre offre, même si ce n’était pas la plus élevée. Il l’a convaincue que nous étions les acheteurs idéaux, car nous étions certains que l’appartement était parfait pour nous. Je ne sais pas exactement ce qu’il lui a dit, mais une chose est sûre : ça a fonctionné. »

Comme Tamara l’affirme, elle avait déjà visité plusieurs propriétés qui correspondaient presque à tout ce qu’elle voulait, mais lorsqu’elle a vu ce condo, elle savait que c’était « le bon ».

« Tout de suite, j’ai su que je voulais vivre dans cette magnifique propriété. Le problème était que notre offre était en compétition avec celles de trois autres acheteurs. C’est à ce moment que l’aide de Tommy a vraiment pesé dans la balance. Il a fait tout ce qu’il pouvait pour s’assurer que nous obtenions le condo. Dans les situations où il y a des offres multiples, c’est habituellement le meilleur prix qui l’emporte. Cependant, il savait que nous n’avions pas beaucoup de marge de manœuvre financière. »

Sa stratégie était perspicace et démontrait une réelle compréhension de la nature souvent émotive du marché immobilier.

« Tommy nous a dit qu’il présentait toujours les offres au propriétaire en personne parce que cela lui donne l’occasion de parler avec son cœur et de montrer pourquoi ses clients sont les meilleurs candidats pour la propriété. Pour lui, vendre une propriété n’est pas seulement une question de chiffres. En travaillant avec Tommy, vous avez vraiment l’impression qu’il adore proposer des offres qui rendent tout le monde le plus heureux possible. De toute évidence, il adore son travail et je crois que c’est l’une des raisons pour lesquelles il connaît autant de succès.

« Je veux dire, regardez ce qu’il a fait pour nous! Nous étions classés au troisième rang sur quatre offres, mais il a présenté notre offre avec une attitude tellement positive, qu’il a réussi à établir un lien avec la vendeuse. Elle a donc décidé d’y aller avec son cœur et de nous vendre le condo. Ça montre simplement que l’argent ne surpasse pas toujours les émotions et les relations humaines. »

Pour Tamara, l’enthousiasme et l’expertise de Tommy ont assuré un processus sans tracas.

« Il nous expliquait tout à chaque étape et nous nous sentions toujours très en contrôle. Si quelqu’un me demande si ça vaut la peine de faire appel à un courtier immobilier, la réponse est oui, tout à fait. Il y a tant de choses à prendre en compte et à apprendre, tant de paperasse. Tout est plus facile avec l’aide d’un courtier immobilier. Le fait que Tommy nous ait dit de ne pas nous inquiéter et qu’il se soit assuré que tout allait bien aller a rendu le processus beaucoup moins stressant. Je ne peux pas m’imaginer réaliser tout ce qu’il a accompli en devant aussi m’occuper des choses que j’ai à faire dans mon quotidien. J’aurais simplement été incapable de répondre à tous les appels. »

Tamara souligne que le dynamisme, le dévouement et l’enthousiasme pour le travail sont les atouts qui font d’un bon courtier immobilier un allié si utile.

« Il faut vraiment quelqu’un qui est dévoué corps et âme à son travail, qui a une attitude positive et qui travaille fort pour réussir. Il a fait tout ce qu’il pouvait pour nous aider, en nous montrant autant de propriétés que nous le souhaitions, puis en s’assurant de conclure la transaction quand il a vu que ce condo nous convenait parfaitement. »

Dans quelle mesure la contribution de Tommy était-elle efficace?

« Nous avons vu le condo samedi, et dès mardi, c’était le nôtre. Nous adorons notre nouvelle propriété. Au fond, tout s’est déroulé à merveille. »

 

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Peu de propriétés à vendre et prix très élevés: les ventes de résidences ont chuté de 28% à Montréal

Les ventes de résidences ont reculé de 28% dans la région de Montréal en septembre par rapport à septembre 2020. Même si le marché immobilier tend à se rapprocher du niveau prépandémique, ça ne veut pas dire que la situation se calme pour autant.

• À lire aussi: François Legault aurait finalement vendu sa somptueuse maison de 5 millions $ à Outremont

• À lire aussi: Vers un retour à la normale du marché immobilier? Pas si vite!

En fait, plusieurs éléments expliquent cette «normalisation de l’activité économique», comme le niveau élevé des prix et le manque de propriétés à vendre, a confirmé dans un communiqué Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché de l’APCIQ. Autrement dit, si on note un recul aussi important, c’est tout simplement parce qu’il y a très peu de maisons à vendre sur l’île et que celles qui le sont très dispendieuses.

Quelques chiffres

L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec a dénombré un total de 3671 maisons vendues, contre 5120 transactions, une année plus tôt.

Sur l’île de Montréal, les ventes ont chuté de 21% en l’espace d’une année pour passer s’établir à 1432, alors que les transactions pour les résidences unifamiliales ont connu une chute libre de 38%.

À l’échelle de la région métropolitaine, l’APCIQ a noté un repli des transactions de 37% pour l’unifamilial, 18% pour les condos et 16% pour les petits immeubles à revenus, alors que corollairement l’offre de propriétés résidentielles a reculé de 20%.

Les prix médians ont continué de progresser fortement en septembre par rapport à l’année passée, atteignant 504 500$ pour les maisons unifamiliales, soit une hausse de 17%, selon l’APCIQ.

Les prix médians des copropriétés des plex sont établis à 365 000$ et 690 000$, soit une hausse de 15% et 13% respectivement.

 

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Les précautions lorsqu’on hérite d’une maison

Source: journaldemontreal.com

Au décès de votre père, vous apprenez qu’il vous lègue sa demeure des 30 dernières années. Comment faire pour que ce cadeau ne se transforme pas en fardeau ?

Voici six conseils à suivre lors d’une telle transaction.

1. Vérifier l’historique du bien légué

Lorsqu’un immeuble est transféré, il est important d’en connaître l’historique. S’il n’y a aucun problème connu, tant mieux, mais vaut mieux s’assurer qu’ultérieurement, vous n’aurez pas de mauvaises surprises. Autre élément non négligeable, il faut tenir compte des frais et dépenses attachés au bâtiment : taxes municipales et scolaires, électricité, chauffage, entretien.

2. S’assurer qu’il ne reste plus d’hypothèque sur l’immeuble

C’est votre notaire qui, lors de la déclaration de transmission, s’assurera qu’il ne reste plus d’hypothèque à payer sur l’immeuble. De plus, celui-ci devra faire les recherches nécessaires pour s’assurer de vous transférer un bon titre de propriété. Cet examen est complété par la vérification du certificat de localisation qui permet notamment de savoir si la maison est construite sur le terrain ou si elle empiète chez le voisin.

3. Faire une visite de l’immeuble

Prendre connaissance de l’état des lieux et penser à faire une inspection vous permettra d’avoir un portrait juste de la situation. Une fois l’immeuble transféré, il faut comprendre qu’on devient proprio, avec les avantages et les inconvénients que ça peut engendrer.

4. Un gain imposable ?

Pour vous éviter d’être déçu, sachez qu’il est préférable de ne pas être trop gourmand quant aux gains à venir. Si vous héritez d’une résidence principale, vous n’aurez aucun gain en capital, donc aucun impôt à payer. Si l’immeuble est commercial, secondaire (chalet) ou locatif, la situation sera différente. Par exemple, pour un chalet payé 100 000 dollars qui en vaut 300 000 au moment du décès, le gain en capital correspond à 200 000 dollars. Il faudra payer l’impôt sur 50 % de ce gain, soit sur 100 000 dollars.

5. Je décide de vendre le bien, comment ça marche ?

La réponse va dépendre des personnes impliquées dans la succession. Si vous êtes le seul héritier, vous pourrez procéder comme vous le voulez. Si vous êtes plusieurs, vous devrez vous entendre. Si un héritier désire garder la maison, il faudra procéder autrement au partage du patrimoine.

6. Pas de chicane dans ma cabane

Communiquer vos attentes et tenter d’avoir un consensus entre tous les membres de la famille pourrait vous éviter bien des soucis. Il m’est arrivé de devoir attendre la réponse de 15 signataires sur une promesse d’achat que j’avais déposée pour un chalet que je convoitais. Le résultat ? Une transaction impossible à conclure.

En conclusion, malgré les formalités, hériter d’un bien immobilier est un cadeau qui fait, la plupart du temps, le bonheur de celui qui le reçoit.

CONSEILS

  • Il est préférable de confier au notaire, tôt dans le processus, toutes les démarches entourant la succession.
  • Pensez à demander une vérification environnementale si vous avez des doutes sur l’état du terrain (est-ce que l’immeuble a déjà eu un chauffage au mazout, le sol est-il contaminé par une substance chimique ?).
  • Si vous avez un mauvais héritage, vous êtes en droit de le refuser.

► Ghislain Larochelle est un professionnel inscrit à l’Ordre des ingénieurs du Québec ainsi qu’à l’Organisme d’autoréglementation du courtage immobilier du Québec (OACIQ).

 

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Rénovation : les subventions disponibles

Source: centris.ca

Une facture de rénovation peut grimper rapidement. Avant de lancer les travaux, vous avez tout intérêt à vérifier si vous avez accès à des subventions ainsi que les règles à suivre pour y avoir droit.

Pour vous aider dans vos démarches, nous avons rassemblé ici pour vous les principaux programmes d’aide offerts par les gouvernements.

Subvention canadienne pour des maisons plus vertes (fédéral) :

Travaux admissibles : Isolation, étanchéité, chauffage, énergies renouvelables, etc.

  • Jusqu’à 600 $ pour faire évaluer l’efficacité énergétique de votre maison;
  • Jusqu’à 5 000 $ pour effectuer les travaux.

Note importante : au Québec, il faut s’inscrire au programme Rénoclimat du gouvernement provincial pour avoir accès à cette subvention.

Pour en savoir plus.

Rénoclimat (gouvernement du Québec) :
Travaux admissibles : isolation, étanchéité, remplacement de portes et de fenêtres et installation ou remplacement de systèmes mécaniques (système de ventilation, chauffe-eau, thermopompe, système de chauffage et système géothermique).

  • Jusqu’à 20 000 $ pour le propriétaire d’une maison;
  • Jusqu’à 40 000 $ pour le propriétaire d’un duplex, d’un triplex ou d’un immeuble résidentiel à logements multiples.

Pour en savoir plus.

Chauffez vert (gouvernement du Québec) :

Ce programme subventionne le remplacement d’un système de chauffage au mazout ou au propane par un système alimenté par de l’énergie renouvelable.

  • L’aide financière varie selon le type d’habitation et elle peut être plus importante dans le cas des habitations multilogements;
  • Par exemple, pour une maison individuelle, l’aide peut atteindre 1 275 $ si elle est alimentée au mazout et 850 $ si c’est au propane.

Pour en savoir plus.

Thermopompes efficaces (Hydro-Québec) :

Le programme vise l’installation d’une thermopompe efficace par un client résidentiel d’Hydro-Québec. De multiples types d’habitations sont admissibles.

  • L’aide financière est de 50 $ par tranche de mille Btu de chauffage à -8 °C, jusqu’à un maximum de 1 000 $.

Pour en savoir plus.

Maison écolo (SCHL) :

Ce programme peut vous aider si vous achetez ou construisez une maison écoénergétique ou si vous rénovez un logement pour le rendre plus écoénergétique.

  • Jusqu’à 25 % du montant de la prime d’assurance hypothécaire de la Société canadienne d’hypothèques et de logement.

Pour en savoir plus.

Éconologis (gouvernement du Québec) :

Ce programme s’adresse aux familles à revenus modestes. Il permet de « profiter gratuitement de conseils personnalisés et de travaux légers pour améliorer le confort de son habitation et mieux gérer sa consommation d’énergie ». Vous pouvez aussi obtenir, dans certains cas, l’installation de thermostats électroniques.

Pour en savoir plus.

Subvention pour le gaz naturel (Énergir) :

Si vous songez à convertir votre vieux système de chauffage par un système au gaz naturel, vous pourriez profiter d’une aide financière ou d’un rabais d’Énergir (anciennement Gaz Métro).

Pour en savoir plus.

Novoclimat (gouvernement du Québec) :

Ce programme vise à encourager la construction de maisons hautement efficaces sur le plan énergétique.

  • Le premier propriétaire d’une maison neuve homologuée Novoclimat reçoit une aide financière de 2 000 $;
  • Si quelqu’un accède à la propriété pour la première fois, une aide financière additionnelle de 2 000 $ est également accordée, soit une aide totale de 4 000 $.

Pour en savoir plus.

RénoRégion (Société d’habitation du Québec) :

Si vous habitez en milieu rural et que votre demeure nécessite d’importants travaux pour réparer des défectuosités majeures, ce programme pourrait vous donner un coup de main. Il s’adresse aux familles à revenus faibles ou modestes.

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Des subventions additionnelles sont offertes pour la rénovation de maisons et d’immeubles résidentiels par certaines municipalités. Prenez le temps de vérifier auprès de votre ville pour savoir ce qui est offert.

Bonnes rénovations!

 

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Les erreurs à éviter avant de signer une promesse d’achat

Source: journaldemontreal.com

 

Après des mois de recherche, vous avez enfin trouvé la maison de vos rêves. Avant de vous engager dans l’une des plus importantes transactions de votre vie, voici ce que tout acheteur devrait vérifier lorsqu’il signe une promesse d’achat.

C’est quoi, une promesse d’achat ?

La promesse d’achat, c’est le moyen par lequel vous signalez au vendeur votre intention d’acquérir sa propriété à certaines conditions. C’est dans ce formulaire que vous détaillerez notamment les conditions auxquelles vous désirez acheter la propriété qui vous intéresse. C’est donc une démarche à ne pas prendre à la légère.

1. LA DÉCLARATION DU VENDEUR

C’est un document très important et utile qui dresse un portrait de la propriété, de son état et de son historique. Le vendeur aura pris la peine d’y inscrire tout ce qui peut affecter la valeur de sa propriété.

2. LE CERTIFICAT DE LOCALISATION

Vous y trouverez des informations importantes : les limites légales de la propriété qui vous intéresse, les empiétements, s’il y a lieu, les droits de passage en vigueur, etc. Le certificat de localisation doit être à jour ; s’il est désuet, la banque pourrait demander au vendeur d’en produire un nouveau.

3. LES FACTURES DE RÉNOVATIONS

Non seulement elles agissent comme preuve, mais, en cas de problème, vous pourrez vous y référer. Elles vous confirmeront les travaux réalisés par le passé.

4. L’ANCIEN RAPPORT D’INSPECTION

Bien que la remise du rapport d’inspection à l’acheteur potentiel et le fait de l’annexer à toute promesse d’achat ne soient pas obligatoires, cela constitue la meilleure pratique, selon l’OACIQ.

5. LES RAPPORTS D’EXPERTS

En cas de doute sur les composantes (amiante, vermiculite, pyrite) de la fondation, du solage ou de l’isolation, vous pouvez demander à voir les rapports d’experts.

6. DÉLAI

Assurez-vous que le délai donné au vendeur soit réaliste. N’oubliez pas d’y inscrire les dates souhaitées pour signer l’acte de vente chez le notaire et pour la prise de possession des lieux.

7. EN RÉGION RURALE

Il est bon de demander un test d’eau (qualité et quantité) et une vérification de conformité de la fosse septique.

8. LA DÉCLARATION DE COPROPRIÉTÉ

Si votre promesse d’achat concerne une copropriété, vous pouvez demander à voir la police d’assurance, les procès-verbaux des assemblées générales précédentes, tout comme les états financiers.

9. POUR LE MULTILOGEMENT

Si le bien immobilier convoité est un multilogement, sachez que, parfois, il est difficile d’en faire la visite avant de déposer votre promesse d’achat. Il serait préférable d’y inscrire une clause conditionnelle à la visite des lieux. Vous pourrez aussi demander à voir les baux actuels des locataires ainsi que les lettres de renouvellement.

10. L’INSPECTION

Selon l’OACIQ, acheter une propriété sans faire d’inspection au préalable, c’est limiter les recours légaux de l’acheteur. Il est préférable de maintenir cette clause, au risque de voir sa promesse refusée.

Maintenant, à vous de jouer !

CONSEILS

  • Il est préférable de travailler avec un courtier immobilier pour être bien protégé.
  • Il est mieux d’obtenir une préapprobation hypothécaire avant de commencer à faire des promesses d’achat.
  • Il est conseillé de demander un délai raisonnable pour la prise de possession.

Ghislain Larochelle est un professionnel inscrit à l’Ordre des ingénieurs du Québec ainsi qu’à l’OACIQ.

 

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